« Une femme chaste », de Wang Renjie, festival Standard idéal, Théâtre du Soleil à Paris

« Une femme chaste » © D.R.

Désir coupable
Par Alicia Dorey
Après avoir exploré le secret du désir dans « la Veuve et le Lettré », le dramaturge Wang Renjie pousse le tragique à son paroxysme avec « Une femme chaste ». C’est dans le cadre somptueux du Théâtre du Soleil que l’on découvre avec émerveillement la modernité et la puissance poétique de cette pièce emblématique du théâtre liyuan.

Théâtre de l’Aquarium à Paris, 1972-2016 ?

François Rancillac-Théâtre de l’Aquarium © D.R.

Lettre ouverte au ministère de la Culture et de la Communication qui vient d’annoncer pour juin 2016 l’arrêt du projet du Théâtre de l’Aquarium mis en place par François Rancillac et son équipe depuis six ans.

« le Burlesque au théâtre » de Norbert Aboudarham, a paru chez l’Entretemps éditions

Norbert Aboudarham est acteur et pédagogue. Il enseigne le burlesque et la dramaturgie à l’université de Versailles, au Centre national des arts du cirque (Châlons-en-Champagne), à l’école Scène 7 (Lyon) et dans de nombreux stages A.F.D.A.S. (formation permanente des acteurs). Il est l’auteur et l’acteur d’une trilogie, « le Chat », « les Pigeons » et « le Panda », jouée plus de 1 000 fois en France comme à l’étranger.

« Tordre », de Rachid Ouramdane, Maison folie Wazemmes à Lille

« Tordre » © Patrick Imbert

Vies parallèles
Par Sarah Elghazi
Longtemps travaillé par la mise en espace des questions d’héritage, de témoignages du passé, de tension historique – comme l’histoire de la colonisation dans sa pièce « Exposition universelle », Rachid Ouramdane poursuit avec « Tordre » un nouveau volet de sa recherche chorégraphique. Ici, c’est la valeur du présent, de l’instant et de la force du geste, portée par deux danseuses inoubliables, qui éclot et qui prend sens sous l’œil du spectateur.

« Finir en beauté », de Mohamed el‑Khatib, Théâtre Ouvert à Paris

Plateau théâtre

Drôle de deuil
Par Alicia Dorey
Dans « Finir en beauté », l’auteur et metteur en scène Mohamed el‑Khatib interprète avec brio un pan de sa propre vie : le deuil de sa mère. Sous forme d’une fiction-documentaire incroyablement drôle et émouvante, il transforme un évènement brutal et définitif en matériau de création infini.