« la Dernière Nuit du monde », d’après Laurent Gaudé, cloître des Célestins, Avignon

« la Dernière Nuit du monde » © Christophe Raynaud de Lage

Un beau cauchemar inabouti
Par Lorène de Bonnay
« La Dernière Nuit du monde », premier spectacle (pour nous) de cette édition dystopique à plus d’un titre, raconte un désastre intime et universel. L’histoire d’un « temps perdu » qui « ne se rattrape plus ». Sonnant comme une variation autour de la chanson de Barbara « Dis, quand reviendras-tu ? », la pièce nous meut, résonne fort avec l’actualité mais s’avère inégale.