« Madame Diogène », d’Aurélien Delsaux, Théâtre des Marronniers à Lyon
Épopée solitaire
Par Trina Mounier
Bizarre de parler d’épopée quand le roman d’Aurélien Delsaux, qu’il porte lui-même à la scène, se réduit au long monologue d’une femme qui s’est enfermée dans la solitude de son appartement.
« Bureau de tabac », de Fernando Pessoa, Théâtre des Marronniers à Lyon
Triste pitrerie
Par Michel Dieuaide
De ricanements en moqueries, le magnifique poème de Fernando Pessoa perd toute intensité.
« Mariage[s] », d’après Anton Tchekhov, Théâtre des Marronniers à Lyon
La maladie d’amour
Par Michel Dieuaide
L’Équipe Rozet marie avec impertinence et drôlerie extraits de Tchekhov et choix de chansons populaires.
« Farinelli-xxie-sexe » [cycle « Castrats, divas, rockers »], Théâtre des Marronniers à Lyon
Hautes contrées vocales
Par Michel Dieuaide
L’Ensemble Boréades et Baroque plus présentent au Théâtre des Marronniers à Lyon « Farinelli XXIe sexe » un docu-fiction s’inscrivant dans leur recherche sur la mythologie des castrats, divas et rockers.
« Gérard Guillaumat passeur de mots », Théâtre des Marronniers à Lyon
Passeur d’auteurs
Par Trina Mounier
En ces temps de mémoire, notamment autour du centenaire de Jean Vilar, alors qu’on a évoqué Roger Planchon, Marcel Maréchal…
« Regarde‑moi », de l’Ensemble Boréades, Théâtre des Marronniers à Lyon
De Bach à Rothko, un triptyque enchanteur
Par Nathalie Legardinier
L’Ensemble Boréades a déjà réalisé de nombreux spectacles dans lesquels il explore les relations entre la musique et la peinture. Se définissant lui-même comme baroque alternatif, il bâtit des ponts subtils entre le dix-septième siècle et le monde contemporain. Dans « Regarde-moi », au Théâtre des Marronniers, à Lyon, il réalise avec le chœur Emelthée un projet original et remarquable.
« la Ménagerie de verre », de Tennessee Williams, Théâtre des Marronniers à Lyon
Tennessee Williams revisité !
Par Maud Sérusclat
Hier soir au Théâtre des Marronniers de Lyon, on pouvait voir une représentation de la pièce qui a rendu Tennessee Williams célèbre en 1945, « la Ménagerie de verre ». Pièce de la cruauté par excellence, la compagnie Le Songe d’une planche à vif nous en réservait une mise en scène surprenante et très rythmée.