Focus Pierre Notte, « Une merveilleuse histoire de sexe dégueulasse », « J’ai raté ma vie de tapin en voulant faire l’acteur », Festival Off Avignon 2023
S’éloigner de la fiction pour signer des rendez-vous beaucoup plus personnels : dans « Une merveilleuse histoire de sexe dégueulasse », Pierre Notte incarne son propre rôle avec Benoit Giros, une rencontre improbable sur ton de farce. Dans « J’ai raté ma vie de tapin en voulant faire l’acteur », adapté de son récit autobiographique « Prostitutions », Cécile Fleury joue le rôle de l’auteur, dirigée par Yves Penay. Un théâtre cru, fou. Et vrai.
« Une merveilleuse histoire de sexe dégueulasse »
« On m’accuse de stigmatiser les pratiques homosexuelles, c’est parfaitement mon intention », annonce Pierre Notte en souriant. C’est dit, il va le faire, et pas qu’un peu. Pendant que le public s’installe, Benoit et Pierre nous parlent et se parlent, sur le bord du cercle qui deviendra leur terrain de jeu. Le lieu étroit d’expérimentation de deux hommes qui y laisseront aussi – et surtout- deviner la courbe de leur cœur.
Deux homosexuels célibataires, la cinquantaine, font connaissance sur des applications de rencontres immédiates. Le premier rendez-vous est frais : ils se sont mentis sur leur profil. Le hasard les remet à nouveau face à face : « C’est encore moins vous que la première fois ! ». Petites piques et vilénies : « menteurs », « théâtreux », « tricheurs », « pas 37 ans en tout cas », pas « les pecs de la photo ». Mais il est annoncé sans ambages : « Plan total sauf amour ».
De brève rencontre en brève rencontre, ils s’embarquent ensemble dans le process d’une chasse à l’homme, dont ils ne sont pas très experts. Boîtes, bars, sous-sols, vidéos, sexe monnayé ou pas… Benoit en sort groggy, Pierre fait son brave : « C’est l’absence d’amour, c’est ça qu’on cherche ! ». Des traques qui ressemblent ici à des passages obligés : le prix à payer pour s’adapter aux outils contemporains du sexe, loin du romantisme échevelé auxquels ils auraient renoncé.
La pièce évoque les affres de leur parcours de combattant, ces chairs écorchées, ces aventures qui n’ont pas de nom, pas de visage, pas de futur. Elle dit la dureté de ces relations désenchantées lorsqu’on a décidé de ne plus rêver : une désespérance.« Il n’y a pas d’amour heureux (…) Je ne veux rien savoir de vous ». C’est donc ici que tout se joue. Amour. De dénégation en dénégation, ils y vont, ils iront, malgré eux. C’est le titre.
« On y va on n’y va plus ? »
Les petites répliques joliment sèches de Pierre Notte n’utilisent pas une seule fois le singulier : Benoit et Pierre se vouvoient jusqu’au bout, bel effet de style d’une mise à distance radicale qui n’invite pas l’affect à se joindre à l’aventure. Un petit côté formel percutant, car il est infiniment plus drôle d’entendre le « vous », lorsqu’on se traite de tue-l’amour, en se posant froidement et mine de rien les questions les plus crues.
Pas de familiarité dans la familiarité, c’est plus fin et plus efficace. On rit de ces prises de bec jamais vulgaires, de ce tac au tac de répliques si bien écrites, de ce grand bazar sur scène, bris de verre, faux sang et pieds blessés. Thé ou café ? Tarte à l’oignon ou aubergines ? Sur le ventre ou sur le dos ? Lumière crue ou tamisée ? David et Jonathan ? On y va ou n’y va plus ? C’est sans répit.
À l’intérieur de ce cercle, rien ne tourne rond, mais tout prend forme petit à petit. Malgré fracas et tracas, une intimité se dessine. Quelque chose qui ressemble à de la complicité, un début d’histoire. Benoit et Pierre rendent les armes. Benoit Giros est bouleversant dans cette capitulation : marre de tous ces « trucs », de « toutes ces tortures », du cycle infernal de ces répétitions en boucle.
