« Angelus novus‐AntiFaust », de Sylvain Creuzevault, la Colline, Festival d’automne à Paris

Angelus novus-AntiFaust © D.R.

Dans la mer de cet « AntiFaust », on rame ! ¹
Par Lorène de Bonnay
Contrairement à Bob Wilson qui vient d’adapter les deux « Faust » de Goethe il y a quelques semaines, Sylvain Creuzevault puise librement dans le mythe du savant en quête de savoir absolu pour créer une pièce très ancrée dans son temps et touffue. « Angelus novus-AntiFaust », jouée à la Colline, nous conduit dans un voyage parsemé de moments inspirés, mais foutraque.