« 4.48 Psychose », de Sarah Kane, Paris Villette

« 4.48 Psychose » de Sarah Kane © Nicolas Descôteaux

Entre aube et crépuscule
Par Romain Labrousse
Dans une volonté manifeste de ne pas réduire la pièce à sa dimension testamentaire, Florent Siaud affirme la théâtralité d’un monologue instable.

« La Fuite », d’Olivier Meyrou, au Monfort à Paris

La-Fuite-Olivier-Meyrou-Matias-Pilet

Percutant !
Par Léna Martinelli
Seul en scène, Matias Pilet porte le spectacle. Et sa tente. Vagabond, fugitif, réfugié d’hier ou d’aujourd’hui, Hektor affronte, de façon burlesque, les obstacles en série que la vie sème sur sa route.

« Les Géométries du dialogue. Variations cubiques et jeu masqué », de la compagnie Juscomama au Théâtre de l’Élysée à Lyon

« Les Géométries du dialogue » deJustine Macadoux et Coralie Maniez © Nicolas Ligeon

Cubisme de comédie
Par Trina Mounier
Elles ont fait l’ouverture d’un spectacle de marionnettes des Nuits de Fourvière, avec une version allégée de leurs « Géométries du dialogue ». Présenté seul et dans son entièreté, ce spectacle pour enfants de Justine Macadoux et Coralie Maniez, aussi inattendu qu’intéressant, gagne en lisibilité et en profondeur.

« End/igné », de Mustapha Benfodil, Théâtre de Belleville à Paris

« End/igné » mise en scène par Kheireddine Lardjam © DR

Le meilleur pour le feu
Par Laura Plas
Avec « End/igné » de Mustapha Benfodil, Kheireddine Lardjam évoque l’Algérie actuelle en optant pour la poésie et la distanciation. Résultat mitigé, tant au point de vue de l’interprétation que de l’écriture : le meilleur est bien pour la fin (pour le feu).