« Les douze heures des auteurs », Artcena, Maison Jean Vilar, Festival Avignon 2023

Autoportraits d'auteurs-Artcena

Célébrer les auteurs, la coopération et l’intelligence partagée (épisode 1)

Par Lorène de Bonnay
Les Trois Coups

La 3e édition de l’événement « Les Douze Heures des auteurs » – consacré à la promotion des écritures dramatiques d’aujourd’hui – est foisonnante. De midi à minuit, Artcena, le Festival d’Avignon, la Maison Jean Vilar, France Culture et leurs partenaires proposent en accès libre un florilège de lectures diverses, conférences, rencontres, ateliers d’écriture et autres surprises. La journée, si dense, oblige à opérer des choix, à regret ! Voici quelques moments marquants de notre déambulation curieuse au cœur de ces riches imaginaires.

Midi, dans la cour nommée la « Calade ». Quoi de mieux pour commencer le voyage qu’un dialogue avec le très grand auteur et charmant directeur du Festival, Tiago Rodrigues ? Invité par la journaliste et directrice d’Artcena, Gwénola David, à évoquer son parcours, l’artiste nous parle avec un naturel facétieux de son rapport à l’écriture, depuis qu’il a treize ans (le premier volume de ses œuvres vient de paraître aux Solitaires Intempestifs).

Il ne se « considère pas comme un auteur », au sens où « écrire est une façon de parler », de participer au monde, « grâce aux mots, grâce aux blagues ». Né en 1977, la révolution des Œillets, après la fascisme, il se dit pleinement conscient de jouir de libertés gagnées par d’autres et se sent tributaire de cette dette : il faut « travailler » pour maintenir ces acquis.

Tiago Rodrigues © Christophe Raynaud de Lage
© Christophe Raynaud de Lage

Le jeune Tiago envoie tôt des textes à un journal avec supplément qui les publie, ce qui a dû rassurer sa mère, lui reprochant « d’écrire trop et pas assez pour l’école » ! Il choisit le théâtre « pour ne pas être seul » et finit par entrer au conservatoire de Lisbonne, après un refus. Ses professeurs lui disent alors qu’il a « des qualités, mais non théâtrales ! ». Peu importe, il s’inscrit à des ateliers et rencontre à vingt ans les TG Stan, dont les idées s’opposent à celles transmises au conservatoire. « Une révélation ».

Avec cette compagnie flamande, tous les choix sont collectifs, il n’y a pas de metteur en scène. Le rapport aux auteurs du répertoire est vivant : on s’empare librement des textes car on ne ressent pas, comme en France, leur poids institutionnel. On peut ainsi monter Shakespeare : « Hamlet parfait n’existe pas ». Il faut accepter la « nature rugueuse du théâtre », « traverser Hamlet et se laisser traverser par lui. »

Tiago Rodrigues apprend à écrire avec cette façon de s’approprier les classiques, au sein d’un collectif démocratique, et pour une multiplicité. Inutile de « retirer quelque chose de moi-même », explique-t-il. « J’écris pour des acteurs, pour un projet et, en faisant cela, quelque chose de moi s’exprime » ; « grâce à ce partage, une nouvelle correspondance se crée, comme dans un roman épistolaire. »

Il fonde aussi sa propre compagnie au Portugal, tout en continuant à travailler avec les TG Stan et à voyager (il est l’invité d’institutions nationales et internationales et célèbre, d’ailleurs, l’hospitalité, la circulation des troupes venant d’ici ou d’ailleurs et qui se rassemblent, comme ici à Avignon).

