« Vincent, toi et ton équipe, vous
faites un travail formidable ! »
À propos de « les Cendres de Pasolini [et celles des autres aussi] », du Collectif Zukovsky, Théâtre de l’Iris à Villeurbanne
Merci d’être venue, et enfin merci pour votre article et votre enthousiasme.
Votre critique est très fidèle à ce que nous voulons transmettre. Nous en sommes particulièrement touchés.
À bientôt.
Sincèrement,
« Les Trois Coups, c’est une pépinière de critiques. Ils sont acteurs, étudiants […], tous raides amoureux de théâtre. Une quarantaine à aller au théâtre et à écrire sur les spectacles. »
Bonjour Trina,
Sans vouloir faire offense à la déontologie de nos métiers, je voudrais vous dire le plaisir que j’ai eu en découvrant votre critique de nos Précieuses ridicules parue dans les Trois Coups ; plaisir de lire et sentir votre attention à travers les différentes strates et étapes qui composent notre travail.
Les visites de la presse – tout comme celles des professionnels – sont plutôt rares lorsque nous jouons avec mon équipe (sans doute en cause l’effet de ces multiples « reprises » qui doivent en lasser plus d’un quand, au contraire, nous ne faisons que grandir ce qui n’était pas mûr, et grandir nous-mêmes…).
Merci de votre présence et de votre fidélité. Je vous souhaite de joyeuses fêtes de fin d’année.
Bien cordialement,
Monsieur Dieuaide,
Je voulais vous remercier de l’article très touchant que vous avez rédigé sur Manque.
C’est ma première véritable « critique » sur mon travail, et je suis heureux qu’elle soit d’une aussi belle teneur.
Vous avez tout à fait saisi l’endroit de notre travail. C’est un bel hommage pour une forme aussi compliquée et parfois si opaque…
J’espère vivement vous recroiser de nouveau, à l’occasion de nos prochains rendez-vous théâtraux de l’année.
Vous trouverez toutes les informations sur notre site :
http://collectifx.com
Merci encore, et bonne route à vous !
Bien cordialement,
Bonjour Lise,
Je vous remercie infiniment pour l’article qui nous a fait très plaisir.
Pour nous, c’est vraiment important de recevoir une si belle critique et tous les comédiens ont beaucoup apprécié de la lire.
Vos paroles sont encourageantes et donnent aussi une belle image de notre école.
Avec mes meilleures salutations et au nom de toute la Scuola Teatro Dimitri.
Cordialement,
Cher Vincent,
Un grand merci pour ton très bel article, qui nous fait chaud au cœur. Plume pas rouillée du tout ! Affûtée plutôt !
On t’embrasse bien fort.
Au plaisir de se recroiser dans les rues d’Avignon,
Bonjour Jean-François,
J’ai été très très touchée par votre article, ces quelques lignes qui résument si bien notre univers.
Un grand merci et nous le partagerons !
Amitié,
Bonjour Émilie,
Je tenais à vous dire combien votre article nous a tous touchés au moment où nous vivions justement les derniers instants de ce spectacle qui nous aura marqué si profondément et si sensiblement au cours de ces quatre années. Votre perception si juste, si enthousiaste et si éclairée nous a apporté à tous un beau réconfort alors que l’humeur était hélas aux adieux. Au nom de toute la troupe, je vous remercie de nous avoir témoigné tant d’humanité dans le regard ! À très bientôt, j’espère ! Bien à vous !
Hello Sarah,
Merci pour cet article qui fait bien plaisir à lire parce qu’il dit bien ce que ces trois auteurs ont comme capacité à défendre la vie, et parce qu’il retrace ce que nous avons cherché à faire, à dire et à conjuguer. C’est un sacrément beau retour pour nous.
Sinon, ça a l’air chouette aussi de faire partie de ce collectif de passionnés les Trois Coups. Au plaisir de vous croiser.
Bonjour Jean-François,
Il n’est pas dans mes habitudes, bien que cela me fait plaisir d’avoir des critiques positives, de remercier par courrier les auteurs. Comme je viens de recevoir votre mail que Marion Piras m’a fait suivre, j’avoue que je me sens presque gêné par tant d’éloges. C’est vrai que ce groupe fonctionne de mieux en mieux et que nous recevons un accueil positif en général. Votre compte rendu est vraiment complet, et je n’y trouve aucune phrase passe-partout ou cliché pseudo-branché.
Vous faites un vrai travail de transcription de nos réactions et des vôtres et vous proposez aussi quelques clés d’accès à une musique malheureusement pas souvent commentée dans le détail, ce que vous faites à notre sujet. Merci.
Un tel papier nous aide aussi à convaincre certains programmateurs, méfiants vis à vis des musiciens européens, à faire appel à nous et pas systématiquement aux musiciens américains.
Merci encore et, s’il vous plaît, si vous êtes présent à l’un de nos prochains concerts, je souhaite faire votre connaissance et parler un peu, si vous avez le temps.
Bien à vous.
Je vous souhaite de belles fêtes de fin d’année.
Ma-gni-fi-que !
Je me réjouis de transmettre cet article aux comédiens et metteur en scène.
Un immense MERCI à Lorène de Bonnay et à toi !
Chère Lorène, Cher Vincent,
Je tenais à vous remercier sincèrement, ainsi que toute l’équipe – Jean‑Marie Russo, Paddy Sherlock, Catherine Nadal –, du très bel article que vous avez écrit sur le spectacle Pour un oui ou pour un non.
Nous sommes tous vraiment très heureux et très touchés.
Très belle journée à vous,
Au plaisir de vous revoir bientôt,
Amitiés,
Jean-François, bonsoir,
Merci pour ce super article, vous avez parfaitement cerné l’album [Album Ballade en guitare, de Raphaël Faÿs] et l’artiste. Mille mercis.
Je ne manquerais pas de vous faire parvenir les prochains.
Bien cordialement,
Bonjour,
Merci beaucoup pour cet article [Jazz à l’Étage deux mille treize, avec Malo Mazurié et Kellylee Evans, chronique numéro trois de Jean-François Picaut, à Rennes et Saint-Malo]. Très sympa d’avoir détaillé chaque morceau !
Amitiés,
Merci, Jean-François !
Wow ! Ça m’a touchée vraiment, ton article [Jazz à l’Étage deux mille trize, avec Malo Mazurié et Kellylee Evans, chronique numéro trois de Jean-François Picaut, à Rennes et Saint-Malo]. Je vais le partager sur mes réseaux sociaux. Merci encore et à très vite.
Bonjour Jean-François,
Merci mille fois pour ton boulot et ta passion pour les artistes, tu nous a beaucoup gâtés. Superbe travail. Merci, bien sûr, aux Trois Coups pour ce partenariat.
Bises,
Bonjour Laura,
Merci beaucoup pour ce superbe article [le Magicien d’Oz].
Cordialement,
Cher Vincent,
Nous venons de nous rendre compte que nous ne vous avons pas remercié correctement pour votre papier sur A puerta cerrada.
Alors, de la part du Théâtre du Soleil, nous vous remercions pour avoir fait apparaître sur votre site la superbe critique de votre collaboratrice Laura Plas.
Bien à vous,
À l’attention de Laura Plas :
Bonjour et merci beaucoup pour votre article ! [Le titre est dans le coffre]. Superbement écrit et très complet, un grand merci !
À bientôt.
Cordialement,
Bonjour Maud,
Je reviens vers vous suite à votre venue sur le spectacle Scènes de la vie ordinaire que vous avez découvert à La Coopérative à Belfort.
Merci pour votre article généreux publié sur les Trois Coups !
Bonjour Vincent !
Nous avons presque tous les soirs des lecteurs des Trois Coups dans la salle, et c’est très intéressant de pouvoir échanger avec eux. [Souvenirs d’un pauvre diable].
Par ailleurs, votre site est vraiment plébiscité par tous ceux avec qui nous avons l’occasion d’en parler !
Bien à vous,
Bonjour Vincent,
C’est ici [Long voyage vers la nuit et Embrasser les ombres], en effet, et c’est formidable : Lorène de Bonnay a, décidément, une très belle plume, mais surtout elle a ressenti, avec sensibilité, ce que je voulais transmettre. Le type même d’article qui nous fait chaud au cœur, dans un Off où ce type de proposition a beaucoup de difficulté à émerger. Merci donc, cher Vincent, d’entretenir autour de vous cette qualité éditoriale dont le théâtre a bien besoin.
Bien cordialement,
Chère Lorène,
Je tenais à vous remercier personnellement pour cette si jolie critique de la Mouette sur les Trois Coups.
Votre œil aiguisé a su lire entre les lignes et ainsi comprendre mon travail…
Ce festival a été un vrai bonheur, et nous vous le devons.
Bien à vous,
Bonjour Sarah !
Je viens de lire ton article des Trois Coups sur Contour progressif. « Mes respects ! » comme on dit. Bien que complètement subjectif, ça fait du bien de lire un article qui ne fait pas de bla‑bla. Je te vois bientôt journaliste au Monde !
Bises,
Bonjour Florent,
À moi de vous remercier. Votre papier est super ! [Ciel d’Athènes à New York].
Merci encore et j’espère à bientôt.
Au plaisir de vous accueillir,
Bien cordialement,
Bonjour Vincent,
Merci à vous et à Laura pour ce nouvel (et très appréciable) article [Ici, ailleurs ou autre part]. Je le transfère à la compagnie.
Au plaisir,
Bonjour Madame Elghazi,
Je tenais à vous remercier pour votre article sur le spectacle les Grands Plateaux, qui est écrit avec une grande intelligence et une belle sensibilité.
Cordialement,
Merci Jean-François pour ce bel article sur Juliette [Ça se traverse et c’est beau…].
En plus je suis gâtée, j’ai lu avec plaisir votre interview de Nicolas Vaude, qui est un comédien que j’apprécie beaucoup.
Bonne semaine.
