Un Marivaux vaudevillesque
Par Maxime Grandgeorge
Transposée par Ladislas Chollat dans les années folles, la comédie de Marivaux se transforme en un vaudeville énergique et moderne mené tambour battant par Éric Elmosnino et Sylvie Testud.
Marivaux
Un marivaudage rafraîchissant !
Par Bénédicte Fantin
Après « le Bourgeois gentilhomme » et « les Femmes savantes », Catherine Hiegel s’attelle à la mise en scène d’un autre classique du répertoire, au Théâtre de la Porte Saint-Martin. Là encore, il y a du beau monde en renfort ! De quoi dynamiser le classicisme de la mise en scène.
Silvia Croft tombe raide amoureuse
Par Élisabeth Hennebert
Entre salsa du démon et jeu vidéo, l’esprit des Lumières version Muriel Michaux électrise les jeunes et fait réfléchir les seniors.
Sous les jupes des filles
Par Élisabeth Hennebert
Un marivaudage en robes années cinquante dans un cadre sublime.
L’impossibilité de faire tomber les masques
Par Anne Cassou-Noguès
Plus de quarante ans après avoir monté pour la première fois « le Prince travesti », Daniel Mesguich s’attaque à nouveau à cette comédie en trois actes de Marivaux. Si la mise en scène est différente, l’intention est la même : « mettre en scène le théâtre » (note du metteur en scène).
Pauvre Marivaux !
Par Isabelle Jouve
Anne Kessler, sociétaire de la Comédie-Française, a choisi de monter « la Double Inconstance » de Marivaux, pièce entrée au répertoire de ce théâtre en 1934. L’intention était bonne. Malheureusement, le reste n’est pas à la hauteur.
Une bavarde truculente !
Par Isabelle Jouve
La compagnie Enfants de la comédie s’attaque à Marivaux et à sa « Commère ». Une bonne idée au vu du talent de la troupe.
L’amour des commencements
Par Trina Mounier
Thomas Jolly aime les défis. Après avoir monté une version intégrale du « Henry VI » de Shakespeare (dix-huit heures, quand même !), il met en scène avec un brio teinté de fantaisie une des toutes premières pièces de Marivaux, « Arlequin poli par l’amour », écrite par l’auteur pour les comédiens italiens qu’il venait de découvrir.
« Le pas de côté m’intéresse plus que l’infini »
Par Rodolphe Fouano
Acteur, metteur en scène, professeur d’art dramatique, écrivain, Daniel Mesguich apparaît comme un décrypteur insatiable.
Raison sans sentiments
Par Laura Plas
Comment faire de Marivaux un auteur à thèse ? Réponse donnée par Galin Stoev dans « le Triomphe de l’amour ». On ne fait sans doute pas toujours du bon théâtre avec de bonnes idées, car ici l’artificialité et la distanciation prévalent sur l’émotion.
Un Marivaux sombre et enchanteur
Par Élise Noiraud
Quelle soirée délicieuse ! Quel spectacle réussi ! Quel plaisir ! Ces trois courtes phrases pourraient suffire. « Les Fausses Confidences » mises en scène par Didier Bezace à la Commune sont d’une évidence presque… gastronomique, tant elles ont de piquant et tant on s’en régale…
L’amour et le hasard ont beau jeu au Théâtre Gérard‑Philipe
Par Emmanuel Arnault
Le Théâtre Gérard‑Philipe, centre dramatique national de Saint‑Denis, est un lieu superbe, aussi excentré qu’original…