Les Contemporaines, édition 2022, Théâtre National Populaire, à Villeurbanne

Ravages-Danièle-Leblanc © Émile Zeizig

Auteurs en scène
Par Trina Mounier
Les Contemporaines fait la fête aux auteurs. Pendant deux semaines, de nouvelles écritures vont se succéder sur le plateau de la salle Jean Bouise du TNP, dite « petit théâtre », mais 250 places quand même. Ces pièces ne seront pas lues, mais jouées, incarnées par des comédiens dirigés par un metteur en scène.

Les Contemporaines, Théâtre National Populaire, Théâtre de la Croix-Rousse, Théâtre Nouvelle Génération, à Lyon et Villeurbanne

On-dit-que-Josepha © Michel Cavalca.jpg

Des auteurs en quête d’acteurs
Par Trina Mounier
Le festival qui ouvre en mai au TNP, sous le nom Les Contemporaines, succède à En Actes. Il poursuit sa mission de faire jouer les textes de théâtre. Programmées dans la métropole lyonnaise, les écritures d’aujourd’hui vont aussi se faire entendre au Théâtre de la Croix-Rousse et au Théâtre Nouvelle Génération, avec des créations, des lectures, un concours, un salon du livre, un « speed lecture » et des rendez-vous professionnels.

« La Mère à boire », d’Elisa Ruschke, Les Subsistances à Lyon

« La Mère à boire » © Mathilde Gamon

Heurs et malheurs des relations mère/fille
Par Trina Mounier
Elisa Ruschke a déjà été remarquée lors de ses précédentes créations. On attendait donc beaucoup de ce spectacle présenté par l’Élysée aux Subsistances, deux rampes de lancement de la jeune création. Mon sentiment est mitigé.

« Gris », de Perrine Gérard, Théâtre National Populaire à Villeurbanne

« Gris » de Perrine Gérard © Maxime Mansion

Histoires d’hier et d’aujourd’hui
Par Trina Mounier
C’est la cinquième et dernière étape d’un projet fortement ancré dans Villeurbanne, l’aboutissement d’un travail collectif généreux porté par une toute jeune compagnie dont nous avons déjà beaucoup parlé, à propos du festival En Acte(s). Et une réussite incontestable.

« Histoire de Jean‑Pierre », d’Agnès d’Halluin, l’Élysée à Lyon

« Histoire de Jean-Pierre » © Augustin Rolland

La bravoure de Pierre et Maria
Par Michel Dieuaide
Ce qu’il y a de bien, parfois, au théâtre, c’est qu’en dépit de la qualité discutable de l’œuvre présentée, on peut avoir la bonne et compensatoire surprise de retrouver un comédien qu’on estime et en même temps de découvrir le talent, ici d’une comédienne, qu’on ne connaissait pas. Lui se nomme Pierre Germain. Elle s’appelle Maria Menegaki.