Bonsoir Jean-François,
Merci beaucoup pour ce retour de concert [Jazz à L’Étage troisième édition, du deux au neuf mars deux mille douze, chronique numéro deux de Jean-François Picaut]. Un plaisir d’échanger avec vous un peu avant !
À bientôt.
Musicalement,
Mademoiselle ou Madame…
Je tenais personnellement à vous remercier pour l’article que vous avez écrit sur cette petite pièce qui me tient à cœur… : Capucine.
J’espère vraiment vous avoir étonnée et ravie. Je vous remercie aussi pour les compliments faits à l’actrice ainsi qu’à l’ensemble des intervenants de ce spectacle… Je serai ravi de vous faire découvrir mon univers de chansons pour « grands » dans lequel je travaille depuis mille ans… Merci encore… Cela nous aide vraiment.
Bonsoir,
Un mot pour vous remercier infiniment de votre critique [la Campagne].
Mes amitiés à Vincent Cambier et à toute l'équipe des Trois Coups.
Chère Madame Doukhan,
Je n’avais pas encore eu le temps de vous remercier pour la critique très fouillée que vous avez rédigée au sujet de notre travail [le Huron]. C’est un plaisir de lire les remarques et les commentaires d’une spectatrice qui est entrée aussi profondément au cœur du spectacle.
Nous venons de mettre un lien vers votre texte depuis notre site, et nous vous tiendrons évidemment informée de l’actualité à venir de notre compagnie.
Avec tous nos remerciements,
Bonjour Vincent,
Je vous envoie ce petit mot pour vous dire que mon équipe et moi avons découvert la critique de Laura Plas autour de notre spectacle Flexible, hop hop ! avec beaucoup d’enthousiasme.
(Il s’agit de notre premier article et je suis ravie qu’il paraisse sur un site de qualité comme les Trois Coups.)
Merci à elle d’avoir écrit un article aussi argumenté, merci à vous d’avoir pris en considération ma demande, car nous avons peu de dates pour l’instant et je sais que vous êtes très sollicité.
Merci pour ce coup de pouce !
À bientôt,
Cher Vincent Cambier,
Je tiens à vous remercier d’avoir publié cette chronique hernanienne. Nous sommes en plus en bandeau du site… ! Quelle visibilité ! Céline Doukhan pose bien les enjeux de notre création avec un œil aiguisé. Qu’espérer de mieux que cette formulation : « imparfait mais au charme fou »… ! Grâce à cette semaine de représentations nous allons retravailler ce spectacle à l’aune des retours.
Je vous tiendrai au courant de la suite et vous remercie encore sincèrement,
À bientôt,
Cher Vincent,
Je te remercie pour ton magnifique papier sur le spectacle [la Belle de Cadiz]. Je te souhaite de belles vacances. Je t’embrasse.
Cher Monsieur Picaut,
Je vous remercie infiniment pour le merveilleux article que vous avez écrit sur notre spectacle Bats l’enfance. Je vous souhaite une très bonne fin de festival. Cordialement,
À l’attention de toute la rédaction du journal,
Je tiens à vous remercier chaleureusement d’avoir sélectionné mon concert [Gatane en concert aux Déchargeurs à Paris] dans vos actualités.
J’en suis très touché, car je connais l’exigence et le goût de votre ligne éditoriale, et c’est un réel plaisir que de voir mon spectacle annoncé dans les Trois Coups.
J’envoie donc des remerciements collégiaux à toute l’équipe et y glisse une pensée toute particulière pour l’auteur de la sélection.
Je serais par ailleurs ravi d’inviter quelques membres de l’équipe à venir découvrir mon spectacle qui se joue donc aux Déchargeurs tous les jeudis à vingt heures.
Tenez moi au courant si cela vous intéresse.
Merci encore.
Amitiés musicales
Chère Laura Plas,
Je sais que beaucoup de temps a passé depuis que vous avez assisté à la représentation de notre dernier spectacle jeune public, le Loup et moi ; mais je tenais à vous remercier pour l’article que vous lui avez consacré et n’ai pas eu le temps de le faire plus tôt. Je vous prie de m’en excuser.
Très souvent, les spectateurs adultes cherchent dans nos spectacles une part pédagogique ou un message qui édifierait les enfants. Tout se passe comme si, dès qu’il s’agit d’enfants, la qualité se mesurait à la dimension pédagogique de l’objet artistique.
Pas de livre pour enfant sans grand sujet lui apprenant la vie (de ce point de vue seule la forme a changé, les moralités demeurent), pas de chanson pour enfant, sans apprentissage (de l’hygiène dentaire à la tolérance, en passant par la nutrition), et bien sûr, pas de spectacle sans grandes idées édifiantes. Le divertissement se doit d’être accompagné de pédagogie sous peine de n’être que « marchand ». Mais pourquoi laisser le divertissement pur aux « marchands » ?
Alors, lorsqu’un adulte accepte que nos spectacles ne cherchent rien d’autre que le divertissement des enfants, le plaisir « de leurs grands yeux et de leurs grandes oreilles », pour citer votre article, lorsqu’il le voit avec ce double regard de l’enfant et de l’adulte, lorsqu’il accepte d’assister à une féerie et rien d’autre, je suis comblé.
Merci donc de vous être laissé aller au plaisir de ce que nous avons voulu construire comme un rêve, un tourbillon visuel et sonore, juste un « joli petit spectacle » comme vous le dites si bien, et d’en avoir rendu compte avec beaucoup de sensibilité et de simplicité. Votre article m’a beaucoup touché, je dois le dire, par son acuité et sa dimension critique.
J’espère avoir encore l’occasion de vous accueillir lors de nos prochaines créations.
Cordialement,
Bonjour,
Un grand merci à vous et à Laura Plas pour le papier sur notre spectacle les Vieux Os. Nous sommes ravis de ce papier et du fait que l’article soit relayé dans de nombreux sites sur le Net. À très bientôt.
Bonsoir, Jean-François,
Merci beaucoup pour cette critique fine du spectacle [« DTC (On est bien) », de Ludovic Barth et Mathylde Demarez (critique de Jean-François Picaut), La Paillette à Rennes (trente-cinq)] et le résumé très bien vu des interrogations suscitées. Cela devrait être constructif pour Mathylde Demarez et Ludovic Barth. Je leur transmets de ce pas. Bien à vous,
Bonjour,
Juste un petit mot pour vous féliciter pour le site « Les Trois Coups », que j’ai découvert il y a un peu plus d’un an, et dont je suis devenue une grande lectrice et utilisatrice, allant au théâtre au moins une fois par semaine ! Je le recommande dès que je peux ! Bravo ! et j’espère que le site a une longue vie devant lui !
Vincent,
C’est un très beau papier, intelligent, qui part du plateau, de ce qui s’y passe concrètement, pour accéder au sens et à l’émotion ; ça semble une évidence, ce n’est pas toujours le cas et ce n’est pas toujours aussi bien écrit [« Dans la solitude des champs de coton », de Bernard-Marie Koltès (critique de Tiphaine Pocquet du Haut-Jussé), Le Lucernaire à Paris].
Tu remercieras Tiphaine de ma part et de la part de toute l’équipe. Peut-être viendra-t-elle voir Oleanna à Avignon [« Oleanna », de David Mamet (critique de Sarah Elghazi), Off du Festival d’Avignon, L’Entrepôt à Avignon] cet été ; elle y est attendue, invitée, espérée, sans espoir d’article en retour (puisque c’est déjà fait !) !
De la même manière, j’espère que tu pourras à ton tour découvrir Dans la solitude des champs de coton au Lucernaire la saison prochaine.
Je dois avouer que je suis flatté que l’on n’en soit pas resté à notre rencontre manquée autour d’un texte trop jeune et trop peu théâtral. Il est des exigences dont on doit savoir apprendre et Marie Thomas ne se trompait pas (Marie ne se trompe pas souvent… ni sur le théâtre, ni sur les gens).
Nos mères vont continuer à se faire du souci, mais elles savent, sans nous le dire, combien ce que nous faisons nous permet de croiser de belles personnes et de ne pas tout à fait désespérer du monde.
Te remerciant encore et espérant que ta santé s’améliore,
Bien à toi,
Merci, Céline Doukhan
Un vrai bonheur de critique sensible, argumentée et au plus près du spectacle [« Louis, l’enfant de la nuit » (critique de Céline Doukhan), Théâtre municipal de Fontainebleau]. Je la garderai précieusement, car après quinze années de tournées en France, c’est une des rares que l’on a envie de montrer.
Cher Monsieur,
Merci infiniment pour cette belle chronique, écrite avec tant de sensibilité ! [« Quelque chose dans l’air », d’Edwige Morgen (critique de Jean-François Picaut), album chez Codaex]. Quelle belle surprise pour moi… une belle étoile en cette veille de Noël ! Merci aussi, au nom de tous les musiciens qui m’accompagnent. Ayant produit moi-même cet album, je vous en suis d’autant plus reconnaissante ! Voilà qui récompense ce long parcours du combattant. Bien cordialement… et musicalement,
Cher Monsieur,
Merci infiniment pour cette belle chronique, écrite avec tant de sensibilité ! [« Quelque chose dans l’air », d’Edwige Morgen (critique de Jean-François Picaut), album chez Codaex]. Quelle belle surprise pour moi… une belle étoile en cette veille de Noël ! Merci aussi, au nom de tous les musiciens qui m’accompagnent. Ayant produit moi-même cet album, je vous en suis d’autant plus reconnaissante ! Voilà qui récompense ce long parcours du combattant. Bien cordialement… et musicalement,
Hello Vincent,
Superbe critique du Gorille ! [« Le Gorille », d’Alejandro Jodorowsky d’après Franz Kafka (critique d’Olivier Pradel), Le Lucernaire à Paris]. Olivier Pradel écrit vraiment bien. Amicalement,
Madame Lise Facchin,
Il est rare de lire un article et d’en sentir à ce point la joie, la délicatesse, l’ensemble des sentiments généreux, les humeurs, les poétiques, la tendresse et le rire que vous avez eus pour ce spectacle [« Album de famille », d’après Brel, Reggiani, Brassens… (critique de Lise Facchin), Ciné Treize Théâtre à Paris]. Je me surprends à lui jeter un coup d’œil de temps à autre parce que j’ai l’impression qu’il est aussi délectable qu’une chanson. C’est bravochouettefortdélectable de servir votre métier avec autant de charme. Et, bien sûr, je garde en tête ce qu’aurait pu être l’article si vous n’aviez pas aimé ce spectacle. Tout aussi beau :-). Cordialement,
Chère Praskova,
Il est magnifique, votre article. Manifestement très travaillé, ayant bien canalisé votre émotion, et la laissant supposer, dans une économie, une précision maîtrisées. C’est concis, et enthousiaste à la fois. Je suis tombé dessus lorsqu’il était à la une du Monde.fr avant-hier. Donc très agréable surprise, me consolant de l’article de Brigitte Salino mi-figue mi-raisin paru en avril… Grand merci, donc, en amitié, et à très vite.
