« Dans la solitude des champs de coton, » de Bernard‑Marie Koltès, les Célestins à Lyon
Le désir comme marchandise
Par Trina Mounier
Roland Auzet signe ici une mise en scène audacieuse à plus d’un titre du long poème à deux voix de Bernard‑Marie Koltès, « Dans la solitude des champs de coton ». Anne Alvaro et Audrey Bonnet, qui l’interprètent, lui apportent une touche inédite et magistrale.
« Sallinger », de Bernard‑Marie Koltès, Théâtre de Ménilmontant à Paris
La mort à New York
Fabrice Chêne
Metteuse en scène en devenir, Mathilde Boulesteix continue à faire ses gammes avec les dramaturges français contemporains. Sa trilogie sur le thème de la perte, qui réunit une pléiade de jeunes comédiens, s’arrête cette fois sur l’une des premières pièces de Koltès, « Sallinger ».
« Roberto Zucco », de Bernard‑Marie Koltès, Théâtre de la Tempête à Paris
Roberto Zucco nous saisit à la gorge
Par Emmanuel Arnault
La compagnie La Part des anges propose en ce moment au Théâtre de la Tempête sa dernière création : « Roberto Zucco », la célèbre pièce de Bernard‑Marie Koltès. En s’emparant de ce très grand texte avec brio, Pauline Bureau signe là une mise en scène presque parfaite.
« Roberto Zucco », de Bernard‑Marie Koltès, Théâtre des Treize‑Vents à Montpellier
Olivier Werner, un extraordinaire Zucco
Par Marie-Christine Harant
Vingt ans déjà que Koltès a quitté ce monde, emporté par le sida. Vingt ans que ses pièces sont régulièrement jouées parce que chacune est un chef-d’œuvre. La dernière, « Roberto Zucco », est devenue un mythe…
« Bernard‑Marie Koltès », de Brigitte Salino, a paru aux éditions Stock
« Bernard-Marie Koltès », de Brigitte Salino
Bernard-Marie Koltès a traversé son temps comme un météore. Il a vécu quarante et un ans, de 1948 à 1989, et laissé une œuvre brève, qui tient pour l’essentiel en six pièces…
« le Retour au désert », de Bernard‑Marie Koltès, Théâtre de la Ville à Paris
Mathilde a troublé l’ordre de la maison…
Par Émily Lombi
Quant je repense à une certaine soirée de 2007 passée à la Comédie-Française en compagnie de Koltès, je suis soudainement prise d’amnésie…
« la Nuit juste avant les forêts », de Bernard‑Marie Koltès, le Vieux Balancier à Avignon
Un cri dans la nuit
Par Cédric Enjalbert
C’est à une vaste errance dans la nuit des hommes que nous invite « la Nuit juste avant les forêts », de Koltès. Comme une exploration de ce que Michaux nomme nos « espaces du dedans »…
« Dans la solitude des champs de coton », de Bernard‑Marie Koltès, place du Petit‑Palais à Avignon
L’acheteur et le vendeur
Par Vincent Cambier
Dans des conditions de représentation inouïes, près de l’immense Barnum mercantile, bruyant et grouillant de monde des places de l’Horloge et du Palais-des-Papes, deux jeunes acteurs magnifiques jouent.