« Un obus dans le cœur », de Wajdi Mouawad, Théâtre des Clochards‐Célestes à Lyon
Pars vite et deviens
Par Michel Dieuaide
Wajdi Mouawad, artiste protéiforme libano-canadien, a tiré de son roman « Visage retrouvé » (2002) un monologue intitulé « Un obus dans le cœur » (2007)…
« Mémoire en retraite », de Mériam Bousselmi et « Pacamambo », de Wajdi Mouawad, l’Entrepôt à Avignon
Une fable politique et une fable morale
Par Jean-François Picaut
Nous réunissons ici arbitrairement deux pièces qui ont en commun d’être données dans le même théâtre et d’avoir été écrites par des auteurs arabes, afin de pouvoir parler de la première, donnée dans des conditions spéciales.
« Un obus dans le cœur », de Wajdi Mouawad, À la folie Théâtre à Paris
Le cœur plein d’éclats de Wajdi Mouawad
Par Christophe Giolito
Le directeur de la librairie Le Coupe-papier, présente dans le hall de nombreuses grandes scènes parisiennes, reprend au théâtre À la folie sa mise en scène (2010) du récit initiatique de Wajdi Mouawad…
« Journée de noces chez les Cromagnon », de Wajdi Mouawad, Théâtre de la Tempête à Paris
Les plus belles noces sont celles que l’on rêve
Par Sarah Bussy
Mylène Bonnet, pour sa première mise en scène, a choisi de créer à la Cartoucherie de Vincennes « Journée de noces chez les Cromagnon »…
« Alphonse », de Wajdi Mouawad, Théâtre Nouvelle Génération à Lyon
Corinne Méric vibrante d’intensité
Par Élise Ternat
À l’initiative du Théâtre Nouvelle Génération, la quatrième édition du festival Régénération présentée ces jours-ci a de quoi faire sortir le public lyonnais de sa torpeur hivernale…
« Ciels », quatrième et dernière partie du quatuor « le Sang des promesses », de Wajdi Mouawad, parc des Expositions à Avignon
Déception amoureuse
Par Estelle Gapp
Avec « Ciels », dernier épisode de la tétralogie « le Sang des promesses », comme avec « Seuls » au Festival d’Avignon 2008, le dramaturge Wajdi Mouawad répète ce geste essentiel de la création artistique : la prise de risque…
« Littoral », « Incendies », « Forêts », du quatuor « le Sang des promesses », de Wajdi Mouawad, palais des Papes à Avignon
Fabuleux voyage, jusqu’au bout de la nuit
Par Estelle Gapp
La 63e édition du Festival d’Avignon restera marquée par cet évènement exceptionnel : la reprise de la trilogie « Littoral, Incendies, Forêts », du dramaturge Wajdi Mouawad, pour quatre nuits blanches – de huit heures du soir à huit heures du matin – dans la cour d’honneur du palais des Papes.
« Littoral », de Wajdi Mouawad, les Célestins à Lyon
Voyage en père inconnu
Par Pascaline Chambon
Il me faudra rejoindre le « Littoral » pour découvrir le travail de Wajdi Mouawad. Le parvis des Célestins est noir de monde…
« Seuls », de Wajdi Mouawad, Théâtre 71 à Malakoff
Mise à nu
Par Aïda Asgharzadeh
Après « Rêves », « Incendies », « Littoral » et « Forêts », le Théâtre 71 poursuit sa contribution à la dilatation du temps de Wajdi Mouawad et accueille cette saison la dernière création de la star québécoise…
« Incendies », de Wajdi Mouawad, Théâtre national de la Colline à Paris
Un incendie qui « fait long feu »…
Par Hélène Merlin
La version de Stanislas Nordey n’est peut-être pas le feu de brousse tant attendu : elle passe trop lentement en n’offrant seulement que quelques étincelles et quelques frissons. Bref, pas de quoi sortir les extincteurs !
« Incendies », de Wajdi Mouawad, Théâtre national de Bretagne à Rennes
Théâtre de l’urgence, théâtre nécessaire
Par Aurore Krol
« Incendies », j’en avais vu la mise en scène de Wajdi Mouawad, au Théâtre du Nouveau-Monde, à Montréal. Je m’en souviens comme d’un de mes plus beaux moments de théâtre, comme d’une expérience intensément bouleversante…
« Le soleil ni la mort ne peuvent se regarder en face », de Wajdi Mouawad, Théâtre des Abbesses à Paris
La mythologie pour les nuls
Par Olivier Pansieri
Que ceux qui n’aiment pas Wajdi Mouawad passent leur chemin. Nous l’adorons, et nous sommes donc d’autant plus navrés de ce pas de clerc heureusement commis à deux, qu’on peut voir en ce moment au Théâtre des Abbesses : « Le soleil ni la mort… », mis en bouillie par Dominique Pitoiset. Pour sa défense, il faut dire franchement que le texte n’est pas terrible.