« Les fausses confidences », Marivaux, Alain Françon, Théâtre des Célestins de Lyon 

Les-Fausses-Confidences-Alain-Françon © Jean-Louis-Fernandez

L’art de l’effacement Trina MounierLes Trois Coups Le public attend avec gourmandise les mises en scène d’Alain Françon, réputé pour être parmi les grands du théâtre classique, s’il n’est le premier. Elle est à son comble quand il monte Marivaux. C’est évidemment vrai, pour peu qu’on renonce, à l’instar du Maître, à ce qui fait, habituellement, le spectacle : […]

« La Seconde Surprise de l’amour », de Marivaux, Théâtre National Populaire à Villeurbanne

La-Seconde-Surprise-de -l-amour-Marivaux-Alain-Françon-Jean-Louis-Fernandez

L’amour joue à colin-maillard Par Trina Mounier Les Trois Coups Il avait monté « La Double Inconstance » en 1981. Depuis, Alain Françon a dirigé des scènes de première importance, suscité l’admiration de tous, remporté bien des prix avec des mises en scène de Tchekhov, Albee, Bernhard et bien d’autres… et surtout d’Edward Bond. Bref, quarante ans après, il revient à Marivaux avec […]

« le Prince travesti », de Marivaux, Théâtre de l’Épée‐de‑Bois à Paris

le Prince travesti © Arnold Jerocki

L’impossibilité de faire tomber les masques
Par Anne Cassou-Noguès
Plus de quarante ans après avoir monté pour la première fois « le Prince travesti », Daniel Mesguich s’attaque à nouveau à cette comédie en trois actes de Marivaux. Si la mise en scène est différente, l’intention est la même : « mettre en scène le théâtre » (note du metteur en scène).

« Arlequin poli par l’amour », de Marivaux, Théâtre de la Renaissance à Oullins

« Arlequin poli par l’amour » © Arnaud Bertereau

L’amour des commencements
Par Trina Mounier
Thomas Jolly aime les défis. Après avoir monté une version intégrale du « Henry VI » de Shakespeare (dix-huit heures, quand même !), il met en scène avec un brio teinté de fantaisie une des toutes premières pièces de Marivaux, « Arlequin poli par l’amour », écrite par l’auteur pour les comédiens italiens qu’il venait de découvrir.