Tiago Rodrigues-Théâtre-Solitaires Intempestifs © DR
Couverture Théâtre 2011-2015 © DR

Tiago Rodrigues est ensuite amené à développer son rapport à la littérature et au théâtre : l’art contient « une beauté, une consolation, une résistance mais il n’empêche guère la barbarie ». C’est une arme pour lutter contre. La littérature est faite de couches, d’emprunts, de réécritures, de mémoire, de transmission. Lui s’est emparé de grands auteurs avec lesquels ils aurait aimé travailler, en acceptant de « ne pas être à la hauteur » : Sophocle, Shakespeare, Tolstoï, Flaubert… « Eux ne le savent pas, mais j’ai bien bossé avec eux ! », lance l’artiste d’un ton espiègle. « Oui, j’ai pris le risque de rajouter du bruit au monde, c’était une urgence, j’avais besoin de le faire. » « On revient toujours aux grandes histoires pour trouver le détail qui a changé et qui prouve que nous l’avons écrite, cette histoire ; nous en sommes l’auteur. »

Il ajoute que la postérité ne l’intéresse pas, seulement le présent. « L’art théâtral suspend le temps », « une représentation offre du temps, de façon palpable – un trésor aujourd’hui ». Cette fameuse « présence » est un « acte politique » : il ne s’agit pas de se divertir, de faire abstraction de la « réalité » en montrant ou en assistant à un spectacle. Non, on offre son temps, son énergie, son argent, pour sentir plus fortement la vie. Même si l’on n’aime pas ce que l’on voit.

Gwénola David-Tiago Rodrigues © ARTCENA
© ARTCENA

En tant qu’auteur, Tiago Rodrigues aime proposer un « système » et y introduire un « virus » qui le mette en question et interroge le public : le dilemme, par exemple, est une « machine dramaturgique » qui bouscule le spectateur, ébranle ses certitudes. De façon générale, il ne faut pas exposer trop clairement son point de vue dans une œuvre afin de laisser le lecteur plus libre.

Mais l’auteur s’inquiète que certains spectateurs « à fleur de peau » prennent tout au premier degré. C’est dangereux. Par exemple, Catarina et la beauté de tuer des fascistes fait entendre un discours empreint de mots prononcés par des leaders d’extrême droite actuels. Des réactions, dans la salle, ont semé le trouble car certains n’ont pas supporté… Difficile de contrôler les émotions suscitées par un texte. On imagine ce que pourrait provoquer sa prochaine pièce autour de Médée (une femme, une étrangère, une infanticide) !

« Auteur dramatique, un métier en résonance avec son temps »

À 14 heures, à l’intérieur du Studio, Élise Blaché et Simon Grangeat, de la revue annuelle La Récolte, présentent les auteurs mis en lumière par ce 5e numéro. De larges extraits de leurs pièces sont présentés dans cette magnifique revue éditée en partenariat avec Les Solitaires Intempestifs, avec le soutien du CNL et de la fondation Jan Michalski.

La Récolte © ARTCENA
© ARTCENA

Accompagnés de « cahiers dramaturgiques » fouillés et d’illustrations créatives, ces textes (non publiés et variés) proviennent de la sélection de huit comités de lecture (dont sept permanents et un invité) : À Mots découverts, la Comédie de Caen, les Francophonies, les Journées de Lyon des auteurs de théâtre, Textes en cours, le Théâtre de la Tête Noire, le Théâtre de l’Éphémère, Troisième Bureau et le théâtre du Rond-Point recèlent de lecteurs passeurs, soucieux de leur diffusion.

Quelle joie de découvrir ce nouvel opus qui favorise le lien entre auteurs, lecteurs et équipes de création ! Et d’écouter ces huit auteurs rassemblés autour de la question « Auteur dramatique, un métier en résonance avec son temps ? ».

Julie Aminthe, Caroline Michel (traductrice), Julien Guyomard, Victor Inisan, Rolaphton Mercure, Lydie Tamisier et Azilys Tanneau ont passé quelques jours à la Chartreuse. Ils ont pu échanger, confronter leurs univers, lire en public le texte d’un « collègue », entendre ses mots mis enfin en corps par d’autres, « se féliciter ». Le début d’un rêve.

Presque tous ont une formation d’acteur. Certaines sont passées par le parcours écriture dramatique de l’ENSATT. Julien Guyomard possède sa compagnie pour monter ses projets et sa pièce sera montée en septembre à la Tempête. Quelques-uns ont pu voir leurs précédents textes montés, d’autres pas encore. Caroline Michel traduit et fait découvrir des auteurs italiens contemporains choisis : c’est donc aussi une autrice puisqu’elle « interprète les mots des autres » avec les siens !

