« Agatha », de Marguerite Duras, Théâtre 14 à Paris

Agatha-Marguerite-Duras-Louise-Vignaud © Rémi-Blasquez

On ne badine pas avec Duras !
Par Florence Douroux
Après Molière et Sénèque, Florence Aubenas ou encore Goliarda Sapienza, la jeune metteure en scène Louise Vignaud s’empare de la pièce « Agatha » de Marguerite Duras. Elle livre au Théâtre 14 une vision très personnelle de cette œuvre centrée sur la relation incestueuse d’un frère et d’une sœur, et revisite ainsi l’écrit de l’immense écrivaine.

« Hen », de Johanny Bert, Le Monfort, à Paris

hen-Johanny-Bert © christophe-raynaud-de-lage

Il / elle est libre, Hen !
Léna Martinelli
Ce cabaret d’un nouveau genre, récompensé lors du Prix de la critique 2019-2020 (mention spéciale « Spectacle Hors norme »), est repris au Monfort jusqu’au 9 février, avant une belle tournée partout en France. C’était aussi notre coup de cœur 2020.

« Onéguine », d’Alexandre Pouchkine, L’Azimut, à Antony

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En tournée
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Habitué des grands plateaux, Jean Bellorini nous surprend avec cette création intimiste. Pour restituer la poésie d’Eugène Onéguine, chef-d’œuvre de la littérature russe écrit dans les années 1820 par Alexandre Pouchkine, le metteur en scène a conçu un dispositif à mi-chemin entre spectacle et création sonore.

« Zugzwang », de Galactik Ensemble, Le Monfort à Paris

Zugzwang-Galaktik-Ensemble © Martin-Argyroglo

Attention, zone de turbulences ! 
Par Florence Douroux
C’est une acrobatie un peu singulière que défendent à nouveau les cinq artistes de Galactik Ensemble, dans leur deuxième spectacle. À un rythme effréné, corps bousculés et renversés par des éléments en rébellion, ils se jouent de l’imprévisible et franchissent tous les obstacles.

Hommage à René de Obaldia

© Rodolphe Fouano

René de Obaldia nous a quittés 
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Poète et auteur dramatique joué et célébré dans le monde entier, doyen de l’Académie française, dont il était membre depuis 1999, René de Obaldia est décédé aujourd’hui à l’âge de 103 ans.

Entretien avec Michel Raskine, metteur en scène, à propos de « Ce que j’appelle oubli », de Laurent Mauvignier, Théâtre des Célestins à Lyon

Michel-raskine © venkat-damara

Les acteurs et les textes, les deux passions de Michel Raskine 
Par Trina Mounier
Il a monté des auteurs classiques aussi bien que des contemporains, des pièces de théâtre, comme d’autres textes dans lesquels il aime se (et nous) promener, en compagnie d’acteurs fétiches qu’on retrouve en filigrane dans son travail. Toujours avec bonheur. Cette fois, Michel Raskine monte un très court roman de Laurent Mauvignier. Une première !