« Le Pédé », Collectif Jeanine Machine, Festival Éclat, Aurillac
N’arrête pas ton char, Jeanine Machine ! Par Stéphanie RuffierLes Trois Coups Alléluia et gay power ! Le tout nouveau collectif Jeanine Machine bat le pavé avec une
N’arrête pas ton char, Jeanine Machine ! Par Stéphanie RuffierLes Trois Coups Alléluia et gay power ! Le tout nouveau collectif Jeanine Machine bat le pavé avec une
Alexis Armengol poursuit son travail sur la différence avec « K.» qui aborde l’autisme. Faisant partager la longue patience des soignants, la pièce multiplie les pistes pour nous situer aux côtés du personnage, hors du langage, sans percer vraiment son mystère. Quant à Catherine Verlaguet, elle a écrit Le Processus, une courte pièce dont Johanny Bert nous livre une mise en scène fine et sensible. Pour un sujet si délicat et si intime que l’avortement, il adopte une forme spécifique qui atteste à la fois de sa capacité à renouveler ses esthétiques et à écouter le texte qu’il a choisi de monter.
Rebattre les cartes Par Stéphanie RuffierLes Trois Coups Dénoncer les clichés sur la femme noire fétichisée, érotisée, esclavagisée et diabolisée, c’est recevoir, aujourd’hui en France, un tombereau
Poièsis et circassem Par Stéphanie RuffierLes Trois Coups 5 jours, 150 compagnies, 78 lieux, 1 000 spectacles, plus de 200 000 spectateurs : Chalon dans la Rue a retrouvé son effervescence artistique, son public chaleureux
Quand on naît parent Par Stéphanie RuffierLes Trois Coups Chalon, une des principales vitrines des arts de la rue, affichait cette année un regain pour le théâtre
Demain dès l’aube, je jouirai Par Stéphanie RuffierLes Trois Coups Culotte mouillée, poing levé, esprit en ébullition… Dès potron-minet, le festival Chalon dans la rue nous dégourdit
Alba : « The Place to be » Léna MartinelliLes Trois Coups Le Festival d’Alba se déroulait du 11 au 16 juillet. Cette année, beaucoup de jonglage et d’humour (dont l’excellent
Après « 21 jours de fête civique », la 77e édition du Festival s’achève en apothéose avec la reprise du spectacle « By Heart » dans la Cour d’honneur. Tiago Rodrigues dresse un vibrant hommage à la littérature : les grandes œuvres recueillent le « souvenir des ombres du passé », s’ingèrent, s’incorporent, impriment la mémoire collective et se transmettent avec cœur. Une leçon pénétrante et non dénuée d’humour, que nous savourons encore.
Nos plus gros coups de cœur Par Léna MartinelliLes Trois Coups L’équipe vous recommande ces dernières pépites découvertes dans le In et dans le Off. Toutes les tournées des
Mes deux coups de cœur d’Avignon Par Trina MounierLes Trois Coups Ce sont deux spectacles de petites compagnies, faits sans grands moyens, mais avec quel
Corps perdus, éperdus, éperdument Par Florence DourouxLes Trois Coups S’éloigner de la fiction pour signer des rendez-vous beaucoup plus personnels : dans « Une merveilleuse histoire de sexe
Cette année, le Festival met à l’honneur la langue anglaise et, évidemment, son plus grand poète dramatique : William Shakespeare. Gwenaël Morin affronte ainsi l’écrasant Shakespeare pour le transformer, dans le cadre de son projet avignonnais « Démonter les remparts pour finir le pont ». L’ancien architecte choisit de monter « Le Songe » : dans la comédie, un mur sépare et réunit les amants Pyrame et Thysbé. Quant au metteur en scène britannique et auteur Tim Crouch, il revisite aujourd’hui le bouffon du « Roi Lear » pour questionner le statut du fou, de l’artiste, du théâtre, aujourd’hui, dans un percutant monologue : « Truth’s a Dog Must to Kennel ». Deux spectacles de « folie » sur la puissance de l’imaginaire !