Couverture-revue-Récolte © DR

« Mettre en valeur un morceau vivant du paysage de l’écriture »

La pièce Les Méritants de Julien Guyomard s’inspire du film de zombies et aborde le thème de la méritocratie. L’anticipation, l’allégorie, lui permettent de raconter les inégalités du présent de façon non anxiogène, de partager des questions politiques avec un public de théâtre ou plus large.

Rolaphton Mercure, soucieux de parler des tabous et non-dits de la société, nous plonge de façon incisive dans une industrie vestimentaire en Haïti : l’histoire de sa mère. L’Odeur des tissus s’intéresse à des femmes s’employant à l’art de la joie, dans une retraite spirituelle.

Lydie Tamisier développe une esthétique attentive aux détails, à « l’infra-mince », au presque rien ; elle questionne d’abord la forme (les possibles de la fiction, ce que on attend, regarde, écoute au théâtre) avant de trouver un sujet.

Davide Carnevali travaille le genre in progress du polar dans Portrait de l’artiste après sa mort : le protagoniste apprend qu’il hérite d’un appartement en Argentine et part enquêter avec son ami écrivain.

Victor Inisan aime questionner les genres et registres (marionnette, Grand Guignol, Gore, conte, horreur, fantastique) et sa pièce Papa congèle présente un homme qui dialogue avec les têtes congelées des membres de sa famille morte.

Julie Aminthe (Notre Vallée) explique qu’elle part de l’intime et de rencontres pour créer des objets partageables ; elle laisse de l’espace dans son écriture pour la scène, la marionnette.

Enfin, Azilys Tanneau invite dans Rest/e à explorer les processus de deuil, à l’heure des nouvelles technologies.

Voilà de quoi nous mettre en appétit : les préoccupations, les formes et les sujets sont divers, mais toutes ces écritures ont en commun de ménager des temps de création propres au plateau. Comme Tiago Rodrigues, Ces auteurs ne veulent pas (seulement, voire pas du tout) créer seuls.

Du côté des éditeurs

16 heures, l’heure du goûter et de nouvelles réjouissances, dans le Studio : des acteurs de l’ENSATT, viennent mâcher les mots de quatre auteurs publiés chez Actes Sud-Papiers, Espaces 34, Les Solitaires intempestifs et Éditions Théâtrales. Sous la direction de Maëlle Dequiedt, Carla Guffroy, Fanny Godel, Kerwan Normant, Leslie Carmine, Lucas Martini, Garance Malard, Lucie Garçon, Salomé Lavenir, Séraphin Rousseau Victor Grenier donnent chair à ces textes en devenir.

La pièce De l’ambition de Yann Reuzeau évoque la fin de l’adolescence, la fin d’une amitié. Elle est jouée au théâtre des Gémeaux dans le off à 13 h 15. Nous assistons à une scène violente et d’une efficacité redoutable entre cinq jeunes, dans une classe, sans professeur. L’isolement dans un groupe, les fantasmes, les clichés, les rapports de pouvoir y sont dépeints. L’extrait est rythmé, frappant, et les situations brossent le portrait d’une jeunesse « prise à bras le corps », explique la directrice des éditions Actes Sud-Papiers, Claire David.

« Rudimentaire » (extrait du recueil Notre décennie, publié aux éditions Espaces 34) de Stéphane Bonnard prend la forme d’un monologue accueillant plusieurs voix : un narrateur dans une ville expose son quotidien avec sa fille et ses collaborateurs, le flux d’informations qui lui parviennent sur son portable, etc. Une voix d’homme alterne avec une voix de femme. Le texte révèle des enjeux à la fois intimes et politiques. La langue travaillée, mise en valeur par le jeu des acteurs, est accompagnée de musique.

François Berreur (directeur littéraire des éditions Les Solitaires intempestifs) présente ensuite une pièce d’Enzo Cormann, extraite du deuxième volume de L’Histoire mondiale de ton âme. Il a été séduit par l’ensemble de cette « aventure utopique, hors norme et infinie, posant des problèmes de dramaturgie ». Les jeunes comédiens s’en sortent admirablement, incarnant tour à tour un Bouffon maléfique, Griotte et Celui-là, évoluant dans le monde chaotique de Moloch City. On entend la poéticité de la langue de Cormann, on apprécie la choralité, mais les « choses rêvées » qui peuplent cette âme sont difficiles d’accès. On peut écouter plusieurs pièces sur France Culture pour mieux suivre cette traversée passionnante.