Éreintés par le « le vide, les manques, les trous d’air », les voici nus face à leurs peurs. Peur de vieillir, d’être moches, « de n’être personne pour personne ». Peur que la fin soit « déjà passée ». Peur d’être bouffés par le risque d’un nouvel amour. Un formidable cri de vérité surgi de l’improbable, de la honte et de la solitude. L’aveu de l’enjeu au milieu de la farce.
Entrer sans sourciller dans le vif de ce sujet délicat, il fallait le faire ! Mais Pierre Notte a toujours les mots pour le dire et Benoit Giros l’art de les mettre si bien en scène. Leur tandem sur le plateau, à hue et à dia, offre la possibilité d’une tendresse au milieu du désenchantement.
« J’ai raté ma vie de tapin en voulant faire l’acteur »
À la façon dont Cécile Fleury se jette sur scène, on comprend qu’elle incarnera le rôle dans toute la puissance possible du terme. Torse nu, plaquant un vêtement contre elle, silhouette éjectée, elle attaque en flux torrentiel le monologue adapté du roman autobiographique de Pierre Notte, Prostitutions : « La honte, impossible de sortir de ça / Des torrents de honte. Vieilles hontes et peurs anciennes ». On est prévenus, rien ne sera tiède.
Cécile Fleury et Yves Penay s’emparent de ce texte encore inédit dans lequel Pierre Notte raconte son parcours raté de prostitué et ses errances de comédien. Du tapin à la scène, pratiques de corps vendus et d’images exploitées, il se dévoile lui-même : « C’est la prostitution que j’ai vécue, exploitée, ou dont je me suis fait la chose, l’objet ». Une lucidité crue sur la frontière un peu floue qui sépare deux mondes qu’il connaît. C’est sa part intime « la plus sensible et terrible, la plus vraie de toutes ». Ils signent à trois l’adaptation de ces confessions pour le moins violentes.
L’auteur évoque tout d’un parcours haché, ponctué d’échecs, qui a démarré du mauvais pied : manque d’amour, sœur dédaigneuse pour « le petit gros de frère inutile », père à la tendresse absente, jamais de « mon chéri », ni rien. C’est le creuset d’un départ chaotique. Une panne d’amour alentour, mauvais sort entraînant scarification, tendance suicidaire, gestes trop calculés d’enfant et d’adolescent en quête de reconnaissance. Un parcours de démuni affectif.
Corps extraverti
Cécile Fleury et Yves Penay ont donc fait le choix du corps extraverti pour raconter. À son corps défendant, la comédienne s’offre sur scène comme une écorchée vive. Silhouette un peu féline en longue robe rouge à dentelles, elle évolue autour d’une table de maquillage entourée d’un arc de lumières. Lieu narcissique des métamorphoses, des prostitutions en tout genre. La comédienne se change à vue derrière des rideaux légèrement opaques. Rien ne la cache, elle est, corps et âme, présente.
Bien sûr, il y a l’écriture tellement alerte de Pierre Notte et sa façon si radicale de jeter l’information. « Dans ma chambre, bientôt, je passerai des lames de rasoir sur ma peau / Parce que c’est facile, parce que ça occupe, parce que ça fait du bien quand ça fait mal (…). Mais c’est raté. Le père n’en saura jamais rien ».
On ne peut qu’être saisi par un tel condensé de vécu. Il n’accuse rien, ni personne. Ce qui est en cause, c’est sa part manquante à lui, sa fêlure de vie. « C’est le parcours malheureusement exemplaire d’un corps perdu. Il se trouve que c’était mon corps, et que c’était vraiment perdu (…). Comment s’inscrire dans le monde ? Dans quelle sorte de métier ? À part se vendre pour exister, pour qu’on nous apporte un prix, pour qu’on nous estime ? C’est aussi tragique que ça : être considéré au moins comme un objet pour exister », explique l’auteur.
Mais il y a aussi une force d’interprétation hors norme. Cécile Fleury pousse la performance à une intensité maximale. Dans la brutalité vive du propos, elle met le curseur à fond. Une torche vivante, incandescente. Le récit est porté sur un fil tendu à l’extrême.
