« le Syndrome de Cassandre », de Yann Frisch, les Subsistances à Lyon
Humour acide et magie amère
Par Élise Ternat
« Le Syndrome de Cassandre » de Yann Frisch, présenté aux Subsistances, est une création singulière à bien des égards…
« Danbé » et « A Game of You », Festival Micromondes à Lyon
Le monde des possibles
Par Élise Ternat
Petite pépite désormais associée à la programmation du Théâtre Nouvelle Génération, le festival biennal Micromondes…
« Nous ne pouvons connaître le goût de l’ananas par le récit des voyageurs. Tranche numéro 5 », festival Mode d’emploi à Lyon
La pensée en mouvement
Par Élise Ternat
Pour clore en beauté les quinze jours consacrés aux nombreux et riches débats du festival Mode d’emploi, les Subsistances proposent comme chaque année un volet « live »…
« Thomas », d’après les récits autobiographiques de Thomas Bernhard, Théâtre de la Croix‐Rousse à Lyon
L’épreuve à l’œuvre
Par Élise Ternat
Un an jour pour jour après la mise en scène d’« Affabulazione » au T.N.P., Gilles Pastor revient sur le plateau du Théâtre de la Croix-Rousse avec sa dernière création, « Thomas »…
« What the Hell Is Happiness », de Codice Ivan, Sens interdits, Théâtre de Vénissieux
Au petit bonheur
Par Élise Ternat
Programmée en ouverture de la 4e édition de Sens interdits, « What the Hell Is Hapiness ? », performance collective de la compagnie italienne Codice Ivan, livre sa dernière représentation sur le plateau du Théâtre de Vénissieux et par là même un départ de festival en demi-teinte…
« Biopigs », de Sophie Perez et Xavier Boussiron, les Subsistances à Lyon
Délit d’initié ?
Par Élise Ternat
Malgré la baisse drastique de financement dont il fait l’objet, le laboratoire des Subsistances n’en demeure pas moins fidèle aux compagnies dont il soutient sans relâche les projets…
Trois chefs‑d’œuvre [« Bella Figura », « Heart’s Labyrinth », « 27’52 »], de Jiří Kylián, Opéra de Lyon
La belle ouvrage
Par Élise Ternat
C’est en résonance à la Biennale d’art contemporain que l’Opéra de Lyon a choisi d’ouvrir sa saison en accueillant « Trois chefs-d’œuvre » du grand chorégraphe tchèque Jiří Kylián, impeccablement interprétés par les danseurs du Ballet de l’Opéra de Lyon.
« À mon seul désir », de Gaëlle Bourges, gymnase du lycée Saint‑Joseh à Avignon
Désir à profusion
Par Élise Ternat
Les jeunes filles représentées sur les tapisseries du Moyen Âge sont elles toujours vierges ? Et les licornes sont-elles des êtres aussi purs que les légendes le laissent croire ? Voici quelques-unes des questions posées par Gaëlle Bourges dans « À mon seul désir », création chorégraphique tout à fait réjouissante.
« Jamais assez », de Fabrice Lambert, gymnase du lycée Aubanel à Avignon
Quand le mythe rejoint la réalité
Par Élise Ternat
Convoquer le mythe pour comprendre la réalité, tel est le mode opératoire choisi par le chorégraphe Fabrice Lambert pour sa dernière création, « Jamais assez ». Ici, ce ne sont pas moins de dix danseurs venus sur scène comme autant de Prométhée sonder de leur danse les brèches d’une impensable réalité.
« Barbarians », de Hofesh Shechter, la Fabrica à Avignon
Entre nature et culture
Par Élise Ternat
Avec « Barbarians », le chorégraphe londonien Hofesh Shechter a choisi de convoquer les concepts de Nature et Culture. Il nous livre ici un triptyque pour le moins détonant sur la mise en tension de ces deux notions.
« Paris », de David Bobée, festival Livraisons d’été, les Subsistances à Lyon
Leçon de style
Par Élise Ternat
Voilà désormais plusieurs saisons que les Subsistances font rimer fin d’année avec « Livraisons d’été ». Au programme de ces trois semaines de festival, des metteurs en scène, des circassiens, des grands chefs cuisiniers, des musiciens, des performeurs et bien d’autres encore… à découvrir en mode « farniente ». Parmi les nombreuses propositions, retour sur un des temps forts du festival : « Paris », dernière création de David Bobée.
« Dragging the Bone », de Miet Warlop, Théâtre Les Ateliers à Lyon
Le plateau de la méduse
Par Élise Ternat
Quel plaisir de se rendre désormais au Théâtre Les Ateliers pour y découvrir quelques-unes des propositions contemporaines qui manquaient cruellement à la scène lyonnaise (à l’exception des Subsistances, bien entendu). À cet égard, « Dragging the Bone », dernière performance de l’artiste belge Miet Warlop présentée du 3 au 6 mars, est une pure bouffée d’air créatif.