Jazz à l’Étage 2013, avec Malo Mazurié et Kellylee Evans, chronique no 3, à Rennes et Saint‑Malo

La journée des premières
Par Jean‑François Picaut
Il n’y a pas de vrai festival sans son lot d’exclusivités. Jazz à l’Étage remplit parfaitement son rôle en présentant deux premières aux festivaliers.
Jazz à l’Étage 2013, avec Mina Agossi et Rémi Panossian, chronique no 2, à Rennes et Saint‑Malo

Jazz on the rock
Par Jean‑François Picaut
Pour sa deuxième journée, Jazz à l’Étage emprunte les habits du blues et du rock, avec deux trios bourrés d’énergie et de talent.
Jazz à l’Étage 2013, avec le Sylvain Luc Trio, chronique no 1

Le froufrou d’ailes d’un ange
Par Jean‑François Picaut
Pour ouvrir la quatrième édition de Jazz à l’Étage, Yann Martin a fait appel à un trio d’exception avec Sylvain Luc, André Ceccarelli et Thierry Eliez. Le festival a pris son envol sous les meilleurs auspices.
« le Magicien d’Oz », de Lyman Frank Baum, Comédie Nation à Paris

Abracada-débarras : Oz ou le joli pays des choses
Par Laura Plas
Adaptant « le Magicien d’Oz » pour les plus petits, la Cie Waverley nous offre un joli spectacle, frais et fourmillant d’idées. Une petite pépite ludique pour découvrir le théâtre d’objets.
Entretien avec Yann Martin, directeur artistique du festival Jazz à l’Étage 2013

Innover, consolider, développer
Par Jean‑François Picaut
Le festival Jazz à l’Étage (Rennes) en est déjà à sa quatrième édition. C’est dire qu’il a conquis sa place sur la scène du jazz et dans la sphère culturelle tout entière, à Rennes, bien sûr, mais bien au-delà. Voici un petit exercice rétrospectif et prospectif avec son directeur artistique, Yann Martin.
« A puerta cerrada », d’après « Huis clos », de Jean‑Paul Sartre, Théâtre du Soleil à Paris

Bêtes de scène dans une arène
Par Laura Plas
Serge Nicolaï met en scène quatre comédiens argentins dans « A puerta cerrada ». « Huis clos » comme une corrida ? Un pari réussi grâce à la pertinence de l’adaptation, mais aussi à la fine partition de Jean‑Jacques Lemêtre et à la performance des comédiens.
« le Joueur d’échecs », de Stefan Zweig, la Comédie Saint‑Michel à Paris

Le grand maître Salzet
Par Vincent Morch
C’est en 1996 qu’André Salzet, avec la complicité d’Yves Kerboul, adapte pour le théâtre la dernière nouvelle de Stefan Zweig, « le Joueur d’échecs » (publiée à titre posthume en 1943)…
« Quand je pense qu’on va vieillir ensemble », des Chiens de Navarre, les Subsistances à Lyon

Thérapie de groupe
Par Élise Ternat
Il faut bien le reconnaître, « Une raclette », précédent spectacle de la compagnie les Chiens de Navarre n’avait laissé personne indemne…
« Morts sans sépulture », de Jean‑Paul Sartre, Théâtre de Ménimontant à Paris

Question de vie ou de mort
Par Juliette Rabat
Forte de son succès avignonnais à l’été 2012, la Cie de l’Ombre-Noire reprend « Morts sans sépulture » de Jean‑Paul Sartre au Théâtre de Ménilmontant. L’occasion de redécouvrir, dans une mise en scène sobre et ingénieuse, un texte qui questionne l’engagement et son inévitable pendant, le doute.
« À tort et à raison », de Ronald Harwood, Théâtre Rive gauche à Paris

Fausse note
Par Sabine Dacalor
Un beau duo de comédiens, mais la mise en scène d’Odile Roire du spectacle « À tort et à raison » joue, malheureusement, la note de la sensiblerie.
« la Réunification des deux Corées », de Joël Pommerat, Ateliers Berthier à Paris

Un Pommerat qui palpite
Par Léna Martinelli
Dans sa dernière création, Joël Pommerat explore les choses de l’amour. Ou plutôt les états de l’amour, lui qui choisit d’intituler sa pièce « la Réunification des deux Corées » !…
« Le titre est dans le coffre », de Fred Robbe, Théâtre de Belleville à Paris

Feydeau a un nez rouge !
Par Laura Plas
Le Théâtre du Faune détourne les codes du vaudeville dans une fantaisie clownesque et rocambolesque : « Le titre est dans le coffre ». Un sympathique spectacle familial pour dérouiller ses zygomatiques.