Voix plus douce, elle évoque ce funambule peu aguerri, jeune homme de 20 ans basculant sans bruit sur les rails du métro Mairie de Clichy. Un fil rouge dans la pièce qui sonne comme la vérité essentielle : le deuil à faire du jeune homme qui s’est perdu en route ; une réconciliation entre soi et soi, celui qui est parti et celui qui est resté. Est-ce l’apaisement ? La scène est magnifique. Allongée sur la table, la comédienne relève doucement ses bras et ses jambes vers ce ciel à atteindre, sous son arc étoilé. Bouleversant. 🔴
Florence Douroux
Une merveilleuse histoire de sexe dégueulasse, de Pierre Notte
Cie L’idée du Nord-Benoit Giros Mise en scène : Benoit Giros Avec : Benoit Giros et Pierre Notte Accompagnement chorégraphique : Alexandra Gilbert Lumières : Natacha Räber Musiques : Pierre Notte Régisseur général : Éric Schoenzetter Durée : 1 h 05 Dès 16 ans Avignon Reine Blanche • 16, rue de la Grande Fusterie• 84000 Avignon Du 7 au 25 juillet 2023 (sauf les 12 et 19 juillet), à 21 h 50 De 11 € à 16 € Réservations : 04 90 85 38 17
Dans le cadre du Festival Off Avignon, du 7 au 29 juillet 2023 Plus d’infos ici
J’ai raté ma vie de tapin en voulant faire l’acteur, d’après Prostitutions de Pierre Notte
Par la compagnie du Refuge Adaptation de Pierre Notte, Yves Penay et Cécile Fleury Mise en scène : Yves Penay Avec : Cécile Fleury Lumières : Elias Attig Musique : Olivier Rabet Décor : Laurent Tésio Durée : 1 h 15 Dès 16 ans Théâtre La Luna • 1, rue Séverine• 84000 Avignon Du 7 au 29 juillet 2023, à 15 h 50 De 15 € à 22 € Réservations : 04 12 29 01 24 ou en ligne Dans le cadre du Festival Off Avignon, du 7 au 29 juillet 2023 Plus d’infos ici
Focus Pierre Notte, « Une merveilleuse histoire de sexe dégueulasse », « J’ai raté ma vie de tapin en voulant faire l’acteur », Festival Off Avignon 2023
Corps perdus, éperdus, éperdument
Par Florence Douroux
Les Trois Coups
S’éloigner de la fiction pour signer des rendez-vous beaucoup plus personnels : dans « Une merveilleuse histoire de sexe dégueulasse », Pierre Notte incarne son propre rôle avec Benoit Giros, une rencontre improbable sur ton de farce. Dans « J’ai raté ma vie de tapin en voulant faire l’acteur », adapté de son récit autobiographique « Prostitutions », Cécile Fleury joue le rôle de l’auteur, dirigée par Yves Penay. Un théâtre cru, fou. Et vrai.
« Une merveilleuse histoire de sexe dégueulasse »
« On m’accuse de stigmatiser les pratiques homosexuelles, c’est parfaitement mon intention », annonce Pierre Notte en souriant. C’est dit, il va le faire, et pas qu’un peu. Pendant que le public s’installe, Benoit et Pierre nous parlent et se parlent, sur le bord du cercle qui deviendra leur terrain de jeu. Le lieu étroit d’expérimentation de deux hommes qui y laisseront aussi – et surtout- deviner la courbe de leur cœur.
Deux homosexuels célibataires, la cinquantaine, font connaissance sur des applications de rencontres immédiates. Le premier rendez-vous est frais : ils se sont mentis sur leur profil. Le hasard les remet à nouveau face à face : « C’est encore moins vous que la première fois ! ». Petites piques et vilénies : « menteurs », « théâtreux », « tricheurs », « pas 37 ans en tout cas », pas « les pecs de la photo ». Mais il est annoncé sans ambages : « Plan total sauf amour ».
De brève rencontre en brève rencontre, ils s’embarquent ensemble dans le process d’une chasse à l’homme, dont ils ne sont pas très experts. Boîtes, bars, sous-sols, vidéos, sexe monnayé ou pas… Benoit en sort groggy, Pierre fait son brave : « C’est l’absence d’amour, c’est ça qu’on cherche ! ». Des traques qui ressemblent ici à des passages obligés : le prix à payer pour s’adapter aux outils contemporains du sexe, loin du romantisme échevelé auxquels ils auraient renoncé.
