« Requiem », de Hanokh Levin, les Célestins à Lyon

« Requiem » © Thomas Faverjon

Mort, sexe, boisson et rigolade
Par Trina Mounier
Dernière pièce de l’auteur israélien Hanokh Levin prématurément disparu, « Requiem » passe pour une sorte de testament théâtral. Son titre l’indique en tout cas, c’est de mort qu’il y est question, mais de cette manière loufoque qui est la marque de l’auteur. Ni la farce ni la gravité n’ont pourtant réussi à gagner notre adhésion.

« le Malade imaginaire », de Molière, les Célestins à Lyon

« le Malade imaginaire » © Éric Didym

Un malade bien seul
Par Trina Mounier
Avec André Marcon qui reprend le dernier rôle tenu par Molière lui-même, on pouvait attendre un « Malade imaginaire » de haute volée. La mise en scène de Michel Didym, hélas, ne tient pas toutes ses promesses et pâtit d’un manque de cohérence.

« Petit Eyolf », de Henrik Ibsen, les Célestins à Lyon

« Petit Eyolf » © Tristan Jeanne-Valès

Silence, on assassine
Par Trina Mounier
En montant « Petit Eyolf », l’une des dernières pièces de Henrik Ibsen, Julie Berès démontre avec brio l’actualité brûlante du grand auteur norvégien et nous propose une plongée vertigineuse dans l’enfer du couple.

« Un fils de notre temps », d’après Ödön von Örváth, les Célestins à Lyon

« Un fils de notre temps » © Jean-Louis Fernandez

Impasse de la haine
Par Michel Dieuaide
D’Ödön von Horváth, l’un des plus grands dramaturges de langue allemande du xxe siècle, mort de façon tragique et absurde à Paris en 1938, Simon Delétang met en scène « Un fils de notre temps ». Il s’agit de l’adaptation théâtrale d’un court roman établie par Guntrahm Brattia, comédien et metteur en scène autrichien, décédé lui aussi brutalement en 2014. Les Célestins coproduisent et accueillent cette création.

« Novecento », d’Alessandro Baricco, les Célestins à Lyon

Novecento © Gilles Vidal

Dussolier homme-orchestre
Par Trina Mounier
Difficile d’adapter pour le théâtre un texte aussi poétique et intimiste que celui d’Alessandro Baricco, « Novecento, pianiste ». André Dussolier contourne la difficulté brillamment, mais au détriment du roman.