« Hard Copy », d’Isabelle Sorente, le Lucernaire à Paris

Garces carnassières et langues de vipère
Par Maud Dubief
Le Lucernaire présente « Hard Copy » d’Isabelle Sorente. Cette pièce traitant du harcèlement moral en entreprise oscille entre drame et humour noir. Mais, malgré une interprétation de qualité et une mise en scène astucieuse, ce spectacle ne m’a convaincue qu’à moitié.

« Je me souviens », de Jérôme Rouger, le Lucernaire à Paris

« Je me souviens » © Cédric Ridouard

Un spectacle comme un cadeau
Par Laurie Thinot
Théâtre Lucernaire, salle Paradis, Jérôme Rouger se dévoile. En prévision de l’anniversaire de la mort de Georges Perec, dans quatre ans, il écrit des « petits morceaux de quotidien » commençant par « Je me souviens ». Il se souvient, nous nous souvenons avec lui.

« l’Amant », de Harold Pinter, le Lucernaire à Paris

« l’Amant » © Marc Enguérand

Liaisons dangereuses ou drame bourgeois ?
Par Estelle Gapp
Dans la petite salle du Lucernaire, au doux nom de « Paradis », « l’Amant » de Harold Pinter ravive les flammes de la passion. La compagnie Patrick-Schmitt dissèque le sentiment amoureux dans un duel intense et pervers, où le couple se condamne à l’enfer du jeu. Mais dans ce théâtre de mœurs, le corps, paradoxalement, semble entravé. Censure bourgeoise ou parti pris masochiste ?

« Black and White », le Lucernaire à Paris

« Black and White » © Alexis Haulot

La mort lui va si bien
Par Franck Bortelle
Une comédienne, douze personnages. Douze femmes en colère. Contre leurs époux défunts. Lorette Goosse campe à elle seule cet éventail de la société, en ratissant large…