Bonjour Cédric,
Je viens de remettre le nez dans ton article sur le Festival Parade à Nanterre en juin dernier. Ton article sur le Lâcher de ballerines de la Cie Colbok est super intéressant. Enfin du journalisme qui épluche l’artistique, et cela nous fait du bien d’avoir un retour sur notre humour. Ton analyse est en adéquation avec notre travail, donc c’est génial ! Merci à toi. Sincères colbokeries.
Bonjour Vincent,
J’espère que tu vas bien en ce début de fin d’été. Merci pour ton article brillamment écrit. Tu avais raison, le temps et le travail donnent de jolis mots qui vont droit au cœur. Au plaisir de te revoir et d’avoir de tes nouvelles. Je t’embrasse.
Monsieur Enjalbert,
Je prends connaissance à l’instant de votre article concernant le « spectacle » Dieu qu’ils étaient lourds… Je suis très ému et très touché par vos lignes. Il est toujours bouleversant d’avoir investi tant d’amour et de travail sur un auteur, et non des moindres, et de lire ensuite que cet investissement d’une extrême sincérité éclôt dans les cœurs, les âmes et les têtes contemporaines. Je vous remercie de tout cœur de votre bel article. Je suis au bout de mes mots et, par chance, me trouvant actuellement en Limousin, je vais aller rentrer mes larmes d’émotion en marchant au bord d’un lac. Merci encore. Recevez toute mon amitié.
Cher Vincent,
J’ai lu avec émotion et joie ton papier. Je connais ta prose et j’avoue être fière d’avoir une telle critique. Je t’en remercie comme je te remercie d’avoir franchi la porte de cette salle obscure. À très bientôt par mail avant le prochain festival. Porte-toi bien. Je t’embrasse. Bien à toi,
Monsieur Enjalbert,
Je prends connaissance à l’instant de votre article concernant le « spectacle » Dieu qu’ils étaient lourds… Je suis très ému et très touché par vos lignes. Il est toujours bouleversant d’avoir investi tant d’amour et de travail sur un auteur, et non des moindres, et de lire ensuite que cet investissement d’une extrême sincérité éclôt dans les cœurs, les âmes et les têtes contemporaines. Je vous remercie de tout cœur de votre bel article. Je suis au bout de mes mots et, par chance, me trouvant actuellement en Limousin, je vais aller rentrer mes larmes d’émotion en marchant au bord d’un lac. Merci encore. Recevez toute mon amitié.
Cher Vincent,
Je voulais te remercier et surtout Fatima Miloudi pour son article. Il est très important pour nous et même fondamental pour notre compagnie d’être soutenu par vous, journalistes. Les bons critiques sont de plus en plus rares et votre travail nous réchauffe le cœur. Merci encore au nom de toute la compagnie pour votre présence à nos côtés. Salutations,
Bonjour Vincent,
Je voulais absolument remercier Anaïs pour son magnifique article sur les frères Taloche. Sa plume est belle, juste, et elle a su extraire l’essence de leur art et de leur complicité. Son article est sûrement l’un des plus beaux jamais écrits sur eux. Bravo et merci donc à Anaïs de la part de toute l’équipe des Taloche
Bonjour Céline Doukhan,
Merci beaucoup pour votre critique, précieuse et féconde. Comme annoncé au début du spectacle, celui-ci évolue au fil des représentations, notamment à partir des commentaires des uns et des autres ! Aujourd’hui, Isabelle n’a plus rien d’un faire-valoir ! Ainsi va le spectacle vivant ! Merci en tout cas pour ce beau travail. Cordialement,
Bonjour Jean-François Picaut, et merci beaucoup pour votre mail.
Je suis allée faire un tour sur votre site. Cela pourrait bien nous servir pour nous donner l’inspiration pour notre présentation de chaque soirée sur le site de l’émission ! Bravo à vous, et que ce contact quotidien avec le spectacle vivant continue ! Bien cordialement,
Bonjour Lison,
Nous avons lu votre article ! Merci pour cette belle vision de notre travail. Vous avez vu tout ce que j’avais voulu y mettre, j’en suis ravie. Serez vous à Avignon ? À très bientôt.
Bonjour Monsieur Cambier,
Je tenais à vous remercier pour le travail remarquable fait par votre équipe et notamment Mme Harant qui suit notre programmation avec professionnalisme et pertinence. Son article sur le spectacle Tempête, mis en scène par Irina Brook, que nous coproduisons, a fait grand bruit et m’a permis de recevoir le mail ci-dessous reçu d’Irina en personne depuis les États-Unis où elle fait actuellement une mise en scène.
Sa production déléguée la maison de la culture de Nevers propose d’ailleurs depuis son spectacle avec en pièce jointe l’article des Trois Coups.
Belle victoire pour nous tous.
Je vous fais suivre un deuxième mail de la maison de la culture de Nevers et vous jugerez sur pièce.
Cordialement.
Chère Frédérique,
Je voulais juste vous remercier, toi et ton formidable théâtre pour le bon accueil qu’on a eu a Lattes. J’étais loin, mais très présente en esprit, j’ai eu des nouvelles de tous les côtés et je voulais t’appeler le samedi et puis le moment est passé… Merci mille fois, et hourra pour cet extraordinaire article, clairement Lattes nous porte bonheur ! À bientôt, j’espère. Amitiés.
Chère Madame Beurtheret,
Je vous remercie pour ce bel article, publié si rapidement ! Bien à vous.
Vincent,
Je te remercie vraiment : la venue rapide de Sheila et le rédactionnel posé immédiatement sur le site ! L’écriture est belle, et c’est toujours un plus pour le lecteur et spectateur potentiel. Nous nous retrouverons à Avignon cet été. Porte-toi bien et à très vite. Bises.
Vincent, merci encore pour la critique de Bal-trap. Tu as l’art de choisir tes correspondants. Sophie Lecerf a une très belle plume. Les comédiennes et les comédiens sont ravis. Bises.
Bonjour Vincent,
Un grand merci à vous et à Mme Harant pour ce très bel article. Nous continuerons à être mutins avec ravissement. Très cordialement
Merci, Vincent, pour ce beau papier sur ce beau spectacle de cette belle équipe !
Bonjour Fatima Miloudi,
Je suis Christel, assistante de production de la Cie La Zampa. En me baladant par hasard sur Internet, je suis tombée sur l’article que vous avez écrit sur notre pièce Daisy Cutter, jouée en décembre dernier à Nîmes. Je voulais vous remercier chaleureusement et vous demander si nous pouvions le mettre en ligne sur notre site, avec un lien sur votre journal bien sûr ? Merci, à bientôt.
Bonjour Élise Noiraud,
Nous avons lu avec attention votre critique et nous vous en remercions chaleureusement ! Elle nous paraît vraiment très juste et tombe bien pour nous. Un peu désolés de n’avoir pas eu l’occasion de se rencontrer. À bientôt.
Peut être pas tout à fait déontologique, mais je voulais dire à Sylvie Beurtheret le plaisir et la joie que m’a procuré son papier et la remercier de l’aide qu’il nous apporte. Cordialement.
Bonjour Élise Noiraud,
Je tenais à vous remercier pour votre critique, votre réflexion, sur Puissants et miséreux. C’était vraiment un plaisir de vous lire. Bien cordialement,
Merci à Sylvie Beurtheret, qui a du style, pour son article qui donne envie de courir voir la pièce.
Emmanuel Arnault, bonjour,
Ce n’est pas mon habitude d’écrire aux critiques qui, somme toute, font leur travail comme je fais le mien (même s’ils ne sont pas payés, de toute façon, moi non plus !). J’ai décidé de déroger à cette règle aujourd’hui avec vous. C’est le premier article que nous avons où je sens – et c’est très rare – une telle compréhension de notre travail. En fait, nous avons beaucoup de papiers, très bons, mais avec des analyses absurdes. Cela fait très plaisir – pas seulement d’avoir un bon papier –, ce n’est pas de la vanité, mais de sentir une connivence, une communion, à ce point avec un spectateur, fût-il critique. Bravo pour votre regard et votre pertinence.
Bonjour Vincent Morch,
Après le premier mouvement d’ego dévastateur, j’ai bien relu votre critique des Cahiers de Malte… Elle est vraiment super ! Pas tellement pour nous… Mais enfin une critique qui n’est pas juste un amas d’impressions ! Elle est réfléchie et, surtout, replace le spectacle dans son contexte et dans celui de l’œuvre originale. Alors, c’est chouette ! En plus, elle est bien écrite. Que demande le peuple ? Alors merci pour cette VRAIE critique. Merci aussi d’être venu nous voir, et vraiment désolé que ça ne vous ai pas transporté ! Bien cordialement.
Vincent,
Merci infiniment de m’avoir entendu et d’avoir envoyé un de tes correspondants. L’article d’Élise Noiraud est super. Amitiés.
