« le Réformateur », de Thomas Bernhard, Théâtre de l’Œuvre à Paris
La peur du vide
Par Alicia Dorey
À plus de 82 ans, Serge Merlin incarne encore en virtuose la terrible langue de Thomas Bernhard.
« Wycinka Holzfällen » [« Des arbres à abattre »], d’après Thomas Bernhard, la Fabrica à Avignon
Quatre heures et demie qui passent comme un rêve de théâtre
Par Trina Mounier
L’adaptation du roman de Thomas Bernhard, « Des arbres à abattre », par le Polonais Krystian Lupa a enchanté et bouleversé le public de la Fabrica.
« Thomas B. », de Jacques Kraemer, Présence Pasteur à Avignon
Thomas B. réincarné
Par Fabrice Chêne
Jacques Kraemer reprend son « Thomas B. » le temps d’un festival. Portrait ? Hommage ? Simple évocation ? L’essentiel est que le comédien parvienne à faire vivre devant nous la figure de l’auteur autrichien Thomas Bernhard.
« Des arbres à abattre », de Thomas Bernhard, Théâtre national de la Colline à Paris
De l’irritation comme l’un des beaux‑arts
Par Fabrice Chêne
Rares sont les textes de Thomas Bernhard à n’avoir pas encore été portés à la scène. S’emparant de l’un des derniers romans du grand auteur autrichien, Claude Duparfait et Célie Pauthe ont su en restituer à la fois l’émotion et l’ironie grinçante.
« Extinction », d’après Thomas Bernhard, Théâtre de la Madeleine à Paris
Bernhard : l’imprécateur ironique
Par Guy Samama
Il est, au théâtre, des moments magiques. Ils sont parfois constitués par des couples qui unissent acteur et auteur au point que leurs voix se confondent : Alain Cuny et Paul Claudel, David Warrilow et Samuel Beckett, Georges Wilson et Thomas Bernhard, Pino Micol et Edmond Rostand (« Cyrano ») ou Goldoni (Puntila dans « Arlequin serviteur de deux maîtres »). Le couple Serge Merlin-Thomas Bernhard en forme un autre, depuis plus de vingt ans.
« le Mois de Marie », de Thomas Bernhard, Théâtre des Halles à Avignon
Une satire pédagogique
Par Audrey Chazelle
La chapelle extérieure du Théâtre des Halles abrite ce soir les vestiges d’un village bavarois, sagement préservés par deux vieilles dames bien conservées…