« l’Amant », de Harold Pinter, Café de la danse à Paris

« l’Amant » © Mathieu Crescence

Amant, pour le meilleur et pour le pire
Par Cédric Enjalbert
La Cie Bord cadre y jouait une incroyable et acrobatique « Fausse Suivante » l’an passé. Elle revient cette année au Café de la danse avec « l’Amant » de Pinter. Une presque histoire d’amour bien belle mais fort longue.

« Frères et sœurs », d’après Fedor Abramov, maison de la culture à Bobigny

« Frères et sœurs » © Viktor Vassiliev

Dodine ovation
Par Cédric Enjalbert
Tout le Théâtre Maly à Bobigny ! À l’invitation de Patrick Sommier, directeur de la M.C.93, la troupe russe de Lev Dodine présente en près d’un mois vingt‑cinq ans du répertoire de la compagnie. Cet évènement aussi éphémère qu’extraordinaire commençait avec « Frères et sœurs », une spectaculaire et magistrale fresque de sept heures.

« le Bal de Kafka », de Timothy Daly, Théâtre des Halles à Avignon

le Bal de Kafka © Jean-Pierre Benzekri

À la table de Kafka
Par Cédric Enjalbert
Isabelle Starkier par ici, au collège de La Salle avec « Résister c’est exister », Isabelle Starkier par là, à la Fabrik’Théâtre avec « Monsieur de Pourceaugnac », Isabelle Starkier ici aussi, au Théâtre des Halles pour une très esthétisante mise en scène du « Bal de Kakfa », de l’Australien Timothy Daly…

« l’Entonnoir » et « Trafic », de Louis Calaferte, Grenier à sel à Avignon

« l’Entonnoir » © D.R.

Calaferte vieilli ?
Par Cédric Enjalbert
Patrick Pelloquet continue son aventure intime avec Calaferte, après « Une souris grise » en 2004. Avec le même savoir-faire et la toujours même rigueur, il monte en alternance au Grenier à sel trois pièces de l’entomologiste dramaturge drôlement misanthrope : « la Bataille de Waterloo », « l’Entonnoir » et « Trafic », deux comédies qui sentent la naphtaline.

« l’Orestie », d’Eschyle, Odéon‐Théâtre de l’Europe à Paris

l’Orestie © Alain Fonteray

Tragi-parodie à l’Odéon
Par Cédric Enjalbert
Grand marathon à l’Odéon. Le maître des lieux monte « l’Orestie » d’Eschyle. Une trilogie qui nous balade en près de cinq heures de Troie à Athènes en passant par Argos. Il va y avoir des morts disait l’affiche. Qu’importe, j’ai chaussé mes cothurnes et suis entré dans la course. Je vous passe le relais.