Bonjour Maud Sérusclat,
Je voudrais simplement vous remercier pour la qualité de l’article que vous avez écrit à propos de notre spectacle. L’équipe artistique et sa directrice artistique – auteur et interprète également – ont été très heureuses de lire votre critique et d’en apprécier la pertinence. Bien cordialement.
Bonjour Maud Sérusclat,
De retour de cette aventure dantesque qu’est Avignon, je tenais à vous remercier pour l’article élogieux que vous avez rédigé sur Drôle[s] de dame[s], (spectacle musical joué au Théâtre du Balcon) et sur mon travail. Je ne manquerai pas de vous tenir au courant de mes projets futurs. Bien cordialement.
Vincent,
Un grand merci à toi d’avoir envoyé Claire Néel. Décidemment, tu as de très bonnes journalistes… Remercie-la aussi de ma part. J’adore, nous adorons son papier. Merci. Amitiés.
Merci Vincent. C’est très réconfortant et précieux de découvrir de tels témoignages [ici (Claire Stavaux) et ici (Cédric Enjalbert)], si fins, si intelligents… Merci à toi et à tes collaborateurs pour la pertinence des papiers.
Bonjour M. Picaut, Merci beaucoup. Votre article est encourageant, droit et juste. Très appréciable. Au plaisir de discuter avec vous prochainement.
Bonjour les Trois Coups, À vrai dire ce mail s’adresse surtout à M. Fabrice Chêne. Je suis Olivier Faliez, l’interprète du rôle de M. Martinez dans le spectacle du même nom (éponyme, comme on dirait sûrement sur votre site, où l’on châtie son langage) et sur lequel vous avez écrit un long article. Alors, bien sûr, le fait que vous ayez été très élogieux sur le spectacle vous a rendu évidemment sympathique à mes yeux (à nos yeux…), et je vous remercie avant tout de cela. Cependant, si je vous écris, ce n’est pas uniquement pour cette raison-là, mais pour vous dire que pour la première fois dans ma jeune carrière un article critique m’a non seulement fait plaisir mais aidé dans mon travail, dans mon interprétation. Particulièrement le passage où vous parlez d’un « personnage de lettré incompris, perdu dans un monde oppressant qui a perdu le sens des mots et le goût du langage ». Ce personnage étant, comme tous les autres, le fruit de longues improvisations, il y a beaucoup de moi en lui, et cet aspect, que je n’aurais pas décrit consciemment, m’a paru très juste et m’a même, je l’avoue, raconté des choses sur mon humble personne, le pourquoi de ce personnage, ce que j’avais voulu inconsciemment raconter avec lui… Bref – je ne vais pas vous raconter ma vie, soyez rassuré –, vos mots me sont restés et sont même devenus au fil des représentations un repère quand je ne savais plus ce que je venais jouer chaque soir… et je vous prie de croire que, particulièrement à Avignon, il arrive bien souvent qu’on perde le fil, la raison pour laquelle on est venu jusque là… Voilà, je ne sais pas si ce genre de mail vous arrive souvent, je ne sais pas si l’on se croisera un jour. Dans tous les cas continuez à aller voir des spectacles et à en parler aussi bien ! À une prochaine !
Vincent, j’aime beaucoup l’article de Laurie Thinot. Je le trouve à l’image que je souhaiterais que les gens aient du spectacle : humble et tendre. Il est bien écrit, il reflète fidèlement le spectacle, et n’en fait pas trop dans les superlatifs comme cela se voit régulièrement. Le metteur en scène pense la même chose que moi, ainsi que l’ensemble de notre petite équipe. Un merci sincère, donc, aux Trois Coups, site qui, je remarque, a acquis, au fil des années, de plus en plus de notoriété.
Vincent, merci beaucoup pour ce très beau papier.
Quelques mots pour dire combien j’ai été touché par l’attention et la précision d’analyse d’Estelle Gapp dans sa critique du spectacle Electronic City au TGP de Saint-Denis… Voilà, si vous pouvez transmettre mes remerciements pour son écoute.
Je viens de découvrir la critique de votre collaboratrice Élise Ternat à propos de mon spectacle Bouchouka. Je tenais à la remercier personnellement aussi bien pour la bienveillance de son propos que pour la pertinence de son analyse. Son article est sensible, précis et personnel, et j’en suis très touchée. Défendre un projet intime comme Bouchouka et rencontrer un avis critique de cette qualité, eh bien c’est encourageant ! Alors merci beaucoup à Élise, j’espère que vous lui transmettrez ce message. À très bientôt.
Merci à vous, au site les Trois Coups et à Claire Néel pour cette belle critique sur les Contes de la petite fille moche !
Chère Céline Doukhan, merci pour ce bel article sur notre pièce Mélinda et Mélinda, qui nous va droit au cœur. Revenez quand vous voulez, qu’on fasse connaissance. Très cordialement.
Bonjour Vincent, J’aime beaucoup l’article de Louise Pasteau, elle a une plume, un regard que j’apprécie.
Vincent bonjour, un petit message pour saluer tes correspondants lyonnais qui ont mis un théâtre qui me touche de près à l’honneur avec Léa Torres pour les Aventures du roi Odyssée, qui touchent toujours autant les jeunes et les moins jeunes au T.N.G.…, et Maud Sérusclat qui salue Riverside Drive au charmant petit Théâtre des Marronniers… Bien amicalement.
Cher Vincent, merci pour cet article [Olivier Pansieri] de grande qualité culturelle et si élogieux pour nous. Je suis également très touché par la fin de votre article, car votre résistance à la médiocrité « subventionnée » fait écho à ma réflexion sur une certaine politique de pensée unique, pour ne pas dire de pensée amputée, qui sévit depuis trop longtemps dans le milieu du théâtre. Très amicalement.
Bonjour Vincent, je voulais vous remercier pour l’article de Lise Facchin sur la pièce Plan social que je trouve juste, sans complaisance ni condescendance, et néanmoins très sympathique pour les comédiens et le théâtre.
Voici un billet [Vincent Morch] remarquable, sensible et profond, digne d’un quotidien national, alors que Libération et le Monde ont été d’une médiocrité affligeante… Merci !
Merci Vincent, pour le fond et la forme ! Toujours plaisir à te lire. De belles fêtes. Amitiés.
Bonjour, un grand merci à vous même et à Anne Losq pour son si gentil article. À bientôt, j’espère. Bien à vous.
Cher Monsieur Cambier, nous voudrions vous remercier ainsi que Claire Néel pour l’article que vous avez publié sur Jocaste. Cela donne du courage et de l’espoir pour continuer cette belle aventure théâtrale. Bien cordialement.
Merci, cet article de Cédric Enjalbert est à l’image du spectacle, plein de force et de vie.
Merci, ça fait plaisir de lire une critique de ce genre… Ça me donne la pêche pour finir la dernière semaine… Au plaisir de vous rencontrer lors d’un prochain spectacle. À bientôt.
Un grand merci pour cet article (écrit avec talent) qui nous fait beaucoup de bien ! À bientôt, j’espère. Bien à vous.
Un grand merci pour cet article (écrit avec talent) qui nous fait beaucoup de bien ! À bientôt, j’espère. Bien à vous.
Cela fait un petit moment que je suis vos chroniques et vos critiques sur votre site et que je prends en considération votre travail dans mon choix de sorties parisiennes. Je trouve votre site bien organisé et beau ; il donne une image chaleureuse de la culture actuelle, à la différence de bien d’autres, qui se perdent dans une recherche esthétique et critique pseudo intello et élitiste.
J’aime beaucoup lire vos chroniques. J’y passe souvent sans faire de bruit . Aujourd’hui, je prends le temps de vous le dire : « Excellent travail ».
Merci Vincent, superbe article… J’aime le style d’Anne, juste, simple et belle plume….
Merci Vincent, superbe article… J’aime le style d’Anne, juste, simple et belle plume….
Les Trois Coups sont devenus pour nous une référence, en tant que théâtre, en tant que compagnie et en tant que spectateurs. La plume franche et acerbe de ses rédacteurs est non seulement plaisante à lire, mais également pertinente. Elle fait honneur au rôle – pas toujours évident – de critique. Nous saluons le travail passionné (mais objectif !) de son équipe. Nous souhaitons donc au journal et à ses rédacteurs le meilleur pour deux mille dix-neuf et pour les années qui suivront. Un merci particulier à toi, Vincent, pour ta sympathie, ta franchise, ton énergie, et bien sûr pour tes articles. À très bientôt ! Amitiés.
Merci pour cette belle critique de notre travail.
Bonjour Vincent Cambier, je viens juste de découvrir la critique qu’Antoinette de Vannoise a faite de notre représentation à Java, je vous en remercie infiniment et chaleureusement ! Je ne vous cacherai pas qu’en lisant l’article j’étais au bord des larmes. La justesse des propos sans complaisance éveillent en moi une forte estime en la qualité de votre travail. Encore merci pour votre simplicité et amour du théâtre. Longue vie à la revue ! Mes amitiés sincères.
« Depuis notre débat sur le Off d’Avignon, j’ai eu l’occasion de “lire” votre site critique, et j’en ai été très heureux. Parce que j’apprends des choses dont les médias parisiens ne m’informent pas et parce que les critiques sont de bonne qualité. Continuez bien ! Tous mes vœux à vous et aux Trois Coups ! Amicalement. »
Bonjour,
Ce message pour vous remercier de la critique que vous avez fait paraître sur le spectacle Petite mélodie pour corps cassé, représenté en novembre dernier à Béthoncourt. Nous avons été très touchés par son écriture, merci pour ces retours chaleureux. Vous souhaitant de bonnes fêtes de fin d’année,
Cordialement,
Vincent,
C’est le plus bel article que j’aie jamais lu. C’est la vue la plus intelligente et la plus juste qu’on ait écrit sur la démarche d’un corps messager.
