« Au revoir parapluie », de la compagnie du Hanneton, Théâtre de la Ville à Paris
Féeries du crépuscule
Par Sara Roger
Bien souvent nos propres états d’âme se dérobent à nous dans ce qu’ils ont d’intime, de personnel, d’originalement vécu…
« le Conte d’hiver », de William Shakespeare, Théâtre Jean‑Arp à Clamart
Un puissant somnifère
Par Olivier Pansieri
L’avant-dernière pièce de Shakespeare, dite sur un ton monocorde par des comédiens loin les uns des autres et, plus encore, me semble-t‑il, de cette œuvre sensible, subtile et généreuse. Comme si son metteur en scène Jacques Osinski n’avait retenu de ce « Conte » que « l’hiver ». Un hiver tristounet et bien long.