La pièce évoque les affres de leur parcours de combattant, ces chairs écorchées, ces aventures qui n’ont pas de nom, pas de visage, pas de futur. Elle dit la dureté de ces relations désenchantées lorsqu’on a décidé de ne plus rêver : une désespérance.« Il n’y a pas d’amour heureux (…) Je ne veux rien savoir de vous ». C’est donc ici que tout se joue. Amour. De dénégation en dénégation, ils y vont, ils iront, malgré eux. C’est le titre.
« On y va on n’y va plus ? »
Les petites répliques joliment sèches de Pierre Notte n’utilisent pas une seule fois le singulier : Benoit et Pierre se vouvoient jusqu’au bout, bel effet de style d’une mise à distance radicale qui n’invite pas l’affect à se joindre à l’aventure. Un petit côté formel percutant, car il est infiniment plus drôle d’entendre le « vous », lorsqu’on se traite de tue-l’amour, en se posant froidement et mine de rien les questions les plus crues.
Pas de familiarité dans la familiarité, c’est plus fin et plus efficace. On rit de ces prises de bec jamais vulgaires, de ce tac au tac de répliques si bien écrites, de ce grand bazar sur scène, bris de verre, faux sang et pieds blessés. Thé ou café ? Tarte à l’oignon ou aubergines ? Sur le ventre ou sur le dos ? Lumière crue ou tamisée ? David et Jonathan ? On y va ou n’y va plus ? C’est sans répit.
À l’intérieur de ce cercle, rien ne tourne rond, mais tout prend forme petit à petit. Malgré fracas et tracas, une intimité se dessine. Quelque chose qui ressemble à de la complicité, un début d’histoire. Benoit et Pierre rendent les armes. Benoit Giros est bouleversant dans cette capitulation : marre de tous ces « trucs », de « toutes ces tortures », du cycle infernal de ces répétitions en boucle.
Éreintés par le « le vide, les manques, les trous d’air », les voici nus face à leurs peurs. Peur de vieillir, d’être moches, « de n’être personne pour personne ». Peur que la fin soit « déjà passée ». Peur d’être bouffés par le risque d’un nouvel amour. Un formidable cri de vérité surgi de l’improbable, de la honte et de la solitude. L’aveu de l’enjeu au milieu de la farce.
Entrer sans sourciller dans le vif de ce sujet délicat, il fallait le faire ! Mais Pierre Notte a toujours les mots pour le dire et Benoit Giros l’art de les mettre si bien en scène. Leur tandem sur le plateau, à hue et à dia, offre la possibilité d’une tendresse au milieu du désenchantement.
« J’ai raté ma vie de tapin en voulant faire l’acteur »
À la façon dont Cécile Fleury se jette sur scène, on comprend qu’elle incarnera le rôle dans toute la puissance possible du terme. Torse nu, plaquant un vêtement contre elle, silhouette éjectée, elle attaque en flux torrentiel le monologue adapté du roman autobiographique de Pierre Notte, Prostitutions : « La honte, impossible de sortir de ça / Des torrents de honte. Vieilles hontes et peurs anciennes ». On est prévenus, rien ne sera tiède.
Cécile Fleury et Yves Penay s’emparent de ce texte encore inédit dans lequel Pierre Notte raconte son parcours raté de prostitué et ses errances de comédien. Du tapin à la scène, pratiques de corps vendus et d’images exploitées, il se dévoile lui-même : « C’est la prostitution que j’ai vécue, exploitée, ou dont je me suis fait la chose, l’objet ». Une lucidité crue sur la frontière un peu floue qui sépare deux mondes qu’il connaît. C’est sa part intime « la plus sensible et terrible, la plus vraie de toutes ». Ils signent à trois l’adaptation de ces confessions pour le moins violentes.
L’auteur évoque tout d’un parcours haché, ponctué d’échecs, qui a démarré du mauvais pied : manque d’amour, sœur dédaigneuse pour « le petit gros de frère inutile », père à la tendresse absente, jamais de « mon chéri », ni rien. C’est le creuset d’un départ chaotique. Une panne d’amour alentour, mauvais sort entraînant scarification, tendance suicidaire, gestes trop calculés d’enfant et d’adolescent en quête de reconnaissance. Un parcours de démuni affectif.