À chaque phrase un frisson parcourt mon corps tant Cédric Enjalbert a compris ma démarche. Je suis littéralement bouleversé par ses propos.
Je vous demande de bien le remercier de ma part. Je me sens accompagné, et cela me donne du courage pour la semaine prochaine.
Bien amicalement à vous et à toute l’équipe des Trois Coups.
Bonjour Trina Mounier,
Je voulais simplement vous remercier pour la qualité de votre critique de l’Étourdissement.
Votre enthousiasme pour ce spectacle me fait extrêmement plaisir. Votre article retranscrit mon ressenti sur le texte de Joël Égloff. Il décrit avec justesse également les choix artistiques et de mise en scène que nous avions déterminés avec Gérald Robert‑Tissot et Cyrille Cagnasso.
En espérant que nous aurons l’occasion de se rencontrer sur d’autres projets de théâtre, je vous souhaite une bonne journée.
Chère Trina Mounier,
Je vous écris sur cette adresse mail dans l’espoir que ces quelques mots vous seront remis.
Je tenais à vous remercier chaleureusement pour l’article que vous avez écrit à propos de notre spectacle Lune jaune, la ballade de Leila et Lee que nous avons donné au T.N.P. en février dernier.
Toute l’équipe du Théâtre Exalté en a été émue, sincèrement, et vous témoigne sa reconnaissance pour le choix de vos mots, pour la bienveillance de votre intérêt, et pour la plume avec laquelle vous vous êtes engagée.
Il est toujours difficile pour une jeune compagnie, même soutenue par le T.N.P., de susciter la curiosité de nos aînés ; nous nous débattons dans l’espoir que ce spectacle tournera quelque peu, même si cela semble mal engagé pour la saison prochaine, les programmations étant déjà terminées depuis quelques semaines, voire quelques mois.
Alors un grand merci, du fond du cœur, pour votre présence dans la salle, pour ce temps d’écriture qui donne de la saveur à notre travail, merci de nous avoir fait redécouvrir ce spectacle à travers votre regard.
Au plaisir de vous compter tantôt parmi nous,
Bien cordialement,
Votre article est super et vous avez tout compris à l’esprit de ce projet.
Merci encore.
Dear Jean-François
Now your beautiful article was translated for me : thank you for the warm words and great support of my music !
Warm Regards,
Nous avons lu votre critique d’Au pont de Pope Lick sur les Trois Coups !
Un grand merci à vous, c’est très rare d’avoir de vraies critiques et c’est très appréciable !
Bien à vous,
Bonjour Trina,
Je découvre ce que vous avez écrit sur Violet dans les Trois Coups.
Je suis très flatté par ce que vous en dites parce que c’est à l’endroit où je cherchais à placer le spectacle et les spectateurs. Et vous y mettez encore plus de mots que je n’arrive à le faire. C’en est presque troublant.
Merci, donc.
À très bientôt.
Bonjour,
Nous voulions vous remercier pour l’article que vous avez écrit sur notre spectacle. Nous sommes très heureux qu’il vous ait plu et que nos partis pris artistiques, de mise en scène, maquillage, jeu des acteurs, aient pu vous plaire.
Vous avez parfaitement traduit ce que l’on a souhaité faire sur cette mise en scène de Tailleur pour dames, nous en sommes très touchés.
Avec tous nos remerciements,
Bien à vous,
Merci, Jean-François, pour votre message et vos beaux papiers [ici et ici].
Nous avons été très heureux de vous recevoir pour cette cinquième édition du festival Vinovaliejazz.
En espérant avoir le plaisir de vous rencontrer sur le prochain millésime !
Bon été,
Bien à vous,
Bonjour,
Simplement pour remercier Aurore Krol que je n’ai pas le plaisir de connaître, d’avoir écrit la critique du spectacle Tapage dans la prison d’une reine obscure joué à l’espace Alya. Vous avez parfaitement retranscrit ce que nous voulions faire. Votre émotion nous a beaucoup touchés. Nous revenons de ce festival ébranlés et en questionnement sur la réception de notre projet artistique. Votre contribution nous conforte dans nos choix esthétiques et de répertoire ! Donc, merci et peut-être nous croiserons-nous sur une prochaine représentation… Bel été à vous et vive le théâtre, vive la vie !
Cordialement,
À Lorène de Bonnay,
Nous avons été très touchés par votre très belle critique (Quand la nuit tombe de Daniel Keene).
Merci beaucoup.
Bien à vous,
Bonjour Aurore,
Je voulais vous remercier au nom de la compagnie pour la belle critique que vous avez écrite sur le spectacle Au bord du gouffre de Cédric Gourmelon suite à votre venue au Festival Mythos à Rennes.
Bonne continuation à vous ainsi qu’aux Trois Coups et à bientôt j’espère. Bien cordialement,
Bonsoir Aurore, bonsoir Vincent,
Je viens de lire votre bel et élogieux article sur Tapage dans la prison d'une reine obscure, et vous en remercie vivement et sincèrement. L'équipe du spectacle se joint à moi bien sûr.
Nous sommes tous vraiment ravis.
Bonne soirée à vous et à bientôt.
Amitiés,
Jean-François,
Merci pour l’investissement, la profondeur que tu manifestes dans ton rapport aux artistes et aux évènements culturels.
J’aurais voulu être une petite souris pour entendre la richesse des échanges que vous avez pu avoir avec Rémi [Panossian]. J’en ai découvert le résultat avec délice. C’était un projet qui me tenait à cœur depuis des années et grâce à toi il a pu prendre jour.
Mille mercis, sincèrement.
Bonjour Jean-François,
Je vous remercie infiniment pour votre article [Jazz à l’Étage deux mille trize, avec Mina Agossi et Rémi Panossian, chronique numéro deux de Jean-François Picaut, à Rennes et Saint-Malo].
En plus c’est « notre » super photo !
Bravo. Bien à vous,
Merci Vincent !
C’est un papier qui raconte très bien ce que nous faisons avec ce spectacle.
À très bientôt.
Amicalement,
Bonjour Laura,
Je tiens à vous remercier très chaleureusement pour l’article que vous avez écrit sur notre spectacle, Le titre est dans le coffre.
Votre article est très flatteur pour notre « jeune spectacle » (qui ne compte à ce jour que 8 représentations et on sait que le rire, c’est du rythme et que le rythme, c’est du temps). Je le trouve très à propos (je vais d’ailleurs avec votre permission vous « voler » quelques phrases pour les mettre dans notre dossier de présentation), fin, intelligent et très bien écrit (contrairement à beaucoup de vos confrères qui écrivent pour le Web).
Très chaleureusement,
Bonjour Vincent,
Quel plaisir de lire la plume si pertinente et fine de Trina pour le Poucet, de Gilles Granouillet.
Je suis ravie pour la compagnie qui mérite sa critique, le succès au rendez‑vous en est la preuve vivante.
Bonjour Vincent et Laura,
Merci pour votre article [le Petit Poisson futé comme ça !], j’ai envie de dire vrai article (rappel historique, détails précis du spectacle, retours négatifs et positifs…). Même si votre critique n’est pas celle espérée par la compagnie (de plus, il s’est produit un gros bug technique ce jour‑là :), nous la trouvons assez juste et surtout explicite, à la différence de certains médias qui trop souvent ne prennent pas la peine de rédiger une critique constructive, qui se concentrent sur un seul aspect du spectacle et pour finir ne prennent pas la peine de reconnaître le talent des artistes.
Laura a observé avec attention le spectacle, et son article sera, à mon sens, utile à la compagnie et à l’évolution du spectacle.
Merci pour cette belle critique [Sisyphski, la cité des Astres].
Au plaisir de se rencontrer pour d’autres spectacles
Bonjour,
Évidemment toute l’équipe a adoré votre critique [le Procès de Jeanne d’Arc] et tout ce que vous avez pu voir dans ce spectacle en ne l’ayant vu qu’une fois…
Merci infiniment à vous, et bon courage,
Au plaisir de se revoir,
Cher Vincent Cambier,
Je suis Magda de la compagnie Contour progressif, je travaille à la diffusion et la presse.
Je souhaitais envoyer un mot de remerciement à Sarah Elghazi pour son très bel article sur le solo de Mylène Benoit, Le renard ne s’apprivoise pas.
Bonjour Lise,
Bravo pour ce bel article ! [Marinai, profeti et balene]. Mon passage sur la scène du Casino de Paris aux côtés de Vinicio Capossela restera un souvenir inoubliable. Et merci pour le compliment sur ma chute de reins ;).
Bonjour Solenn,
Je vous remercie pour cette très belle critique [Je suis une personne]. Je l’ai même envoyée à des journalistes (papier) pour leur donner envie d’assister au spectacle !
Bonjour,
Merci pour cette très belle critique ! [Faire danser les alligators sur la flûte de Pan].
Bien cordialement,
Hello Jean Francois,
Quel beau papier !!! [Deux très grandes dames]. Vraiment, merci à vous et vos mots !
Je suis ravie et je pense que les gens dans la salle étaient heureux… et que le Yann est content d’avoir invité une musique « autre », mais très intense, et pleine d’amour.
Je souhaite bien revenir un de ces quatre dans ce festival.
À bientôt et bon travail et vie !
Sincèrement,
Je suis la metteuse en scène du spectacle [Dans les yeux de Léo] à propos duquel Laura Plas a écrit un si bel article, et je l’en remercie. Nous sommes fiers de voir, grâce à cette critique, que ce que nous avions voulu montrer est effectif.
Bonjour Vincent,
Merci à vous et à Mathilde Pinchenat pour cette jolie critique du spectacle [Festof] de Jean-Jacques Vanier !
Bien à vous,
Chère Laura Plas,
Un comédien qui interprète un monologue [la Pluie] est toujours heureux d’avoir une bonne critique le concernant, concernant l’œuvre qu’il interprète, le travail en général.
