Communiqué du Syndéac, 11 janvier 2022

Syndeac-Communiqué-11-janvier-2022

La culture ne ferait-elle plus partie du schéma éducatif national en temps de crise sanitaire ?
Annonce
Le Syndeac s’inquiètent des annulations systémiques des sorties culturelles à destination des jeunes scolarisés.

« Œuvrer son cri », de la compagnie Courir à la catastrophe, Théâtre des Célestins à Lyon

Oeuvrer-son-cri © Arnaud Bertereau

Avènement de l’acteur
Par Trina Mounier
Cette jeune compagnie n’en est pas à son coup d’essai. Elle a été, entre autres, lauréate de la première édition du Prix Célest’1.
« Œuvrer son cri » prouve à quel point ses membres savent rire de certaines situations malcommodes, voire dramatiques.
Un regard sarcastique, mais tendre, sur eux-mêmes, moteur même de leur création.

« Les Dodos », Le P’tit Cirk, L’Azimut, espace Cirque à Antony

Les-Dodos-P’tit Cirk © katelijne_boonen

Attention ! Oiseaux rares
Par Léna Martinelli
Cinq circassiens musiciens s’imaginent être des dodos, ces drôles d’oiseaux qui ne savaient pas voler, une espèce endémique de l’Ile Maurice disparue il y a fort longtemps. Comment échapper à la gravité ? Sous chapiteau, Le P’tit Cirk déplie sa poésie acrobatique et musicale, simple et délicate. Une pépite à ne pas manquer !

« Campana » du Cirque Trotolla et « Par le Boudu » de Bonaventure Gacon, Centquatre à Paris

Cirque-Trottola-Campana

Reprise
Par Léna Martinelli
Le chapiteau rouge du Cirque Trotolla investit, pour la troisième fois, la halle Aubervilliers. Il y célèbrera la 200e représentation de l’inoubliable « Campana ».
Suite à un cas covid, certaines représentations sont annulées jusqu’au 19 janvier inclus, remplacées par le solo de Bonaventure Gacon, « Par le boudu », que nous avions aussi beaucoup aimé.

Tribune des syndicats du spectacle vivant sur les mesures sanitaires

Tribune-janvier-2021-Syndicats-Spectacle-vivant-Covid © Prodiss

Tribune : la culture inquiète par « le manque de vision et d’ambition du gouvernement »
Les principaux syndicats de la profession ripostent aux dernières mesures de restriction décrétées le 27 décembre. Considérant leur secteur « sacrifié », ils expriment leur colère dans une tribune publiée dans le Figaro et relayée ci-dessous.