Corps extraverti
Cécile Fleury et Yves Penay ont donc fait le choix du corps extraverti pour raconter. À son corps défendant, la comédienne s’offre sur scène comme une écorchée vive. Silhouette un peu féline en longue robe rouge à dentelles, elle évolue autour d’une table de maquillage entourée d’un arc de lumières. Lieu narcissique des métamorphoses, des prostitutions en tout genre. La comédienne se change à vue derrière des rideaux légèrement opaques. Rien ne la cache, elle est, corps et âme, présente.
Bien sûr, il y a l’écriture tellement alerte de Pierre Notte et sa façon si radicale de jeter l’information. « Dans ma chambre, bientôt, je passerai des lames de rasoir sur ma peau / Parce que c’est facile, parce que ça occupe, parce que ça fait du bien quand ça fait mal (…). Mais c’est raté. Le père n’en saura jamais rien ».
On ne peut qu’être saisi par un tel condensé de vécu. Il n’accuse rien, ni personne. Ce qui est en cause, c’est sa part manquante à lui, sa fêlure de vie. « C’est le parcours malheureusement exemplaire d’un corps perdu. Il se trouve que c’était mon corps, et que c’était vraiment perdu (…). Comment s’inscrire dans le monde ? Dans quelle sorte de métier ? À part se vendre pour exister, pour qu’on nous apporte un prix, pour qu’on nous estime ? C’est aussi tragique que ça : être considéré au moins comme un objet pour exister », explique l’auteur.
Mais il y a aussi une force d’interprétation hors norme. Cécile Fleury pousse la performance à une intensité maximale. Dans la brutalité vive du propos, elle met le curseur à fond. Une torche vivante, incandescente. Le récit est porté sur un fil tendu à l’extrême.
Voix plus douce, elle évoque ce funambule peu aguerri, jeune homme de 20 ans basculant sans bruit sur les rails du métro Mairie de Clichy. Un fil rouge dans la pièce qui sonne comme la vérité essentielle : le deuil à faire du jeune homme qui s’est perdu en route ; une réconciliation entre soi et soi, celui qui est parti et celui qui est resté. Est-ce l’apaisement ? La scène est magnifique. Allongée sur la table, la comédienne relève doucement ses bras et ses jambes vers ce ciel à atteindre, sous son arc étoilé. Bouleversant. 🔴
Florence Douroux
Une merveilleuse histoire de sexe dégueulasse, de Pierre Notte
Cie L’idée du Nord-Benoit Giros
Mise en scène : Benoit Giros
Avec : Benoit Giros et Pierre Notte
Accompagnement chorégraphique : Alexandra Gilbert
Lumières : Natacha Räber
Musiques : Pierre Notte
Régisseur général : Éric Schoenzetter
Durée : 1 h 05
Dès 16 ans
Avignon Reine Blanche • 16, rue de la Grande Fusterie• 84000 Avignon
Du 7 au 25 juillet 2023 (sauf les 12 et 19 juillet), à 21 h 50
De 11 € à 16 €
Réservations : 04 90 85 38 17
Dans le cadre du Festival Off Avignon, du 7 au 29 juillet 2023
Plus d’infos ici
Tournée :
• Du 29 novembre au 22 décembre 2023, La Reine Blanche Paris (75018)
J’ai raté ma vie de tapin en voulant faire l’acteur, d’après Prostitutions de Pierre Notte
Par la compagnie du Refuge
Adaptation de Pierre Notte, Yves Penay et Cécile Fleury
Mise en scène : Yves Penay
Avec : Cécile Fleury
Lumières : Elias Attig
Musique : Olivier Rabet
Décor : Laurent Tésio
Durée : 1 h 15
Dès 16 ans
Théâtre La Luna • 1, rue Séverine• 84000 Avignon
Du 7 au 29 juillet 2023, à 15 h 50
De 15 € à 22 €
Réservations : 04 12 29 01 24 ou en ligne
Dans le cadre du Festival Off Avignon, du 7 au 29 juillet 2023
Plus d’infos ici
À découvrir sur Les Trois Coups :
☛ Pédagogies de l’échec, de Pierre Notte, par Florence Douroux
☛ Moi aussi je suis Barbara, de Pierre Notte, par Florence Douroux
☛ Mauvaise Petite Fille blonde, de Pierre Notte, par Florence Douroux
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