J’ai eu de bonnes critiques pour la Pluie mais rarement d’aussi sensibles, justes et pertinentes où j’ai autant le sentiment qu’ont été perçus, reçus, compris l’œuvre de Daniel, la traduction de Séverine, la mise en scène de Colette, mon travail, et notre choix d’adresser cette pièce aux enfants.
Je voulais simplement vous le dire, « voilà tout » comme dirait Hanna.
Et sachez qu’une critique de cette qualité comptera beaucoup pour ce spectacle nomade qui tourne dans toutes sortes de lieux, au plus près des gens, et rencontre donc peu l’occasion d’attirer la presse.
Bonne journée à vous,
Bien cordialement,
Les Trois Coups doivent absolument continuer de vivre, ils sont très importants dans la vie du théâtre actuel.
Bien à vous,
Bonjour Laura,
Ce mail pour vous remercier du papier [l’Auto-T.O.C.] paru dans les Trois Coups.
Le ton est vif, le propos est clair, vous avez apprécié et compris notre travail.
Merci beaucoup et au plaisir de vous revoir à l’un de nos prochains spectacles.
Ce petit mot pour te souhaiter une très belle année deux mille douze. Je te transmets cette petite phrase de René Char : « Il faut souffler sur quelques lueurs pour faire de la bonne lumière ». Oui, avec tous tes collaborateurs, en suivant le théâtre, vous faites de la bonne lumière, vous ouvrez des espaces pour faire découvrir des artistes, et c’est beau. Merci, Vincent, et à bientôt. Je t’embrasse.
Oui, bien sûr, j’ai râlé parce que j’attendais ton papier avec un peu d’impatience [Prométhée, poème électrique]… Mais, voilà, je viens de le lire, et là, oui, là, merde, ça fait du bien, ça fout la joie ! Merci, Vincent, d’avoir écrit avec tes nerfs, avec le bout de tes yeux, le fond de ton ventre ! Merci d’avoir pris le temps et la langue d’étincelle, d’avoir laissé jaillir tes mots à toi, pour parler de nous. Merci de la part de toute l’équipe qui a partagé d’un sifflement admiratif ton propos, et ta manière… Je t’embrasse, le festival pour nous s’achève aujourd’hui, nous mettrons ton article bien en haut de nos prochains vagabondages !
Bonjour Jean François,
Je tenais à vous remercier pour avoir assisté à notre spectacle la Géométrie des silences et pour le bel hommage que vous lui avez fait dans votre article. Encore merci pour votre attention et votre sensibilité.
Bonjour,
Je tiens à vous remercier pour le très bel article de Laura Plas sur notre pièce la Crosse en l’air d’après le feuilleton de Jacques Prévert : nous sommes sincèrement touchés.
Bonjour Monsieur Picaut,
Je suis Monica, la chanteuse de tango que vous avez rencontré à Avignon.
Je voulais vous signaler que cette année ce sera une année très spéciale pour nous.
En fait, l’année dernière, en fin de festival, j’ai fait une rencontre un peu particulière, je suis allée voir Comment Mr Mockinpott fut libéré de ses tourments et j’ai fait la connaissance de la troupe de la Cie du Catogan. Gwenhaël de Gouvello, le metteur en scène, venait de recevoir la mention spéciale du Club de la presse pour sa mise en scène. Figurez-vous qu’il est venu voir mon concert et il m’a proposé de nous mettre en scène à nous « les petits de la maison de l’Avocat ». J’en fus très honorée. Je n’aurais jamais attendu autant !
Cela va tout à fait dans le sens de ce que vous aviez écrit il y a deux ans, vous rappelez-vous ? « Ce que je souhaite à ce petit concert, sans prétention mais très attachant, c’est d’évoluer vers un véritable spectacle, mis en scène et chorégraphié, qui permette à ces trois musiciens remarquables de donner leur pleine mesure. En attendant, ne vous privez pas d’aller applaudir, à l’heure de l’apéritif, ce Tango de dos por cuatro. »
Nous voici aujourd’hui partis ensemble pour une nouvelle aventure, le théâtre musical mise en scène et chorégraphié.
Maintenant, il y trois musiciens : harmonica (Christian Buttard), guitare (Pierre Bernon, que vous connaissez déjà) et Renaud Duret à la contrebasse. Il y aussi deux danseurs qui dansent « como en Buenos Aires » qui m’accompagnent (Félix et France Akli). Je dois avouer aussi que la scène est bien plus « confortable » que celle de la maison de l’Avocat (que je garde néanmoins toujours dans mon cœur). Cette année, on passe au Théâtre Golovine tous les soirs. Il s’agit d’un spectacle que nous avons conçu ensemble avec le metteur en scène. C’est un hommage au grand compositeur argentin, Astor Piazzolla, dans le vingtième anniversaire de sa disparition.
Le nom de la pièce : Piazzolla tango urbano,vingt ans déjà… J’aime notre pièce. Je la trouve fraîche et profonde à la fois. J’aimerais vous inviter à la voir car, sans doute, vous serez meilleur juge que moi. J’aimerais savoir ce que vous en pensez. Voilà tout, si vous avez du temps, nous vous attendons au Théâtre Golovine tous les soirs. Au plaisir de vous revoir,
Cher Monsieur,
Je vous suis reconnaissant d’avoir permis que Marie Tikova m’incite à faire ce bilan d’une histoire, celle du Théâtre Jean-Vilar de Vitry-sur-Seine que je dirige depuis plusieurs décennies, et qu’il soit publié dans votre journal [Entretien avec Gérard Astor, directeur du Théâtre Jean-Vilar de Vitry-sur-Seine (par Marie Tikova)]. Cet article n’est pas passé inaperçu, ni autour de moi ni auprès de gens que je ne connaissais pas. Il est trop rare, malheureusement, de pouvoir parler sérieusement de cet engagement nécessaire sans lequel nos métiers n’ont pas vraiment de sens.
Je lirai plus souvent votre journal, et pourrais vous adresser, si vous le souhaitez, des éléments de mon combat. Cordialement,
Bonsoir Sheila,
Votre interview est très belle [Entretien sonore avec Hélène Darche, metteuse en scène de « la Petite Chronique d’Anna Magdalena Bach » au Théâtre Douze à Paris (par Sheila Louinet)], comme votre article ! [« La Petite Chronique d’Anna Magdalena Bach », d’après Ester Meynell (critique de Sheila Louinet), Théâtre Douze à Paris]. Merci de votre travail. Comme le disait Vilar (et comme je voulais le dire à Vincent, mais je suis un peu fâchée avec mon téléphone), le dernier mot est le bon ! Donc, merci aussi pour votre titre, dont je devais vous faire retour. La dernière phrase de notre Petite Chronique est « Ne me retire pas ta grâce ». Bonne continuation à vous et au plaisir…
Bonjour Vincent,
Cette critique est sublime. J’en suis très heureux pour le spectacle [« la Mouette », d’Anton Tchekhov (critique de Marie Tikova), Théâtre-Studio à Alfortville].
Bonjour Sheila,
Formidable, merci mille fois pour votre très jolie prose [« la Petite Chronique d’Anna Magdalena Bach », d’après Ester Meynell (critique de Sheila Louinet), Théâtre Douze à Paris] que nous ne serons pas peu fiers d’exposer haut et fort en vitrine presse au théâtre, et ce dès ce soir !
Bonsoir,
Votre papier concernant notre pièce Mort à crédit nous comble de joie [« Mort à crédit », de Louis-Ferdinand Céline (critique de Sébastien Gazeau), Le Petit Théâtre à Bordeaux]. C’est époustouflant. Seul le travail rend le théâtre heureux. Des mots, des paroles, des gestes d’un artisan, d’un comédien, et le verbe, le jeu, se font art… Nous aimerions tant obtenir les coordonnées portables de M. Gazeau afin de partager avec lui notre joie ! Encore merci. Bien cordialement.
Bonjour Céline,
J’ai bien lu l’article que vous avez écrit. Je l’ai trouvé très fin et bien écrit [« Jongle d’oc », de Vincent de Lavenère (critique de Céline Doukhan), Théâtre municipal de Fontainebleau]. C’est drôle, car dès la fin du spectacle, ma femme Véronique à débarqué dans les loges en me disant la chose suivante : « Vincent, le moustique, c’est vraiment trop, et en plus il y a un hors-sujet sur le plan sonore, car bien trop long. ». Le lendemain (hier), je jouais le spectacle encore à Fontainebleau pour le personnel de la mairie, ce fameux moustique dans le micro au lieu de rester 1,30 min n’a fait un passage que de 15 s. Pour la pomme, peut être n’ai-je pas su rendre le silence porteur d’assez d’humanité… Merci pour votre article. Il y a des papiers qui blessent, d’autres plus élogieux et d’autres constructifs. Pour moi, le vôtre aujourd’hui à été constructif et en plus flatteur. Merci, Céline, bonne plume et bon vent à vous.
Bonjour Sheila,
Je viens de lire votre article [« Je ne suis pas ta chose », de Julien Daillère (critique de Sheila Louinet), espace Sorano à Vincennes]. Au-delà du plaisir de lire votre ressenti, je découvre une belle plume, intelligente, sensible, vive et percutante. Merci à vous de transmettre ainsi. Cordialement,
Bonjour Sheila Louinet,
Autour des Liaisons dangereuses, malgré quelques petites réserves évoquées (mais c’est la règle du jeu, n’est-ce pas ?), par la présente, toute l’équipe et moi-même venons vous remercier pour la mise en ligne sur les Trois Coups de votre bien jolie prose ! [« Les Liaisons dangereuses ou la Fin d’un monde », d’après Choderlos de Laclos (critique de Sheila Louinet), Théâtre Essaïon à Paris]. En effet, il est devenu rare, mais il est tellement appréciable de lire un papier si bien construit, nourri et argumenté ! Merci donc de votre soutien éditorial.
