« Quartett », de Heiner Müller, Célestins de Lyon
Pas de deux
Par Trina Mounier
Il était prévisible – pour ne pas dire fatal tant la pièce flirte avec la mort –, que Michel Raskine, après tant d’illustres metteurs en scène, s’attaque un jour à « Quartett » de Heiner Müller…
« Au cœur des ténèbres », de Joseph Conrad, l’Élysée à Lyon
Intranquille dérive
Par Michel Dieuaide
À Lyon, le théâtre de l’Élysée ouvre sa saison avec « Au cœur des ténèbres » de Joseph Conrad. À la barre de cette création, un équipage expérimenté : Joël Jouanneau, Michel Raskine et Marief Guittier.
« Seconde main », lecture-spectacle d’après « la Fin de l’homme rouge ou le Temps du désenchantement », de Svetlana Alexievitch, le Lavoir public à Lyon
La fin de la culture
Par Trina Mounier
Journaliste et écrivain, Svetlana Alexievitch recueille depuis plus de trente ans les paroles de ses contemporains. Ces voix qu’elle a sorties de l’oubli, Olivier Rey en a confié la restitution à deux grandes comédiennes, Marief Guittier et Magali Bonat.
« Jean‑Jacques Rousseau », de Bernard Chartreux et Jean Jourdheuil, Sortie ouest à Béziers
Le Rousseau original de Raskine
Par Marie-Christine Harant
Trente ans après la création de Gérard Desarthe, Marief Guittier se glisse dans le manteau de « Jean‑Jacques Rousseau ». La comédienne est éblouissante dans cette nouvelle production du texte établi par Bernard Chartreux et Jean Jourdheuil, mise en scène par Michel Raskine.
« Jean-Jacques Rousseau », d’après un montage de textes de Jean-Jacques Rousseau, Théâtre 71 à Malakoff
Loin d’être abouti
Par Maja Saraczyńska
« Jean-Jacques Rousseau » est un montage de plusieurs textes, conçu en 1978 par Bernard Chartreux et Jean Jourdheuil en vue d’une mise en scène au Petit Odéon. Trente ans après la performance acclamée de Gérard Desarthe, c’est à Marief Guittier de reprendre le flambeau de l’action. Mais ce nouveau pari est loin d’être gagné…
« Huis clos », de Jean‑Paul Sartre, Théâtre Sorano à Toulouse
« Huis clos », l’enfer ne se démode jamais
Par Diane Launay
Michel Raskine revient, quinze ans après sa première mise en scène de « Huis clos », sur le chef-d’œuvre de Sartre. Il en donne une lecture originale, déconcertante, qui nous fait voir ce classique sous un nouvel angle.