« Éxécuteur 14 » d’Adel Hakim, Théâtre 14, à Paris

executeur-14-Adel-Hakim-Swann-Arlaud © Giovanni Cittadini Cesi

Un sourire aux dents de métal
Par Florence Douroux
Magnifique plaidoyer contre la guerre, « Exécuteur 14 », d’Adel Hakim dénonce l’engrenage ravageur dans lequel peut se perdre l’homme en proie à la haine. Swann Arlaud, mis en scène par Tatiana Vialle, s’empare de ce monologue du forcené au Théâtre 14, en faisant le pari de la sobriété.

« Chœur des amants », de Tiago Rodrigues, Théâtre des Célestins à Lyon

Choeur-des-amants-Tiago Rodrigues © Filipe Ferreira

Rêve d’amour
Par Trina Mounier
C’est un spectacle limpide, beau et bouleversant, simplissime et d’une technicité incroyable. Un hymne à l’amour, à l’autre, au temps, celui qui passe et celui qui nous construit. Le premier que Tiago Rodrigues a porté au plateau et qu’il reprend, plus de dix ans après.

« Onéguine », d’Alexandre Pouchkine, L’Azimut, à Antony

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En tournée
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Habitué des grands plateaux, Jean Bellorini nous surprend avec cette création intimiste. Pour restituer la poésie d’Eugène Onéguine, chef-d’œuvre de la littérature russe écrit dans les années 1820 par Alexandre Pouchkine, le metteur en scène a conçu un dispositif à mi-chemin entre spectacle et création sonore.

« Fanny », de Rébecca Déraspe, Théâtre Ouvert, à Paris

Fanny-Rébecca-Déraspe © Joseph-Banderet

Fanny n’a pas la forme
Par Laura Plas
Un texte presque boulevardier, une forme convenue qui ne permet pas aux comédiens d’échapper aux caricatures. « Fanny » démontre qu’on ne fait pas forcément du bon théâtre autour de questions passionnantes. Dommage pour ses trois interprètes.