Bonjour Madame Beurtheret,
Je suis la maman de Bastien Ossart et je viens de prendre connaissance de votre article. J’ai les larmes qui coulent… grâce à vous ! Grâce effectivement, car je demeure dans les Pyrénées centrales et ne viens, pour des questions multiples, jamais voir mon fils à Paris. Certes, je l’ai vu à Muret ou à Bonaguil, mais jamais à Paris. Alors, sachez que ce que vous avez écrit me ravit le cœur et l’esprit. Votre enthousiasme et votre rire s’entendent à travers toutes vos belles et lumineuses paroles. Le professionnalisme de cette troupe ne fait plus aucun doute, cela change des sempiternels mêmes éloges faits à la télévision sur des pièces et des noms plus connus, alors merci pour eux. Pour tout cela, je vous remercie du plus profond de mon cœur et vous embrasse affectueusement.
Bonjour Fabrice Chêne,
Nous nous sommes croisés une première fois quand vous étiez venu voir cette proposition singulière (dans laquelle j’avais une petite participation comme comédien/assistant) qu’était Comment rater sa psychanalyse à L’Atelier du plateau. Là, je viens de lire votre critique de Gertrude (le cri) où je joue Cascan, le serviteur fidèle de la reine. Je voulais vous remercier pour votre article. Les propos que vous tenez sur la pièce en général et sur ma prestation en particulier me vont droit au cœur. Merci et à bientôt.
Cher Vincent,
J’ai lu avec émotion et joie ton papier. Je connais ta prose et j’avoue être fière d’avoir une telle critique. Je t’en remercie comme je te remercie d’avoir franchi la porte de cette salle obscure. À très bientôt par mail avant le prochain festival. Porte-toi bien. Je t’embrasse. Bien à toi,
Bonjour Fabrice Chêne,
Nous nous sommes croisés une première fois quand vous étiez venu voir cette proposition singulière (dans laquelle j’avais une petite participation comme comédien/assistant) qu’était Comment rater sa psychanalyse à L’Atelier du plateau. Là, je viens de lire votre critique de Gertrude (le cri) où je joue Cascan, le serviteur fidèle de la reine. Je voulais vous remercier pour votre article. Les propos que vous tenez sur la pièce en général et sur ma prestation en particulier me vont droit au cœur. Merci et à bientôt.
Bonjour Vincent,
J’espère que tu vas bien en ce début de fin d’été. Merci pour ton article brillamment écrit. Tu avais raison, le temps et le travail donnent de jolis mots qui vont droit au cœur. Au plaisir de te revoir et d’avoir de tes nouvelles. Je t’embrasse.
Bonjour, d’abord mes félicitations pour votre site, ça fait du bien de lire de vraies critiques ! Un petit bémol, vous êtes basé à Avignon, et les critiques des pièces de la région (Marseille, Aix, Les Salins…) n’abondent pas, voire sont quasi inexistantes. Je réside à Marseille et serais heureuse de lire vos critiques sur les théâtres marseillais. Autre question : vous arrive-t-il d’envoyer vos spécialistes dans des petits lieux ? La création marseillaise en théâtre est très riche et parfois beaucoup plus novatrice que les grands théâtres subventionnés… Encore bravo pour votre équipe !
Cher Vincent,
Je vous charge de remercier chaleureusement Sheila Louinet pour ce très bel article. Votre soutien est un apport considérable pour la suite des représentations. Encore merci pour votre site et votre professionnalisme. Bien à vous,
Bonjour Jean-François et merci encore pour votre sens de l’écoute et le regard que vous portez sur notre évènement. Certes, comme vous le dites, Saint-Nazaire ne jouit pas d’une très belle image, et ce souvent grâce aux médias parisiens qui y voient plutôt une citadelle de dockers mal embouchés que de citoyens ouverts sur le monde… Reste que le public des Escales arrive de partout, du Grand Ouest bien sûr, mais bien au-delà. À l’année prochaine peut-être. Bien cordialement,
Bonjour Vincent,
Merci beaucoup pour l’implication de tes chroniqueuses sur le prix Théâtre treize ! C’est une aide précieuse pour tous ces jeunes metteurs en scène qui ont tant besoin de retours sur leur travail. Et un vrai rayonnement pour le Festival. Un merci tout spécial à Anaïs Heluin, qui a vu qautre spectacles, et qui nous a passionnés avec ses critiques [ici, ici, ici, ici]. La remise du prix a lieu aujourd’hui au Théâtre , si elle souhaite être parmi nous c’est avec plaisir ! Céline Doukhan, qui a fait la belle critique du Misanthrope, est aussi la bienvenue, bien entendu ! Mille bises. À bientôt.
Vincent Cambier bonjour,
J’ai eu envie ce matin de revenir en quelques lignes brèves sur l’article dont j’avais eu connaissance que vous m’avez transmis à nouveau hier.
Car depuis que nous avons travaillé sur ce texte de Melquiot, bien que son univers me soit déjà familier, j’ai pu saisir dans les réactions et échanges avec les spectateurs de notre mise en scène à l’automne dernier quels pouvaient en être les enjeux pour nous. Et, une fois encore, tout cela questionne la puissance du verbe – et du corps mêlé au verbe dans ce que donne le théâtre – à l’heure où l’on accorde à l’image le privilège de la possibilité du « séisme de la sensibilité » dans l’humain.
C’est aussi ce que j’ai apprécié dans cet article de Sylvie Beurtheret : le fait qu’elle ait relevé avec aisance et simplicité les enjeux de ce texte, de ce que l’auteur cherche à bousculer toujours avec finesse, des travers dans lesquels il ne tombe jamais. Fabrice Melquiot est déroutant, et s’il l’est pour le lecteur, il l’est aussi pour le public, sans épargner le comédien qu’il respecte autant qu’il le met à l’épreuve de ses repères.
Nous avons déjà traversé toutes ces fragilités, ces frontières délicates et les doutes qui s’imposent depuis que notre compagnie a mis en scène cette Vie de chandelle telle que Melquiot l’a dessinée au crayon. Et, en relisant ces mots de Sylvie Beurtheret, j’y ai retrouvé nos précautions inconscientes ou admises après les premières représentations et en préparation d’Avignon cette année.
Je vous remercie donc d’avoir re-réveillé dans la nuit l’écho de cette lecture et de ce texte, et aurais aimé vous écrire ces mots dès ma première réponse à votre courrier. Bien à vous, et à votre équipe d’observateurs de la matière théâtrale.
Bonjour Élise Noiraud,
Je tiens à vous remercier de la part de toute l’équipe pour votre article. Cordialement.
Emmanuel Arnault,
Je vous remercie beaucoup de cette belle critique sur le spectacle et pour le compliment… Vous faites un beau métier ! Délicat… Mais quand c’est bien écrit et que le journaliste argumente comme vous le faites : bravo !
Bonjour,
Merci pour cet article élogieux. Veuillez également transmettre nos remerciements à Élise Noiraud. Bien cordialement,
« Les Trois Coups » est un site dont j’apprécie le contenu et le style, d’une part en tant qu’ancienne productrice de radio (R.F.I. et France Culture pendant une quinzaine d’années), mais aussi parce qu’en parallèle je suis depuis bien plus longtemps metteuse en scène et enseignante de théâtre notamment à Paris‑III.
Bonjour Vincent,
Merci à vous pour le travail que vous faites avec les Trois Coups et à Élise Noiraud pour cette belle critique. C’est un soutien important dans notre démarche artistique, alors qu’il est pour l’instant assez titanesque de mobiliser le public et les professionnels pour défendre le projet. Cela a fait chaud au cœur à toute l’équipe. Bonne continuation. À bientôt.
Bonjour Sylvie Beurtheret,
Je voulais vous écrire combien votre article sur mon spectacle, que vous avez vu au Rond-Point, Emma la clown et son orchestre, m’a touchée. Je ne crois pas qu’on ait écrit quelque chose d’aussi beau me concernant, et je voulais vous le dire. Merci.
Bonjour Emmanuel Arnault,
Merci beaucoup pour votre critique profonde et fouillée. Sincèrement.
Merci, Élise Noiraud, votre papier est magnifique ! J’ai revu toute la pièce en le lisant.
Bonjour Olivier Pradel,
Merci beaucoup pour ce superbe article ! Toute l’équipe se joint à moi pour vous remercier. Vous avez réellement rendu compte de l’atmosphère et des enjeux de la pièce. On est tous ravis ! À très bientôt ! Amicalement,
Bonsoir,
Je souhaitais remercier les Trois Coups et particulièrement Mlle Céline Doukhan pour l’article qu’elle a rédigé sur le Sermon sur la mort de Bossuet, que j’ai interprété cet été à Avignon. Ces remerciements vont au-delà, elle le comprendra, de l’aspect positif qu’elle a souhaité porter à mon travail. Je vous aurais transmis cela bien avant, mais ce n’est que hier que j’ai pris connaissance de l’article !
En vous souhaitant une heureuse année à tous. Bien cordialement.
Monsieur Pradel,
Merci pour votre très bel article. C’est très agréable d’être soutenu par un journal aussi lu que le vôtre.
Cher Emmanuel Arnault,
Ce petit mot qui voudrait en dire long pour vous dire que j’ai pris connaissance hier de votre critique consacrée à l’Homme qui rit. Je ne vous cache pas qu’elle m’a fait un grand bien. Non pas pour le fait que certaines louanges flattent toujours l’ego d’un acteur, mais pour la sincérité manifeste avec laquelle vous l’avez écrit et surtout par la qualité rédactionnelle dont vous l’avez nourri. Un immense merci à vous, cher Emmanuel ! Bien chaleureusement de ma plus sincère reconnaissance.
Bonjour Emmanuel Arnault,
Merci pour votre article : un travail rapide, complet et très étoffé. Vous avez saisi l’atmosphère du spectacle, et j’apprécie votre façon de la retranscrire. Bien sûr, le talent d’Alexandre Letondeur est pour beaucoup dans la réussite du spectacle. Votre critique a commencé à faire boule de neige dès sa parution, car je reçois chaque jour des messages de félicitations. Je regrette toutefois que le texte ne vous plaise pas autant qu’il m’a inspirée. Au plaisir de se revoir.
