« Petits contes d’amour et d’obscurité », de Lazare, Théâtre de la Paillette à Rennes
Loin du conte
Par Aurore Krol
Avec « Petits contes d’amour et d’obscurité », l’ancien élève de l’école du T.N.B. explore un diptyque douloureux, fait de fantasmes, de frustrations et de mélancolie. Le tout dans une langue viscérale et vicieuse dont la beauté ne suffit pas à faire oublier les maladresses de mise en scène.
« Affabulazione », de Pier Paolo Pasolini, Théâtre national populaire à Villeurbanne
Œdipe père et fils
Par Trina Mounier
Voici un cocktail qui s’annonçait détonant : Sophocle, Œdipe, Pasolini pour une « Affabulazione »… (traduisez rêve, mensonge, manipulation) orchestrée par un Gilles Pastor très inventif.