« End/igné », de Mustapha Benfodil, Théâtre de Belleville à Paris
Le meilleur pour le feu
Par Laura Plas
Avec « End/igné » de Mustapha Benfodil, Kheireddine Lardjam évoque l’Algérie actuelle en optant pour la poésie et la distanciation. Résultat mitigé, tant au point de vue de l’interprétation que de l’écriture : le meilleur est bien pour la fin (pour le feu).
« le Poète comme boxeur », de Kateb Yacine, la Manufacture à Avignon
Kateb Yacine tel qu’en lui-même
Par Fabrice Chêne
Dans le Off d’Avignon, Kheireddin Lardjam rend hommage au grand écrivain algérien disparu il y a vingt‑cinq ans. Une évocation en forme de portrait, conçue à partir d’un volume d’entretiens accordés par l’écrivain.