Bonjour Vincent Morch,
Après le premier mouvement d’ego dévastateur, j’ai bien relu votre critique des Cahiers de Malte… Elle est vraiment super ! Pas tellement pour nous… Mais enfin une critique qui n’est pas juste un amas d’impressions ! Elle est réfléchie et, surtout, replace le spectacle dans son contexte et dans celui de l’œuvre originale. Alors, c’est chouette ! En plus, elle est bien écrite. Que demande le peuple ? Alors merci pour cette VRAIE critique. Merci aussi d’être venu nous voir, et vraiment désolé que ça ne vous ai pas transporté ! Bien cordialement.
L’article des Trois Coups [Fabrice Chêne] est magnifique.
Monsieur Pradel,
Je tenais à vous remercier chaleureusement personnellement et au nom de toute l’équipe du Théâtre de l’Ours et de La Luna, pour votre magnifique critique du De profundis. Présenter une nouvelle création est toujours une prise de risques humains, financiers, artistiques pour les artistes, c’est également une période de doute sur la qualité de son travail, sur la manière dont sera reçu le spectacle, etc. Toutefois, quand notre travail est validé par des articles comme le vôtre, non seulement nous reprenons confiance en nous et en notre spectacle, mais en plus, cela nous donne le désir de nous dépasser et d’aller encore plus loin dans les prochaines créations.
Votre critique si juste et si pertinente nous a énormément touchés parce qu’elle apporte un éclairage sensible sur cette création, et décortique précisément la démarche de mise en scène qui sous-tend le spectacle. Vous avez non seulement parfaitement repéré le double abaissement de la mise en scène et sa construction en miroir, mais encore souligné la symbolique de la scénographie et, en plus, vous avez identifié les références iconographiques du spectacle. Je me suis effectivement beaucoup inspiré de l’art religieux de la fin du xvie et début du xviie, notamment en truffant le spectacle de références au Christ : les Christ en majesté byzantins, les Ecce homo (notamment celui de Philippe de Champaigne), où le calot fait office de couronne d’épine. J’ai ajouté quelques références à saint Sébastien (la scène du pilori est une référence directe au saint Sébastien de Sodoma), car Wilde se réfugia en France sous le nom de Sébastien Melmoth en référence à saint Sébastien. Et les éclairages mono ou bidirectionnels dans un clair-obscur sont des références directes à Georges de la Tour.
Je vous remercie vraiment encore une fois pour cette critique à la fois fine, intelligente, sensible… Et si lumineuse. Cordialement.
Monsieur Pansieri, je voulais seulement vous remercier infiniment pour le sublime article que vous avez écrit sur ma pièce Fille de, vous m’avez fait beaucoup de bien, beaucoup de bien. Merci, bonne vie. Respectueusement.
Chère Amélie Manet,
Metteur en scène du spectacle les Lettres de mon moulin, je voulais vous dire combien j’avais trouvé votre article intelligent et bienveillant à l’égard de notre travail. J’ai bien pu prendre en compte vos critiques, et nous avons quelque peu retouché le spectacle. C’est rare de voir une critique pleine d’intelligence et de sensibilité comme la vôtre. Je suis un très jeune metteur en scène – vingt ans tout juste. Et il est agréable de lire des articles sans complaisance, mais sans cruauté comme le vôtre. Bien à vous.
« Trop la classe », si je puis me permettre. Effectivement votre rédacteur [Cédric Enjalbert] est charmant, avec une jolie plume et d’une déconcertante rapidité. Vous allez faire des heureux. Je vais, de ce pas, transmettre ce mail aux comédiens. Je vous remercie encore pour l’intérêt que vous portez à la compagnie et espère avoir le plaisir de vous rencontrer un jour.
Vincent, ta présence à notre spectacle m’a beaucoup touché ainsi que ta réaction à ce texte, dont ton article se fait l’écho. Ton article nous servira pour l’édition de notre plaquette. Je transmettrai aux amis l’information. Je t’enverrai la documentation définitive en guise d’amitié. Très amicalement.
Bonjour Vincent, l’effervescence du Festival étant passée, nous tenions à vous remercier personnellement pour votre générosité, vos judicieux conseils et vos encouragements. Ce premier Avignon fut riche d’enseignements, de belles rencontres, et ouvre d’intéressantes perspectives à notre compagnie. En attendant l’année prochaine, nous souhaitons longue vie aux Trois Coups et saluons une nouvelle fois la plume de la talentueuse Élise Noiraud.
C’est immense, j’en ai les larmes aux yeux ! Merci Vincent, merci Élise Noiraud. Ce soir, tu peux être sûr que ce magnifique article est accroché. Merci, merci, merci. Et aussi sur le Monde ! Merci Vincent, des bises du cœur à vous deux.
Ces deux articles d’Ilène Grange [ici et ici] parlent admirablement bien de ces deux spectacles.
Merci Vincent, cette Claire Néel est vraiment super ! [Voir ici.]
Cher Vincent, j’ai reçu ton article et je l’ai lu, non sans émotion. Comme d’habitude, quoi. Je le trouve très bien écrit, voilà ! Ça me rend très heureux que cet « histrion de Luthringer » puisse encore, au travers de ses spectacles, t’étonner. Je trouve ta plume toujours aussi belle. Et je te souhaite vraiment de pouvoir continuer et d’écrire en toute liberté, je crois que c’est ça le plus important. Je te remercie mille fois. Je trouve que c’est un très, très bel article. En plus, je l’ai trouvé très juste parce qu’il correspond complètement à ce que tu as ressenti en sortant du théâtre. J’ai tout à fait souvenance de ce que tu m’avais dit, et tout se conjugue. Merci encore. Je t’embrasse.
Merci pour l’excellent article de Louise Pasteau sur le Koltès mis en scène par Thierry de Peretti. Il est très enthousiaste, et ça donne envie de venir découvrir ! Vous avez vraiment bien vu les intentions de Thierry en matière de mise en scène, et c’est très laudateur pour les comédiens. Thierry de Peretti est ravi. Ça lui remonte le moral, car il y a eu quelques problèmes au moment des répétitons. L’acteur qui devait jouer Claudius est tombé malade, et c’est Thierry de Peretti qui l’a remplacé au pied levé. Ça a été dur ! Encore merci.
Vincent, toute la troupe été très touchée par la critique de notre spectacle parue sur votre site. La rencontre avec Olivier Pansieri a été très chaleureuse et la discussion qui en a suivi extrêment intéressante. Une discussion à bâtons rompus. Pour une jeune compagnie comme la nôtre, qui fonctionne avec peu de moyens (est-ce un euphémisme ?), la possibilité de trouver un écho à notre travail au travers d’un site sérieux comme le vôtre est bien plus qu’une opportunité de visibilité, c’est un appui et un formidable facteur d’encouragement à continuer de creuser notre sillon.
Vincent, je prends enfin le temps de te remercier pour ce bel article qui me touche beaucoup. C’est toujours un grand plaisir et un soutien pour les artistes, une aide précieuse pour aider à la diffusion du spectacle, qui reste toujours difficile, tous spectacles confondus. Encore mille mercis, à très vite, je l’espère. Bien amicalement.
Merci, Maud Sérusclat, pour cette merveilleuse critique. J’en suis très touché.
Bonjour Vincent, tout d’abord je vous présente mes vœux pour cette nouvelle année et je souhaite longue vie aux Trois Coups, car je pense que ce site est une référence pour l’univers théâtral. Bien à vous.
Vincent, tu féliciteras de ma part ce charmant jeune homme, qui a écrit cet article si sensible et si intelligent sur le Square… C’est dommage qu’il n’y en a pas de sa trempe et avec une si bonne plume dans la presse nationale !
Laurie Thinot, quelle découverte, touchante et magnifique, que votre article. Une plume belle et intelligente, où le sensible écoute avec délicatesse, et accueille de plein fouet. Merci, vraiment. La Première Fois que la nuit est tombée a reçu un bien bel hommage, et ces mots sont précieux… Si le Théâtre de l’Opprimé a permis quelques vraies rencontres, dont la vôtre, tout cela n’aura pas été vain. « C’était chouette », et plein de sens. Je vous embrasse. À bientôt.
Bonjour Sonia, merci beaucoup pour ce bel article et pour votre aide. Bonne journée et bon week-end.
Bravo pour cet article magnifique, qui est une très belle analyse. Merci pour cette très belle écriture. L’article est affiché au théâtre et tout le monde a dit que c’était le plus bel article que nous avons reçu depuis la création.
Bravo pour ce journal bien fait, intelligent et graphiquement très réusso
Merci pour cette critique claire et sensible, intelligente et intelligible. Amicalement.
Merci pour cette belle critique qui, même si elle contient des réserves, est toujours intéressante et constructive.
Je viens de lire votre article et j’en suis très émue. Votre critique participe aussi de ce grand magma émotionnel. Je parlerais volontiers avec vous des personnages de Shakespeare, de ces formes qui se construisent en dansant et en parlant… Cela reste toujours en effet un défi à relever, un idéal à agiter devant soi pour devenir plus co(s)mique que chaotique. Je suis très heureuse de notre rencontre et je vous remercie vivement.
À propos de cette critique : « Ouaouh ! Je ne sais pas quoi dire… C’est… Merci. Oui, merci. Mille mercis. Je suis très flattée. Merci infiniment. Merci et à très vite. Je t’embrasse. »
Merci beaucoup à la journaliste qui m’a fait vraiment un très bel article ! Et merci à toi pour ton journal, dont je lis régulièrement toutes les critiques avec intérêt. Encore une fois : très touchée par l’article que je viens de re-relire ! Il me reste quatre dates à jouer et, si tu as l’occasion de venir sur Paris, je serai ravie de te mettre des places de côté et de faire ta connaissance ! Bonne soirée.