« La Promesse de l’aube », de Romain Gary, Théâtre de l’Atelier à Paris

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Un récit plein de vie
Par Léna Martinelli
Seul sur scène, pour la première fois de sa carrière, Stéphane Freiss s’empare du roman de Romain Gary. Il en restitue toute la teneur. La saveur aussi. Il rend hommage autant à ce chef-d’œuvre de la littérature qu’à l’amour maternel et filial, dans un délectable moment de complicité.

Festival En Acte(s) à Lyon

« Gestion de colère » © Joran Juvin : Maroulia Prod

Acte(s) de jouvence
Par Trina Mounier
Une journée marathon au festival En Acte(s) m’a offert un panorama éblouissant de la jeune création : cinq spectacles enlevés, intelligents et réellement enthousiasmants.

« Art », de Yasmina Reza, Théâtre Antoine à Paris

Art-Yasmina Reza-Théâtre-Antoine

Une amitié à l’épreuve de la scène
Par Salomé Baumgartner
« Art » de Yasmina Reza, créé pour la première fois en 1994 par Patrice Kerbrat, a eu un succès international. Le metteur en scène revient au Théâtre Antoine avec trois monuments de l’interprétation : Charles Berling, Alain Fromager et Jean-Pierre Darroussin.

Festival La Grande Échelle, Le Monfort à Paris

Mule-Hélène-Leveau-Aviva-Rose-Williams © Hélène Alline

À la bonne échelle
Par Laura Plas
Dix-sept propositions payantes ou gratuites, en plein air ou en salle : ce week-end, le festival La Grande Échelle a battu son plein au théâtre Monfort. L’Adami était la magicienne marraine de cet heureux évènement à qui on souhaite une longue vie.

« Candide », de Voltaire, La Comédie de Saint-Étienne

« Candide » de Voltaire – Mise en scène d’Arnaud Meunier © Sonia Barcet

Pied de nez dans un champ de ruines 
Par Trina Mounier
Le célèbre conte de Voltaire peut être redoutable pour un metteur en scène. Or, Arnaud Meunier, habitué aux grandes sagas politiques contemporaines, s’en sort avec aisance.

« Les Justes », d’après Albert Camus, Théâtre du Châtelet à Paris

« Les Justes » adapté par Abd Al Malik © Julien Mignot

Camus version mélodrame
Par Maxime Grandgeorge
Pour son premier spectacle en tant que metteur en scène, Abd Al Malik transforme « les Justes » de Camus en une tragédie musicale avec slam et chants yiddish. Un mélodrame entre passé et présent où la musique a tendance à prendre le pas sur le texte.

Les Fils aimés des Zébrures d’automne, à Limoges

« Maloya » de Sergio Grondin © Dan Ramaen

Fils aimés des Zébrures d’automne
Par Laura Plas
Le festival offrait cette semaine deux fortes réflexions sur la filiation : la pièce de Sergio Grondin, « Maloya » et la lecture du « Fils » de Marine Bachelot Nguyen, orchestrée par la Compagnie Méthylène. Deux approches sensibles et fortes qui résonnent en des temps de crispations identitaires.