« Espia a una mujer que se mata », d’après « Oncle Vania », d’Anton Tchekhov, maison de la culture à Bobigny
Vania magnifié de la M.C.93
Par Louise Pasteau
L’aire de jeu est minuscule, simplement le carré d’une pièce que meublent trois chaises et une table. Deux murs, deux portes. Les artistes entrent et sortent sans qu’on s’y attende, se mettent à parler à tout bout de champ dans cette langue qui roule les « r ».