« On ne badine pas avec l’amour », d’Alfred de Musset, Théâtre des Lucioles à Avignon
Mortel orgueil amoureux !
Par Lorène de Bonnay
L’Attrape-Théâtre, dirigé par Christophe Thiry, présente une version délicate et dynamique du drame sentimental de Musset, « On ne badine pas avec l’amour », au Théâtre des Lucioles.
Choses vues au Festival d’Avignon, numéro dix‑neuf
En partenariat avec Festival d’Avignon et Actes Sud-Papiers
« Solitaritate », de Gianina Cărbonariu, gymnase du lycée Mistral à Avignon
Tout est à vendre
Par Laura Plas
Tableau féroce et farcesque de l’Europe marchandisée, « Solitaritate » interpelle (et dérange) par sa pertinence. Un beau travail que l’on ne peut malheureusement apprécier qu’à moitié si l’on veut suivre les surtitres.
« Comment moi je », de Marie Levavasseur, Présence Pasteur à Avignon
Joli bric-à-brac pour grandes questions
Par Laura Plas
Bric-à-brac de jolies idées de scénographie et de mise en scène, « Comment moi je » charme sans convaincre totalement en raison de son écriture décousue.
« l’Idéal Club », écriture collective sous la direction de Philippe Nicolle, Villeneuve en scène
Franche déconnade
Par Léna Martinelli
Les 26 000 couverts présentent « l’Idéal Club » dans le cadre de Villeneuve en scène. Une création burlesque qui a les défauts de ses qualités.
« le Cancre », de Bernard Crombey, d’après Daniel Pennac, Théâtre des Lucioles à Avignon
Haro sur l’ignorance, les cancres n’existent pas !
Par Lorène de Bonnay
Après six années de succès dans « Motobécane », Bernard Crombey substitue le bonnet d’âne de l’élève paresseux aux deux-roues du paysan-poète picard : sa nouvelle création, « le Cancre », présentée au Théâtre des Lucioles, est adaptée de deux œuvres de Daniel Pennac. L’interprétation reste hors pair.