« Espejo », d’Agathe Surcouf, Laurette Théâtre à Paris

« Espejo »

Défense et illustration du syndrome de Stockholm
Par Vincent Morch
Être attaché à quelqu’un. Expression banale, anodine, employée souvent comme un euphémisme. Et l’on glisse à la surface des mots sans en percevoir la violence. Quoi de mieux, alors, qu’une chaîne réelle pour la rendre sensible ? Idée simple, limpide, admirablement exploitée par la compagnie des Bouches-Cousues. « Espejo » est un véritable bijou.