Girls & Boys, de Dennis Kelly, Théâtre 14, Paris
Sur le fil Par Léna MartinelliLes Trois Coups Témoignage sidérant, récit poignant, plume acérée, mise en scène percutante, interprète exceptionnelle : « Girls & Boys » explore autant la cruauté des relations humaines que les dérèglements de notre société. Un monologue choc de Dennis Kelly, remarquablement mis en scène par Chloé Dabert et joué par Bénédicte Cerutti. Une femme appelle ses enfants mais, face à […]
« Après la fin », de Dennis Kelly, Théâtre national populaire à Villeurbanne
Un petit nid de haine
Par Michel Dieuaide
Baptiste Guiton monte « Après la fin », une œuvre du dramaturge britannique Dennis Kelly datant de 2005. Elle met en scène une suite de situations tragi-comiques pour deux personnages enfermés dans un bunker, après un attentat nucléaire.
« Orphelins », de Dennis Kelly, l’Idéal à Tourcoing
Orphelins solitaires
Par Sarah Elghazi
Succès surprise du Off d’Avignon 2013, « Orphelins » marque l’entrée du Théâtre du Prisme et de son metteur en scène Arnaud Anckaert dans la cour des grands, avec un spectacle à la fois inquiétant et familier, subtil et mesuré jusque dans les accès de rage qui le traversent.
« Orphelins », de Dennis Kelly, Présence Pasteur à Avignon
Tension maximale
Par Fabrice Chêne
Arnaud Anckaert met en scène « Orphelins », une pièce de l’Anglais Dennis Kelly qui plonge le spectateur dans l’angoisse et interroge notre rapport à l’autre.
« Love and Money », de Dennis Kelly, espace Confluences à Paris
A comme… argent !
Par Fabrice Chêne
Que reste-t-il de l’amour dans un monde qui ne pense qu’au fric ? À travers la descente aux enfers d’un couple endetté, « Love and Money » propose une radiographie du monde néolibéral servie par de jeunes comédiens étonnamment justes.
« Occupe-toi du bébé », de Dennis Kelly, Théâtre national de la Colline à Paris
Dennis Kelly s’occupe de notre perception du monde
Par Nicolas Arribat
Occupe-toi du bébé. Ou plutôt, non, ne t’en occupe plus, car le bébé est mort ! Occupe-toi donc de la carrière politique de ta maman, ou de la carrière professionnelle de ton psychiatre. Ou plutôt, non, ne t’occupe de rien : on le fait pour toi ! Regarde seulement, tu n’en croiras pas tes yeux.