Saison estivale 2020 à la Maison Maria Casarès, à Alloue

Maison-Maria-Casares © Christophe-Raynaud-de-Lage

Alloue, ou l’art de se réinventer 
Par Laura Plas
Visite contée, goûter, apéro ou dîner-spectacle : la Maison Maria Casarès a ouvert ses portes pour la cinquième année, déjà. Gardienne de l’esprit des lieux, mais défricheuse de sentes insoupçonnées, la compagnie du Veilleur nous y lance une insolite et gourmande invitation au partage.

« Saison estivale 2017 », Maison Maria Casarès à Alloue

La Maison Maria Casarès

La Maison Maria Casarès au rythme des saisons
Par Léna Martinelli
Directeurs de la Maison Maria Casarès, Johanna Silberstein et Matthieu Roy cultivent de belles ambitions pour les jeunes compagnies théâtrales et le territoire. Après trois semaines d’ouverture au public, la première saison estivale bat son plein. Jusqu’au 18 août, il est toujours possible d’assister à la visite contée, aux dîner et goûter spectacles.

« Trois ruptures », de Rémi De Vos, le Lucernaire à Paris

« Trois ruptures » © Othello Vilgard

Scènes de méninges
Par Léna Martinelli
Les histoires d’amour finissent mal (en général), mais avec Rémi De Vos, la rupture ne peut pas suivre les normes. Son analyse féroce de la condition humaine, passée au crible de l’absurde, méritait une mise en scène au scalpel et une interprétation savoureuse. Voilà chose faite avec cet excellent spectacle.

« Occident », de Rémi De Vos, le Rideau au Théâtre Marni à Bruxelles

« Occident » © Émilie Lauwers

Malaise dans la civilisation
Par Johanne Boots
L’analyse d’une civilisation occidentale malade de ses contradictions, à travers les perpétuelles disputes d’un couple aux limites de l’autodestruction : avec la mise en scène d’« Occident » de Rémi De Vos, Frédéric Dussenne signe un spectacle efficace et mordant, qui était à l’affiche du Rideau de Bruxelles jusqu’au 15 décembre 2012.

« Occident », de Rémi De Vos, la Manufacture à Avignon

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Quand rien ne va plus
Par Fatima Miloudi
Ma deuxième dispute de couple depuis le début du Festival. Enfin, pas la mienne. Mais, sur les planches en ce moment, ça chauffe. Des hommes et des femmes qui ne savent plus s’aimer ni comment se séparer sans se saigner…