« Ibsen Huis », d’après Henrik Ibsen, cour du lycée Saint-Joseph à Avignon

« Ibsen Huis », mise en scène de Simon Stone © Christophe Raynaud de Lage

Du bel ouvrage
Par Lorène de Bonnay
De Simon Stone à Antonio Latella, la famille est à l’honneur, dans cette 71e édition. L’auteur et metteur en scène australien invente l’histoire brûlante des Kerkman, à partir de figures empruntées au dramaturge norvégien. L’architecture de sa « Maison d’Ibsen », mêlant les styles et les époques, en impose.

Entretien avec Astrid Cathala, directrice artistique et littéraire de l’Œil du souffleur éditions et cie, au sujet de la présence de plusieurs auteurs à Avignon

Astrid Cathala © Anaëlle Cathala

« Publier une pièce, c’est semer, glaner, cueillir, dans la durée. »
Par Lorène de Bonnay
L’Œil du souffleur est une association originale, à la fois maison d’édition spécialisée dans le théâtre, lieu de résidence et de diffusion, compagnie. Elle a notamment publié des pièces de Frédéric Ferrer, D’ De Kabal, Jacques Descorde, Michèle Laurence, ainsi que des textes des Écrivains associés du théâtre. Tous ces noms sont présents au festival. Rencontre avec l’artiste et éditrice Astrid Cathala.

« la Cabale des dévots. le Roman de Monsieur de Molière », d’après Mikhaïl Boulgakov, Parc des Expositions à Avignon

« Die Kabale », d’après Mikhaïl Boulgakov, mis en scène par Frank Castorf © Christophe Raynaud De Lage

Les adieux d’un Maître dramaturge
Par Lorène de Bonnay
En mai 2016, Frank Castorf créé une œuvre-testament adaptée de Boulgakov, en réaction à l’annonce de son éviction du mythique théâtre berlinois, la Volksbühne. Rejouer, aujourd’hui, à Avignon, ce spectacle endiablé et engagé, ne manque ni de panache ni d’émotion. Ce geste marque bien la fin d’une ère. Une très grande ère théâtrale.

« Présentation de la nouvelle saison », Odéon Théâtre de l’Europe à Paris

"Les Particules élémentaires" © Simon Gosselin

Un « appétit de dialogues » réjouissant !
Par Lorène de Bonnay
Stéphane Braunschweig dévoile la programmation de sa deuxième saison à la direction de ce théâtre « d’art ». Les esthétiques choisies, ouvertes sur l’Europe et la nouvelle génération, promettent de nous faire voyager mais aussi éprouver, dans le présent, la « complexité du monde ».