« Pelléas et Mélisande », de Maurice Maeterlinck, La FabricA, Festival d’Avignon Avignon
Julie Duclos, Maeterlinck et les amours interdites
Par Trina Mounier
On ne lit plus guère l’œuvre de l’écrivain symboliste Maurice Maeterlinck. Au Festival d’Avignon, Julie Duclos monte cependant « Pelléas et Mélisande », sans effacer tout à fait l’aspect compassé de sa poésie.
« The Great Tamer », de Dimitris Papaioannou, La FabricA à Avignon
Le Dompteur magnifique
Par Pierre Fort
Les images sophistiquées et délicates du metteur en scène des cérémonies des Jeux Olympiques d’Athènes éblouissent par leur profonde humanité.
« les Âmes mortes », d’après Nikolaï Gogol, la Fabrica à Avignon
Les comédiens fascinent par leur virtuosité
Par Michel Dieuaide
Kirill Serebrennikov signe une magistrale adaptation théâtrale du chef‑d’œuvre romanesque de Nikolaï Gogol.
« 2666 », de Roberto Bolaño, la Fabrica à Avignon
Monumental !
Par Maud Sérusclat‑Natale
Quand l’œuvre de deux génies se rencontre, la terre n’a plus qu’à trembler. « 2666 » est une odyssée théâtrale remarquable aussi folle que brutale, d’une intensité et d’une qualité inégalée. Les superlatifs vont manquer.
« Barbarians », de Hofesh Shechter, la Fabrica à Avignon
Entre nature et culture
Par Élise Ternat
Avec « Barbarians », le chorégraphe londonien Hofesh Shechter a choisi de convoquer les concepts de Nature et Culture. Il nous livre ici un triptyque pour le moins détonant sur la mise en tension de ces deux notions.
« Wycinka Holzfällen » [« Des arbres à abattre »], d’après Thomas Bernhard, la Fabrica à Avignon
Quatre heures et demie qui passent comme un rêve de théâtre
Par Trina Mounier
L’adaptation du roman de Thomas Bernhard, « Des arbres à abattre », par le Polonais Krystian Lupa a enchanté et bouleversé le public de la Fabrica.
« Henry VI », de Shakespeare, la Fabrica à Avignon
« Henry VI » de Thomas Jolly : l’éclatante saga d’une nuit d’été
Cédric Enjalbert
Thomas Jolly allume au Festival d’Avignon la ferveur du public avec une saga shakespearienne haletante, dont il rassemble pour la première fois tous les épisodes : son « Henry VI » en dix-huit heures ravive la foi dans la puissance du théâtre. Il ravigote le spectateur.