Entretien avec Nicolas Bouchaud, comédien, épisode 3

« Un vivant qui passe » © Jean-Louis Fernandez

« Observer le travail de l’acteur : repenser la dramaturgie d’Un vivant qui passe (épisode 3) »
Par Lorène de Bonnay
Dans « Sauver le moment », Nicolas Bouchaud évoque sa trajectoire sous forme de récits fragmentés, d’instants forts égrenés sur trente ans. Son travail mêle les spectacles de troupes et, depuis 2010, des projets artistiques plus intimes. Le dernier d’entre eux, « Un vivant qui passe » d’après Claude Lanzmann, est encore à l’affiche du théâtre de la Bastille.

Entretien avec Nicolas Bouchaud, comédien, épisode 2

Nicolas Bouchaud © Richard Schoeder

« Observer le travail de l’acteur : cinq projets intimes (épisode 2) »
Par Lorène de Bonnay
Dans son ouvrage « Sauver le moment », Nicolas Bouchaud évoque sa trajectoire sous forme de récits fragmentés, d’instants forts égrenés sur trente ans. Son travail alterne les spectacles de troupes et des projets artistiques plus intimes.

Entretien avec Nicolas Bouchaud, comédien, épisode 1

Nicolas Bouchaud © Richard Schoeder

« J’ai essayé d’observer le travail de l’acteur »
Par Lorène de Bonnay
Dans « Sauver le moment », Nicolas Bouchaud nous laisse pénétrer au cœur de sa pratique : il évoque sa trajectoire sous forme de récits fragmentés, d’instants intenses égrenés sur trente ans. Son travail mêle les spectacles de troupes et, depuis 2010, des projets artistiques plus intimes. Le dernier d’entre eux, « Un vivant qui passe » d’après Claude Lanzmann, est encore à l’affiche du théâtre de la Bastille. Rencontre avec l’un de ces rares comédiens à « la petite musique » unique et reconnaissable.

« Angelus novus‐AntiFaust », de Sylvain Creuzevault, la Colline, Festival d’automne à Paris

Angelus novus-AntiFaust © D.R.

Dans la mer de cet « AntiFaust », on rame ! ¹
Par Lorène de Bonnay
Contrairement à Bob Wilson qui vient d’adapter les deux « Faust » de Goethe il y a quelques semaines, Sylvain Creuzevault puise librement dans le mythe du savant en quête de savoir absolu pour créer une pièce très ancrée dans son temps et touffue. « Angelus novus-AntiFaust », jouée à la Colline, nous conduit dans un voyage parsemé de moments inspirés, mais foutraque.