« Les Géométries du dialogue. Variations cubiques et jeu masqué », de la compagnie Juscomama au Théâtre de l’Élysée à Lyon

« Les Géométries du dialogue » deJustine Macadoux et Coralie Maniez © Nicolas Ligeon

Cubisme de comédie
Par Trina Mounier
Elles ont fait l’ouverture d’un spectacle de marionnettes des Nuits de Fourvière, avec une version allégée de leurs « Géométries du dialogue ». Présenté seul et dans son entièreté, ce spectacle pour enfants de Justine Macadoux et Coralie Maniez, aussi inattendu qu’intéressant, gagne en lisibilité et en profondeur.

« End/igné », de Mustapha Benfodil, Théâtre de Belleville à Paris

« End/igné » mise en scène par Kheireddine Lardjam © DR

Le meilleur pour le feu
Par Laura Plas
Avec « End/igné » de Mustapha Benfodil, Kheireddine Lardjam évoque l’Algérie actuelle en optant pour la poésie et la distanciation. Résultat mitigé, tant au point de vue de l’interprétation que de l’écriture : le meilleur est bien pour la fin (pour le feu).

« Le Monde d’hier. Souvenirs d’un Européen », d’après Stefan Zweig au Théâtre national populaire à Villeurbanne

« Le Monde d’hier » de Stefan Sweig – Mise en scène de Jérôme Kircher et Patrick Pineau © Richard Schroeder

Sweig au chevet de l’Europe 
Par Trina Mounier
Découvrez sans attendre « Le Monde d’hier », dans la mise en scène de Jérôme Kircher et Patrick Pineau. La conscience aiguë de Stefan Sweig y scrute une Europe à l’agonie, la montée de l’extrême-droite et le déclin des libertés, en témoin des élans d’espoir et des drames épouvantables XXe siècle.

« Au plus noir de la nuit », d’après André Brink, Théâtre de la Tempête à Paris

« Au plus noir de la nuit » de Nelson Rafaell Madel © Léna Roche

Trouver sa direction, au plus noir de la nuit !
Par Laura Plas
Approfondissant les questions de l’exil et du racisme, Nelson Rafaell Madel adapte « Au plus noir de la nuit », de l’écrivain sud-africain André Brink. Si la proposition n’est pas dépourvue d’audace, elle manque de maturation, en particulier en ce qui concerne la direction d’acteurs.

« Un soir d’été à la Maison Maria Casarès », la Compagnie du Veilleur, à Alloue

Soir d’été à la Maison Maria Casarès © Salem Mostefaoui

Maison ouverte à deux battants
Par Laura Plas
Certains la surnommaient « la Belle endormie », d’autres l’avaient crue souffrante. Voici que, ranimée par le riche projet de la Compagnie du Veilleur, la Maison Maria Casarès a ouvert les yeux sur mille projets. Jusqu’au 17 août, elle nous ouvre ses portes à deux battants. Prêts pour l’enchantement ?