« Les Frères Karamazov », Dostoïevski, Théâtre des Célestins, Lyon
Le parricide en questions Par Trina MounierLes Trois Coups Dernier roman de Dostoïevsky, « Les Frères Karamazov » est une œuvre-monde d’un millier de pages, avec une infinité de personnages qui évoluent au sein d’une culture puissante qui nous semble, par bien des aspects, étrangère, voire effrayante. Sylvain Creuzevault nous en ouvre l’accès dans une mise en scène brillante. Quatre heures (entracte compris) […]
« La Vie de Galilée », de Bertolt Brecht, Théâtre des Célestins à Lyon
La tête dans les étoiles
Par Trina Mounier
Philippe Torreton apparaît au sommet de son art dans une pièce-fleuve de Brecht, qui retrace les grandes étapes de « La Vie de Galilée ».
« Oreste à Mossoul », d’après Eschyle, festival Sens Interdits à Lyon
Les damnés de la guerre
Par Michel Dieuaide
Milo Rau, metteur en scène suisse, confronte les figures mythiques de « l’Orestie » aux désastres engendrés par les conflits syriens et irakiens.
« La Place Royale », de Pierre Corneille, Théâtre des Célestins à Lyon
Corneille bien-aimé
Par Trina Mounier
C’est un Corneille méconnu et, par bien des côtés, inattendu, que Claudia Stavisky crée aux Célestins, avec délicatesse et sensibilité.
« Loveless », d’après « Une Vie de putain » de Claude Jaget, La Ferme du Buisson, Scène Nationale de Marne-la-Vallée
Parole de prostituées
Par Bénédicte Fantin
Inspiré par le témoignage de prostituées, « Loveless » revient sur le combat de femmes qui protestent contre la répression policière. Cette parole précieuse recueillie par Claude Jaget, alors journaliste à Libération, peine toutefois à nous parvenir une fois transposée sur scène.
Sens interdits, festival international de théâtre à Lyon et métropole
Festival de la diversité
Par Trina Mounier
Le directeur du Festival Sens interdits, Patrick Penot, nous avait confié son inquiétude sur l’avenir de ce festival qu’il porte à bout de bras depuis huit ans. Si, comme il le pensait, sa pérennité dépend du succès rencontré, il devrait être un peu rassuré.
« Réparer les vivants », d’après Maylis de Kerangal, Théâtre Nouvelle Génération à Lyon
Funambule
Par Trina Mounier
Sylvain Maurice adapte le poignant roman de Maylis de Kerangal, « Réparer les vivants », avec une audace, un sens de l’épure et une profonde intensité, le tout porté par un comédien virtuose, un acrobate du théâtre : Vincent Dissez.