Enfin, un extrait de Déesses, je me maquille pour ne pas pleurer, est dévoilé. Son autrice, Héloïse Desrivières, a été formée à l’ENSATT, repérée au jury de sortie par Pierre Almos (des Éditions Théâtrales) et publiée dans La Récolte. La lecture nous montre une très jeune maman solo, blogueuse, qui s’adresse de façon percutante à sa communauté de « fleurs », depuis sa salle-de-bain. Le père du bébé est décédé et cette étudiante infirmière se retrouve avec des problèmes financiers et un corps « morcelé », « insupportable ». Sa peau est si « distendue » qu’elle décide de « faire des wraps » (des enveloppements corporels). Elle se raccroche donc à la beauté pour survivre. Ce qui a le plus intéressé l’éditeur, ce sont les moments où l’on passe « derrière le rideau de douche » d’Astrid, où l’on découvre des aspects plus « métaphysiques ». La pièce semble prometteuse, en effet !

Un feuilleton anglais en écho avec la programmation du Festival

18 h 30, au Jardin de Mons. La présence de Blandine Masson, réalisatrice et directrice de la fiction chez France Culture, nous rappelle que cette radio s’attache aussi à mettre en lumière les nouvelles écritures dramaturgiques, inédites ou publiées (un grand nombre de textes ayant fait l’objet d’une prime de France Culture sont ensuite publiés ou joués au théâtre).

Saison Anglaise © ARTCENA
© ARTCENA

Pour ces Douze heures, une commande d’écriture a été passée à quatre auteurs. Blandine Masson explique qu’il s’agissait pour chacun « d’imaginer, en quelques minutes, ce que serait la vie d’un personnage emblématique de Shakespeare, ce qu’il nous raconterait de notre époque. » Ainsi est né le feuilleton dramatique « Saison Anglaise ». Il résonne fort avec la ligne artistique de cette édition, dont l’anglais est la langue invitée, et qui met Shakespeare à l’honneur (Tim Crouch réinvente notamment le fou du Roi Lear, par exemple, dans Truth’s a Dog must to kennel).

Le premier épisode, lu par le génial Dominique Pinon, m’a particulièrement éblouie : Lear for real, de Claudine Galea. Un vieil homme à l’hôpital demande à sa fille de venir le chercher. Il énumère les jours qui passent et ponctue son discours de « hangs up ! ». Il va mal, tombe, aboie, devient fou, « Pauvre Tom ». Il est le roi Lear qui grignote des biscuits, refuse de s’habiller, ricane, délire, « joue à la comédie », dit aux infirmières qu’ « un château l’attend », « récite de la poésie en anglais », « tire la langue, Lear tirelire » : « Je veux être chez toi, Ophélie. Tu ne peux me demander de te prendre en charge […] Parle ! Rien […] Ces couloirs sont-ils ma lande ? […] Qui me voit à part à moi-même ? Qui parle ? Corde. Cordélia. » Un soliloque aux accents beckettiens magistralement incarné : l’un des temps forts de cette folle journée.

Sara Louis prend ensuite en charge, avec sensibilité, le très beau texte de Fabrice Melquiot : La Fêlée, tombeau d’Ophélie. Là encore, un « Je » s’interroge sur son identité. Depuis son apparition en 1598, Ophélie rappelle qu’elle est prisonnière du regard des hommes : de Shakespeare à Heiner Müller, en passant par Rimbaud ou Johnny ! Elle ne peut être réduite à des qualificatifs ou des fonctions : une fleur immaculée, une vierge, une « traumatisée, amoureuse, qu’on n’écoute pas », « dans un hôpital psychiatrique, hystérique. » Certes, elle représente toutes les femmes : des pauvres, des ouvrières, des institutrices… Elle a subi l’emprise, a été attaquée par la « chlorose », est devenue « jaune » […] Considérée comme « une sale espèce », elle affirme sa dignité à travers une parole performative : Hamlet « ne vaut pas la peine qu’on meurt pour lui » – aucun garçon. Au final, la jeune fille finit par assumer son statut de personnage et d’actrice : « Je ne suis pas (morte)/Je ne meurs pas / Pleins feux sur moi, j’ai dit ! ».

