« En attendant Godot », Samuel Beckett, Nuits de Fourvière, Lyon
Frères humains Par Trina MounierLes Trois Coups Dominique Delorme a fait un bien beau cadeau aux fervents de théâtre des Nuits de Fourvière avec la création de « En attendant Godot » de Samuel Beckett. Le spectacle, à l’image du travail d’Alain Françon, impeccable et passionnant, repose aussi sur la complicité qu’il entretient avec de grands comédiens. Une vraie réussite, un beau moment de […]
« Avant la retraite », de Thomas Bernhard, Théâtre de la Porte Saint-Martin à Paris
Reprise
Par Léna Martinelli
Un huis clos terrifiant orchestré de main de maître par Alain Françon. Un spectacle qui a reçu le Grand Prix du Syndicat de la critique 2020.
« Avant la retraite », de Thomas Bernhard, Théâtre de la Porte Saint-Martin à Paris
Repus et non repentis Par Léna Martinelli Les Trois Coups Magnifiquement monté par Alain Françon, « Avant la retraite » de Thomas Bernhard, brûlot contre le nazisme et ses résurgences inquiétantes, est interprété de façon magistrale par Catherine Hiegel et André Marcon. Tout est prêt : l’uniforme, les accessoires, le repas… Malgré leurs différends, Vera a même le temps de converser avec sa sœur handicapée, Clara. […]
« La Dame de chez Maxim », de Georges Feydeau, Théâtre de la Porte Saint-Martin à Paris
Cascade de coups de théâtre
Par Léna Martinelli
Léa Drucker interprète la Môme Crevette au Théâtre de la Porte Saint-Martin. Portée par une belle distribution, la version par Zabou Breitman, de la pièce de Feydeau, séduit le grand public.
« Le Faiseur de théâtre » et « le Déjeuner chez les Wittgenstein » de Thomas Bernhard, Théâtre Dejazet et Théâtre de Poche Montparnasse à Paris
Délicieux jeux de massacre
Par Léna Martinelli
Pour notre plus grand plaisir, Thomas Bernhard distille son humour noir, féroce, sur les scènes parisiennes. Un régal !
« le Malade imaginaire », de Molière, les Célestins à Lyon
Un malade bien seul
Par Trina Mounier
Avec André Marcon qui reprend le dernier rôle tenu par Molière lui-même, on pouvait attendre un « Malade imaginaire » de haute volée. La mise en scène de Michel Didym, hélas, ne tient pas toutes ses promesses et pâtit d’un manque de cohérence.