Nomination d’Hortense Archambault à la direction de la maison de la culture de Seine‑Saint‑Denis à Bobigny
Communiqué
Hortense Archambault est nommée à la direction de la M.C.93, scène nationale, à compter du 1er août prochain.
« Peau d’âne », d’après Charles Perrault, maison de la culture à Bobigny
Si « Peau d’âne » m’était conté… *
Par Fabrice Chêne
Après « la Barbe bleue », Jean‑Michel Rabeux adapte un autre conte de Perrault. Sa version de « Peau d’âne » est un appel à l’imaginaire et une initiation à la magie du théâtre.
« Frères et sœurs », d’après Fedor Abramov, maison de la culture à Bobigny
Dodine ovation
Par Cédric Enjalbert
Tout le Théâtre Maly à Bobigny ! À l’invitation de Patrick Sommier, directeur de la M.C.93, la troupe russe de Lev Dodine présente en près d’un mois vingt‑cinq ans du répertoire de la compagnie. Cet évènement aussi éphémère qu’extraordinaire commençait avec « Frères et sœurs », une spectaculaire et magistrale fresque de sept heures.
« le Songe d’une nuit d’été », d’après Shakespeare, maison de la culture à Bobigny
Cauchemar de femmes
Par Olivier Pansieri
Ce spectacle a clos (en beauté) la sixième édition du Standard idéal de la M.C.93 de Bobigny. Femmes-objets et hommes en rut pour ce « Songe d’une nuit d’été » d’après Shakespeare, en polonais surtitré, mis en scène par Maja Kleczewska…
« le Corps furieux », de Jean‑Michel Rabeux, M.C.93 à Bobigny
Rage, furie, frénésie ?
Par Louise Pasteau
À la M.C.93, dans la salle Christian-Bourgeois, un ruban de signalisation en plastique rouge et blanc délimite la scène comme une zone de travaux. Jean‑Michel Rabeux s’attaque à un corps qu’il qualifie de furieux, c’est peut-être la raison pour laquelle il protège l’endroit…
« Onanisme avec troubles nerveux chez deux petites filles », d’après le rapport du Dr Démétrius Zambaco, M.C.93 à Bobigny
J’ai pleuré au théâtre pour la première fois…
Par Jeanne C.
On dit souvent de Jean‑Michel Rabeux qu’il est un provocateur, sans doute parce qu’il dénude quelquefois ses acteurs…
« Espia a una mujer que se mata », d’après « Oncle Vania », d’Anton Tchekhov, maison de la culture à Bobigny
Vania magnifié de la M.C.93
Par Louise Pasteau
L’aire de jeu est minuscule, simplement le carré d’une pièce que meublent trois chaises et une table. Deux murs, deux portes. Les artistes entrent et sortent sans qu’on s’y attende, se mettent à parler à tout bout de champ dans cette langue qui roule les « r ».