Après ce texte coup de poing, celui de Lola Molina, Puck, une nuit, lu par Paul Jeanson, nous transporte dans l’univers de la nuit, parisien et contemporain, glauque et onirique. Puck nous égare dans « une after » composée de « gens atteints de troubles artistiques, de sorcières et de libellules », lesquels dénoncent les problèmes écologiques. Et il raconte comment, à trois ou quatre ans, il est devenu un « enfant lumière »… Intéressant, à réécouter bientôt sur France Culture, avec une attention plus soutenue. Il faut dire qu’à 20 heures, après avoir pénétré tant d’imaginaires, le mien tend à se fermer. Besoin de quitter un peu la Maison Vilar pour aller marcher. Dommage pour Juliette rêve d’être une astronaute de Christophe Fiat, lu par Leïla Muse, que je n’ai donc pas pu savourer.

TiMaison Jean Vilar © Christophe Raynaud de Lage
© Christophe Raynaud de Lage

Je ne profiterai pas non plus des chaises longues de la cour de la Maison et des casques permettant de se plonger dans d’autres créations radiophoniques : Le iench d’Eva Doumbia (réalisation Baptiste Guiton), Fake de Claudine Galea  (réalisation Laurence Courtois), Alein de Pierre Jourde (réalisation Laure Egoroff), Portrait de Raoul de Philippe Minyana (réalisation Sophie-Aude Picon), L’Homme libre de Fabrice Melquiot (réalisation Christophe Hocké), Nous n’avons pas vu la nuit tomber de Lola Molina (réalisation Laure Egoroff), Lichen de Magali Mougel (réalisation Tidiane Thiang), Soudain Romy Schneider de Guillaume Poix (réalisation Cédric Aussir), Par-dessus bord de Michel Vinaver (réalisation Baptiste Guiton). Mais ils sont disponibles sur les ondes (ici) !

De même, je ne « changerai pas le cours du récit » en participant à un cadavre exquis. Je ne verrai pas les autoportraits d’auteurs repérés par Artcena sous forme de courts films (mais on peut les visionner ici). N’ayant pas le don d’ubiquité, j’aurai manqué des performances, des « lectures mystères » et des lectures « anglaises » (des extraits traduits des pièces d’Alexandra Badea, David Geselson, Jean-René Lemoine), ainsi qu’une « immersion » dans un texte de théâtre « tout public » (KILLT).

Mais point trop n’en faut ! Le temps manque. Ma journée sur la planète des auteurs, gorgée de découvertes mémorables, s’achève par un agréable banquet organisé avec la SACD, à la tombée de la nuit. Le songe se déploie sous les étoiles, jusque tard, dans une cour parsemée d’auteurs, lecteurs, comédiens et spectateurs brillamment réunis. 🔴

Lorène de Bonnay


Les Douze heures des auteurs, Artcena, centre national des arts du cirque, de la rue et du théâtre

Les Douze Heures des auteurs • Maison Jean Vilar • 8 rue de Mons • 84400 Avignon Le mercredi 12 juillet 2023, de 12 heures à minuit
Accès libre (réservation conseillée)
Réservations : 04 90 27 66 50

Dans le cadre du Festival d’Avignon, du 5 au 25 juillet 2023
Programmation ici et ici

Artcena centre national des arts du cirque, de la rue et du théâtre • 68, rue de la Folie Méricourt • 75011 Paris

Partenaires : Festival d’Avignon, France Culture, Festival off d’Avignon, Bnf / Maison Jean Vilar, Association Jean Vilar, British Council, Institut Français, SACD, Actes Sud-Papiers, Espaces 34, Les Solitaires intempestifs, Éditions Théâtrales, La Récolte, Tréteaux de France, Radio Radio

Vidéo des auteurs sélectionnés par La Récolte et des comédiens de l’ENSATT : https://www.facebook.com/100080687014021/videos/3611891615754559/?__so__=permalink&locale=fr_FR

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