« l’École des femmes », de Molière, les Célestins à Lyon

l’École des femmes © Marc Vanappelghem

À malin maligne et demie
Par Trina Mounier
Le directeur du Théâtre du Carouge à Genève, Jean Liermier, grand connaisseur en classiques, a démontré hier avec brio que les pièces du répertoire les plus connues offrent encore des réserves d’émotion et d’intelligence.

« les Fourberies de Scapin », de Molière, Théâtre de l’Aquarium à Paris

les Fourberies de Scapin © D.R.

Un Scapin méchant
Par Anne Losq
Scapin représente le serviteur malin, celui qui tire toutes les ficelles pour son propre compte. Le Théâtre du Fust prend cette image (tireur de ficelles) à la lettre : tous les personnages sauf Scapin sont des marionnettes, et Scapin est le seul à pouvoir les manipuler. Une lecture originale de la pièce de Molière.

« les Fourberies de Scapin », de Molière, l’Allan à Montbéliard

les Fourberies de Scapin © D.R.

Quand la manipulation nous réjouit
Par Maud Sérusclat
Dans le cossu théâtre de l’Allan à Montbéliard, on donnait le 2 octobre dernier des « Fourberies de Scapin » particulières. Un comédien aux commandes de huit marionnettes à taille humaine, de quoi donner une nouvelle jeunesse à ce classique du théâtre français.