« le Vivier des noms », de Valère Novarina, cloître des Carmes à Avignon
Ouistiti-je ?
par Céline Doukhan
Sans queue ni tête, la pièce malaxe et entrechoque les mots avec bonheur. Une sorte de big-bang poétique, mais qui durerait deux heures quarante.
« le Malade imaginaire », de Molière, les Célestins à Lyon
Un malade bien seul
Par Trina Mounier
Avec André Marcon qui reprend le dernier rôle tenu par Molière lui-même, on pouvait attendre un « Malade imaginaire » de haute volée. La mise en scène de Michel Didym, hélas, ne tient pas toutes ses promesses et pâtit d’un manque de cohérence.