« Nelken », de Pina Bausch, Opéra de Lyon

« Nelken » : comme une fleur précieuse et fragile
Par Élise Ternat
Rares sont les pièces qui dépassent les années, les décennies. Créée en 1982, « Nelken » est de celles-ci. Cette pièce chorégraphique pour 21 interprètes mise en scène par l’inégalable Pina Bausch apparaît comme le joyau de cette Biennale de la danse. Le spectacle reçoit chaque soir un accueil triomphal et ému de la part des spectateurs. Mais alors, à quoi tient ce génie qui dépasse le temps sans prendre une ride ?
« Salves », de Maguy Marin, Théâtre national populaire à Villeurbanne

Décharge d’applaudissements pour « Salves »
Par Élise Ternat
C’est au cœur de la programmation de cette 14e Biennale de la danse que l’on retrouve Maguy Marin avec sa dernière création…
Festival Jazz à Vienne (38), 30e édition, du 25 juin au 9 juillet 2010, chronique no 4

Les Caraïbes font danser Jazz à Vienne
Par Jean-François Picaut
Ah, la soirée afro-cubaine ! Quel habitué ne l’attend pas avec impatience ? Après les soirées mémorables avec Ibrahim Ferrer (un de ses tout derniers concerts) et Omara Portuondo, Jean‑Paul Boutellier nous propose ce soir d’apprécier Monty Alexander et Chucho Valdés.
« la Tempête… », d’après « la Tempête » et « le Songe d’une nuit d’été », de Shakespeare, Nuits de Fourvière

Lavaudant emporte tout sur son passage
Par Élise Ternat
Les premiers beaux jours de juin marquent le coup d’envoi de cette nouvelle édition de l’excellent festival Les Nuits de Fourvière. Au programme, cette année encore : théâtre, danse, cirque, musique, cinéma…
« Hôtel des Deux‐Mondes », d’Éric‐Emmanuel Schmitt, Théâtre des Asphodèles à Lyon

« La vie, la mort, Dieu, tout ça »
Par Lison Crapanzano
Grand succès d’Éric-Emmanuel Schmitt, l’« Hôtel des Deux-Mondes » a été nommé sept fois dans le cadre des prix de la Nuit des molières 2000…
« Alphonse », de Wajdi Mouawad, Théâtre Nouvelle Génération à Lyon

Corinne Méric vibrante d’intensité
Par Élise Ternat
À l’initiative du Théâtre Nouvelle Génération, la quatrième édition du festival Régénération présentée ces jours-ci a de quoi faire sortir le public lyonnais de sa torpeur hivernale…
« Le roi s’amuse », de Victor Hugo, Théâtre de Venissieux

Amusement cruel
Par Élise Ternat
« Le roi s’amuse » fut joué le 22 novembre 1832 pour la première fois à la Comédie-Française et interdit le jour suivant du fait d’une critique un peu trop sensible de la monarchie et de la noblesse de l’époque…
« les Marchands », de Joël Pommerat, Théâtre national populaire‐Studio 24 à Villeurbanne

Sommes-nous des « marchands » qui « vendons notre temps » ?
Par Lison Crapanzano
La Cie Louis-Brouillard réussit un coup de maître avec « les Marchands ». En effet, elle parvient à captiver les spectateurs pendant près de deux heures avec le monologue d’une voix off…
« Tartuffe », de Molière, château de Grignan (Drôme) du 6 juillet au 22 août 2009

Délici-ieux « Tartuffe »
Par Cédric Enjalbert
Fêtes nocturnes. Mystérieuses et galantes. Avec un nom digne du Grand Siècle, ces nuits festives éclairent l’été des campagnes provençales…
« Littoral », de Wajdi Mouawad, les Célestins à Lyon

Voyage en père inconnu
Par Pascaline Chambon
Il me faudra rejoindre le « Littoral » pour découvrir le travail de Wajdi Mouawad. Le parvis des Célestins est noir de monde…
« Blackbird », de David Harrower, les Célestins à Lyon

Grosse claque !
Par Maud Sérusclat
« Blackbird ». Je ne voulais pas voir ce spectacle. « Blackbird », lugubre titre, non ? Créée pour la première fois en 2005 par l’auteur David Harrower et en 2007 par Claudia Stavisky, la pièce a déjà fait le tour de l’Europe, a été très commentée et récompensée de nombreuses fois. En outre, le texte est servi par deux comédiens qui ne sont pas des moindres : Léa Drucker et Maurice Bénichou…
« la Ménagerie de verre », de Tennessee Williams, Théâtre des Marronniers à Lyon

Tennessee Williams revisité !
Par Maud Sérusclat
Hier soir au Théâtre des Marronniers de Lyon, on pouvait voir une représentation de la pièce qui a rendu Tennessee Williams célèbre en 1945, « la Ménagerie de verre ». Pièce de la cruauté par excellence, la compagnie Le Songe d’une planche à vif nous en réservait une mise en scène surprenante et très rythmée.