Choses vues au Festival d’Avignon, numéro vingt‑deux
En partenariat avec Festival d’Avignon et Actes Sud-Papiers
« le Mariage de Maria Braun », d’après Fassbinder, cour du lycée Saint‑Joseph à Avignon
Ostermeier célèbre l’art du théâtre
Par Fabrice Chêne
Reprise, en cette fin de Festival, d’un spectacle créé par le grand Thomas Ostermeier en 2007 : « le Mariage de Maria Braun », inspiré du film de Fassbinder. Une tranche d’histoire allemande à travers le portrait d’une femme d’exception, le tout servi par une mise en scène impeccable.
Lettre du collectif des salariés du Festival In d’Avignon, 24 juillet 2014
Lettre à François Hollande
Annonce
Avignon, le 24 juillet 2014
Monsieur François Hollande,
Nous sommes le collectif des salariés du Festival In d’Avignon.
Choses vues au Festival d’Avignon, numéro vingt et un
En partenariat avec Festival d’Avignon et Actes Sud-Papiers
« Notre peur de n’être », de Fabrice Murgia, gymnase du lycée Aubanel à Avignon
Solitudes sur fond noir
Par Fabrice Chêne
La nouvelle création de Fabrice Murgia était très attendue en cette dernière semaine du Festival d’Avignon. À l’arrivée : une proposition aussi belle esthétiquement que limitée dans son propos.
Choses vues au Festival d’Avignon, numéro vingt
En partenariat avec Festival d’Avignon et Actes Sud-Papiers
« On ne badine pas avec l’amour », d’Alfred de Musset, Théâtre des Lucioles à Avignon
Mortel orgueil amoureux !
Par Lorène de Bonnay
L’Attrape-Théâtre, dirigé par Christophe Thiry, présente une version délicate et dynamique du drame sentimental de Musset, « On ne badine pas avec l’amour », au Théâtre des Lucioles.
Choses vues au Festival d’Avignon, numéro dix‑neuf
En partenariat avec Festival d’Avignon et Actes Sud-Papiers
« Solitaritate », de Gianina Cărbonariu, gymnase du lycée Mistral à Avignon
Tout est à vendre
Par Laura Plas
Tableau féroce et farcesque de l’Europe marchandisée, « Solitaritate » interpelle (et dérange) par sa pertinence. Un beau travail que l’on ne peut malheureusement apprécier qu’à moitié si l’on veut suivre les surtitres.
Choses vues au Festival d’Avignon, numéro dix‑huit
En partenariat avec Festival d’Avignon et Actes Sud-Papiers
« la Famille Schroffenstein », de Henrich von Kleist, gymnase du lycée Saint‑Joseph à Avignon
Soif du sang de leurs enfants
Par Lorène de Bonnay
Quelques jours après « le Prince de Hombourg », Giorgio Barberio Corsetti présente au public avignonnais une autre pièce de Kleist, « la Famille Schroffenstein ». Cette œuvre de jeunesse – vibrante, terrifiante et poétique – sied à merveille aux brillants comédiens issus de l’École régionale de Cannes (suivis durant trois ans par le metteur en scène italien).
« Même les chevaliers tombent dans l’oubli », de Gustave Akakpo, chapelle des Pénitents‑Blancs à Avignon
Ou le couronnement de la vidéo
Par Lise Facchin
La compagnie du Veilleur présente, dans l’intime chapelle des Pénitents-Blancs, une pièce de Gustave Akakpo destinée à un public jeune. Une réussite qui doit beaucoup à la vidéo.