Me Richard : « On sait qu’on ne peut pas poursuivre le blasphème, alors on le remplace par “christianophobie” ou “racisme anti-chrétien”. […] c’est sûr que c’est plus performatif, mais c’est toujours la même musique du blasphème. » © Frédéric Chaume

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.