Reprise de « La Cerisaie », Anton Tchekhov, Théâtre de l’Odéon, Paris

La-Cerisaie-Anton Tchekhov-Tiago Rodrigues © Christophe Raynaud de Lage

Une « Cerisaie » aux modulations infinies
Par Lorène de Bonnay
« Je ne survivrai pas à cette joie » : « La Cerisaie » de Tiago Rodrigues nous entraîne dans une fête grinçante, joyeuse et mélancolique célébrant la destruction d’un monde, d’un éblouissement.
Un petit trésor de subtilité présenté cet été dans la monumentale cour d’honneur du festival d’Avignon, actuellement à l’Odéon.

« La Cerisaie », Anton Tchekhov, cour d’honneur, Avignon

© Christophe Raynaud de Lage

Une cerisaie aux modulations infinies
Par Lorène de Bonnay
« Je ne survivrai pas à cette joie » : « La Cerisaie » de Tiago Rodrigues nous entraîne dans une fête grinçante, joyeuse et mélancolique célébrant la destruction d’un monde, d’un éblouissement. Un petit trésor de subtilité présenté dans un lieu monumental.

« Mary Said What She Said », de Darryl Pinckney, Théâtre de la Ville à Paris

« Mary said what she said » de Robert Wilson © Lucie Jansch

Une apothéose étrange et intense
Par Lorène de Bonnay
Vingt-six ans après « Orlando », adapté par Darryl Pinckney, Robert Wilson confie à Isabelle Huppert un autre monologue vibrant écrit par l’auteur américain, « Mary said what she said ». L’écriture scénique donne corps à l’ombre de Mary Stuart, devenue rayon.