En vrac, en vrai ! Par Laura PlasLes Trois Coups Déconcertante et débordante, la pièce d’Elsa Granat bouscule. Peut-être pas totalement adapté pour le grand plateau de l’Union, ce
Huis clos tropical, poisseux et violent Par Trina MounierLes Trois Coups La Compagnie Kobal’t monte « Combat de nègre et de chiens » de Bernard-Marie Koltès, un spectacle
Avez-vous fait vos devoirs de mémoire ? Avril 1994, un million de morts en trois mois au Rwanda. Comment représenter ce génocide aujourd’hui ? Comment dire la violence
« Engagez-vous ! », qu’iels disent Nouveau rendez-vous des arts de la rue à Besançon, Trottoir affiche des choix résolument politiques et populaires. Les spectacles de sa première
L’épopée comico-domestique de Léonore Chaix AnnonceLes Trois Coups « Dans quelle mesure pouvons-nous faire confiance aux événements ? », se demande la Narratrice de La Femme à qui rien n’arrive. Un
Carnage Par Trina MounierLes Trois Coups Trois vieilles bigotes fêtent Noël quelque part dans la province autrichienne devant le poste qui retransmet la bénédiction du
Les années 1980, si loin, si proches Par Léna MartinelliLes Trois Coups Aurélie Van Den Daele a le vent en poupe. Fin de tournée pour cette reprise d’un spectacle qui a contribué
L’histoire mais avec une grande hache ! Par Laura PlasLes Trois Coups Avec « les Époux », de David Lescot, Philippe Labonne exploite tout le jeu du théâtre pour évoquer celui, horrifique
Le cri des esseulés Par Florence DourouxLes Trois Coups Avant Avignon, la Compagnie des Perspectives revient à l’affiche du Studio Hébertot avec deux de ses gros succès :
Les grands fonds ! Par Laura PlasLes Trois Coups Claque esthétique et émotionnelle, « L’Étang » bouleverse au point de faire quitter la salle ou de sidérer. Un spectacle exceptionnel
Un nouveau continent belge AnnonceTrina Mounier Cette création collective de nos amis belges démontre une fois de plus, si nécessaire, leur inventivité sans frein. Elle
Mémoire d’écorchée vive Par Florence DourouxLes Trois Coups La mémoire est cruelle lorsqu’elle n’existe plus que dans le souvenir ravageur d’une maman morte en déportation. Jean-Claude Grumberg signe
