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Catégorie : les Trois Coups

Choses vues au Festival d’Avignon, numéro vingt et un

Choses vues, numéro vingt et un

En partenariat avec Festival d’Avignon et Actes Sud-Papiers

« God Is in My Typewriter », d’Anna‑Mari Laulumaa, d’après Anne Sexton, The Garage International à Avignon

« God Is in My Typewriter » © Guido Venitucci

La danse du corps obscur
Par Corinne François-Denève
En anglais, la Finlandaise Anna-Mari Laulumaa évoque la figure tragique de la poétesse Anne Sexton avec une exquise délicatesse.

« Notre peur de n’être », de Fabrice Murgia, gymnase du lycée Aubanel à Avignon

Fabrice Murgia © Jean-Francois Ravagnan

Solitudes sur fond noir
Par Fabrice Chêne
La nouvelle création de Fabrice Murgia était très attendue en cette dernière semaine du Festival d’Avignon. À l’arrivée : une proposition aussi belle esthétiquement que limitée dans son propos.

« Selma », de Per Olov Enquist, Grenier à sel à Avignon

« Selma » © Alain Szczuczynski

La dame de Mårbacka
Par Corinne François-Denève
Une adaptation académique d’une pièce de Per Olov Enquist qui voudrait parler de cinéma, de littérature et de théâtre.

Choses vues au Festival d’Avignon, numéro vingt

Choses vues, numéro vingt

En partenariat avec Festival d’Avignon et Actes Sud-Papiers

« Conte de l’ordinaire », de Grégory Presotto et Carole Ramon, îlot Chapiteaux, île de la Barthelasse à Avignon

Salle de spectacle

Cirque de la vie conjugale
Par Laura Plas
Spectacle de cirque infiniment théâtral, « Conte de l’ordinaire » nous fait partager avec beaucoup de tendresse et d’humour les dix ans de mariage d’un couple pas si ordinaire. À voir en famille !

« Quien soy », de Wilmer Marquez et Edward Aleman, espace Vincent‑de‑Paul, île Piot à Avignon

Plus haut, plus vite, plus fort
Par Laura Plas
Survitaminé, porté par des musiques urbaines, « Quien soy » plaira aux amateurs de performances. Voici un spectacle populaire et actuel, mais dont on sort sans émotions autres que celles liées à l’adrénaline.

« On ne badine pas avec l’amour », d’Alfred de Musset, Théâtre des Lucioles à Avignon

« On ne badine pas avec l’amour » © Bernard-Michel Palazon

Mortel orgueil amoureux !
Par Lorène de Bonnay
L’Attrape-Théâtre, dirigé par Christophe Thiry, présente une version délicate et dynamique du drame sentimental de Musset, « On ne badine pas avec l’amour », au Théâtre des Lucioles.

Choses vues au Festival d’Avignon, numéro dix‑neuf

Choses vues, numéro dix-neuf

En partenariat avec Festival d’Avignon et Actes Sud-Papiers

« Solitaritate », de Gianina Cărbonariu, gymnase du lycée Mistral à Avignon

Gianina Cărbonariu © D.R.

Tout est à vendre
Par Laura Plas
Tableau féroce et farcesque de l’Europe marchandisée, « Solitaritate » interpelle (et dérange) par sa pertinence. Un beau travail que l’on ne peut malheureusement apprécier qu’à moitié si l’on veut suivre les surtitres.

« Comment moi je », de Marie Levavasseur, Présence Pasteur à Avignon

Plateau théâtre

Joli bric-à-brac pour grandes questions
Par Laura Plas
Bric-à-brac de jolies idées de scénographie et de mise en scène, « Comment moi je » charme sans convaincre totalement en raison de son écriture décousue.

« l’Idéal Club », écriture collective sous la direction de Philippe Nicolle, Villeneuve en scène

« l’Idéal Club » © Jean-Alexandre Lahocsinszky

Franche déconnade
Par Léna Martinelli
Les 26 000 couverts présentent « l’Idéal Club » dans le cadre de Villeneuve en scène. Une création burlesque qui a les défauts de ses qualités.

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